Environnement : processus d’élaboration du plan stratégique de la Redd+

L’objectif est de renforcer la gouvernance et garantir le financement durable pour favoriser l’émergence d’une économie verte d’un pays qui considère la Redd+ comme un outil de développement durable.

L’atelier est organisé du 6 au 7 juillet, pour permettre d’accélérer le processus de consolidation de la stratégie nationale Redd+ afin de tirer les avantages des bénéfices carbone et non carbone de la Redd+.

 Selon les organisateurs, cette stratégie nationale passe par le renforcement des aspects de gouvernance et la mise en œuvre des mécanismes de financement durable, la gestion et la valorisation durable des ressources forestières, l’amélioration des systèmes agricoles et la rationalisation de la production et de l’utilisation du bois selon les organisateurs.

En effet, poursuivent-ils il faut développer les bases pour permettre une mise en œuvre effective, durable, transparente et équitable de la Redd+, améliorer les connaissances qualitatives et quantitatives sur les ressources forestières et fauniques du pays, renforcer la filière bois-énergie en améliorant l’offre et l’utilisation du bois-énergie ainsi qu’augmenter la productivité par l’intensification de la production agricole visant l’autosuffisance alimentaire et des revenus agricoles des ménages et bien d’autres.

 Le directeur de cabinet, Michel Elenga, a rappelé à l’ouverture des travaux les points importants qui contribuent au processus de consolidation de la stratégie nationale Redd+. Parmi ceux-ci, explique le ministre, figurent les options stratégiques et des activités Redd+ par des considérations financières afin de mieux estimer leur viabilité financière, l’identification des sources de financements disponibles à travers les investissements publics, privés, nationaux et internationaux etc.

Michel Elenga a invité les participants à mettre à contribution leur expertise pour consolider une approche méthodologique et une feuille de route permettant d’atteindre les résultats visés.

Aux partenaires techniques et financiers, il a loué leur volonté d’accompagner le Congo dans les phases d’élaboration et de consolidation des outils stratégiques et techniques du processus Redd+