Art-Culture-Média
Choisis respectivement comme représentants de la RDC en musique et théâtre, le slameur kinois et l’auteur lushois sont en résidence à la Cité internationale des arts (Paris) depuis le 9 avril.
Il est prévu que Microméga, lauréat en musique, se produise en showcase en mai, à la Cité internationale des arts. Pas chanteur mais plutôt slameur hors pair populaire dans le monde du slam de Kinshasa, il est même sa fierté, disent d’aucuns. Nombreux sont ceux qui doivent se réjouir de son succès car ils s’accordaient déjà pour soutenir qu’il est à l’échelle nationale. En effet, après cette sélection bien méritée, c’est à présent en qualité d’ambassadeur de la RDC qu’il est en résidence à Paris, en France. Il va sans dire que ses chroniques hebdomadaires, diffusées depuis un an à la radio "Top Congo FM", vont manquer à ces Kinois qui avaient pris ... Lire la suite
L'infrastructure sera construite par Canal+ Olympia, une filliale du groupe Bolloré, sur le site de l'ex-Luna Park, dans le troisième arrondissement, Poto-Poto.
Le coup d'envoi du chantier a été donné, le 17 avril, par Lionel Labarre, directeur du développement de Canal+ Olympia. Les travaux, dont le coût n'a pas été révélé à la presse, ont une durée de six à sept mois. La salle cumulera 298 places assises y compris celles réservées aux personnes handicapées.
« Nous avons créé, ici au Congo, une société qui s’appelle Talents et spectacle, une filiale du groupe Vivendi et nous déployons une salle de cinéma à Brazzaville qui s’appellera Canal+ Olympia », a indiqué Lionel Labarre.
Trois directeurs de cabinet, notamment ceux des ministères de la Jeunesse et de la Culture, et celui de la mairie de Brazzaville, ont ... Lire la suite
L'ouvrage que les Brazzavillois découvriront le 21 avril, au Radisson blu dans la matinée, contient la part de vérité de l’auteur sur les heurts et malheurs mais aussi sur les frémissements positifs observés durant ses six ans (2011 à 2017) à la tête du ministère des Sports et de l’éducation physique. Un livre qui constitue une bonne porte d'entrée dans l'histoire récente de la gestion des sports et de l'éducation physique au Congo.
Parue en mars 2018 aux éditions L’Harmattan-Congo, l’œuvre de Léon Alfred Opimbat compte deux cent quatre-vingt-deux pages. Elle est divisée en quatre parties, à savoir "Les matchs gagnés", "Les matchs perdus", "Les matchs à rejouer" et "La troisième mi-temps". Ces quatre parties sont subdivisées, à leur tour, en quatorze chapitres. Conçu comme un témoignage, le livre se décline en conclusion comme un appel à ... Lire la suite
L'espace culturel a accueilli, le 14 avril, une présentation inédite de plus de cent quarante œuvres dévoilées qui a rassemblé des artistes du monde entier. Parmi eux, Raymond Tsham de la République démocratique du Congo.
La marque emblématique reconnue dans le monde entier et entreprise familiale leader sur les marchés de la papeterie, des briquets et des rasoirs, a dévoilé pour la première fois, sa collection d’art contemporain qui sera visible jusqu’au 13 mai, en France, au Centquatre-Paris, en accès libre.
Cette collection, apprend-on, a commencé à la fin des années 1990 lors d’une exposition en Italie consacrée à l’aventure de Marcel Bich. Elle rassemble aujourd’hui près de deux cent cinquante œuvres d’artistes internationaux reconnus ou émergents qui ont pour point commun, une réalisation ou une inspiration par des produits dérivés de ... Lire la suite
La présidente de la manifestation littéraire, prévue du 25 au 29 avril, explique comment depuis 2011, elle organise, fait vivre et diffuse l’esprit unique de foire culturelle rassembleuse et intergénérationnelle, tout en le développant et l’adaptant aux goûts du public et aux exigences nouvelles des exposants.
Les Dépêches de Brazzaville (L.D.B.) : Sept ans après, pourriez-vous nous parler de votre présidence ?
Isabelle Falconnier (I.F.) : J’aime passionnément ce rôle. Je suis une médiatrice, une passeuse, j’encourage la pratique de la lecture, de l’écriture également, et présider le Salon du livre de Genève me permet de le faire à une échelle importante et intéressante. Chaque année qui passe me conforte dans la certitude qu’heureusement, on ne se débarrassera pas de sitôt du livre, que le monde de l’écrit mène à tout et que tout mène à ... Lire la suite
Le premier show du groupe constitué de gamins, donné dans la grande salle de l’Hôtel de la préfecture de la ville capitale, est intervenu après deux mois de formation.
