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Mardi 8 Novembre 2022 - 14:12

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La session inaugurale du Comité de coordination des politiques nationales de lutte contre le blanchiment des capitaux, le financement du terrorisme et la prolifération des armes à destruction massive, qui s’est tenue la semaine écoulée à Brazzaville, atteste combien il est important de combattre ces actes criminels.

Cette nouvelle structure vient compléter le dispositif national de lutte contre les antivaleurs et autres comportements déviants décriés. Il est évident que le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme sont à l’origine de l’instabilité et de l’insécurité dans le monde.

En Afrique notamment, les populations des zones affectées sont plongées dans la paupérisation du fait que les gouvernements ne parviennent pas à y réaliser les programmes de développement adéquats.

La mise en place d’un organe public chargé d’atténuer ou de lutter contre ces fléaux ne peut être que bienvenue. À condition qu'il y ait une réelle collaboration pour éviter les malentendus ou les conflits de compétence entre celui-ci et les autres institutions ayant pratiquement le même champ d’action.

Les partenaires au développement, la société civile et les personnes possédant une expertise reconnue dans ce domaine peuvent aussi apporter leur pierre à l’édifice. Mais pour atteindre ses objectifs, le Comité de coordination aura surtout besoin de moyens techniques et financiers pour ne pas être un organe de trop.  

 

Les Dépêches de Brazzaville

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