La première partie du spectacle a été marquée par le passage de l’Orchestre symphonique des enfants de Brazzaville, sous le regard admiratif des parents et membres du corps diplomatique. Les gamins, encadrés et placés sous la direction artistique du maestro de la musique symphonique au Congo, Josias N’Gahata, ont utilisé plusieurs instruments. Le show a débuté par l’entrée en scène de cinq flutistes à bec, tous âgés de 8 ans, dont un garçon. Ils ont tour à tour interprété trois chants : Au clair de la lune (en sol majeur), Plus près de toi (en sol majeur) et Hymne à la joie (en do majeur).
Après ces trois morceaux, le tout petit Enzo a excellemment épaté le public par ses talents ... Lire la suite
La structure a bouclé, le 12 avril à Brazzaville, sa tournée African Tour commencée à Johannesburg, en Afrique du Sud, le 4 avril.
Le satisfecit du Marché international de l'édition musicale (Midem) a été exprimé par son directeur, Alexandre Deniot, au cours d'une conférence de presse qu'il a animée, le 12 avril, à l'Institut français du Congo (IFC) de Brazzaville.
La première tournée africaine des membres du Midem, a indiqué le conférencier, a mobilisé plusieurs acteurs de la musique, notamment des labels comme Sony, Bomayé Musik ainsi que la Sacem et Trace. Ils ont été les partenaires officiels du Midem African Forum qui a commencé le 4 avril à Johannesburg, en Afrique du Sud, pour se terminer le 12 avril à Brazzaville.
Ce genre de manifestations, a-t-il signifié, permet aux artistes d’être en contact non seulement avec le public mais ... Lire la suite
Agée de 41 ans, la Nigériane fait déjà partie des plus grands écrivains africains modernes. Découvrons cette auteure à travers son premier roman, « L’Hibiscus pourpre », publié en 2003 alors qu’elle n’avait que 26 ans.
« L’Hibiscus pourpre », c’est le récit bouleversant d’une famille nigériane aisée, régie d'une main de fer par un père tyrannique, fervent catholique respecté par la communauté. Ses victimes silencieuses et insoupçonnables, Kambili, une jeune fille de 15 ans, son frère, et surtout sa mère, se taisent par honte et par peur des représailles, jusqu’au jour où une éclaircie s’annoncera dans leur quotidien désespéré. Un roman poignant sur un sujet difficile, traité avec pudeur et sensibilité.
Dans ce premier roman de Chimamanda Ngozi Adichie, la narratrice Kambili raconte son calvaire sous le joug d'un père, certes adoré ... Lire la suite
Un simple « non » a suffi pour sceller le destin de notre cordonnier national. On se rappellera que c’est à la suite d’un « oui », devant l’autel et le maire, qu’il devint célibataire endurci. La loi des contraires ne vaut pas pour les cordonniers, car son « non » ne lui apporte pas plus de bonheur que le « oui » d’antan devant une dame !
Non ?!!
La dame rouge n’en revenait pas. Etouffait d’une colère contenue. Elle cherchait à comprendre la finesse de cette blague de mauvais goût. Comment pouvait-on répondre « Non » à une offre de travail qui pouvait ouvrir les portes hermétiques de certains milieux ? Mais, surtout, pourquoi non ?
Pourquoi non, et pourquoi non à elle, Madame-la-terreur !
Samba DD la regardait et ne parlait pas. La dame rouge regardait Samba DD et fulminait en silence. Elle n’était pas habituée à parler aux péquenots des environs ni ... Lire la suite
Il n’est pas un fait habituel pour le public brazzavillois d’assister à un spectacle de slam tel que celui qui lui a été offert par l'artiste pluri genre, à l’Institut français du Congo (IFC).
C’est une carte blanche que l’IFC de Brazzaville a donnée à Mariusca Moukengué. Et son choix a porté sur le slam. « J’ai expressément voulu ne pas titrer ce spectacle pour laisser libre cours à ce public venu nombreux d’imaginer ce que je leur préparais comme surprise. Je pense humblement qu’il a été satisfait du repas poétique que l’équipe et moi leur avons servi », a-t-elle explqué.
L’artiste a déclamé des textes comme, "Beauté africaine", "Une nuit au bord du Congo", "Instant solidaire", "Œil chagrin", "Cette fois", "Prière islamique", "Poésie déesse", "Bienvenue dans le monde des incompris" et autres.
Les textes déclamés par Mariusca parlent ... Lire la suite
