Makélékélé : les militants du PCT sollicitent la construction d’un nouveau pont sur la rivière Djoué.

Maurice Claude Maléla- Soba a expliqué que l’ancien ouvrage ne répond plus aux besoins des populations des quartiers riverains.

Prenant l'exemple de la ville d'Abidjan en Côte d'Ivoire qui s’est vue bâtir un deuxième pont sur la lagune, le président du PCT de Makélékélé a fait savoir que  géographiquement, le Djoué nous impose les mêmes efforts d’aménagements urbains. « Nos amis de Kintsoundi et du quartier OMS, peuvent rêver d’un autre pont pour enjamber le Djoué et les prétentions du PCT en matière d’infrastructures peuvent être justifiées eu égard au bilan élogieux qui est le nôtre en matière de développement économique », a-t-il fait savoir.

Dans son mot introductif ayant précédé  l’adresse  du secrétaire général aux militants de Makélékélé, Maurice Claude Maléla-Soba  a dit que la relance de certaines unités de production comme  Kintsoundi, Sotexco, Uts, Impreco  participera considérablement à la réduction du chômage.

Prenant la parole à son tour, le secrétaire général du PCT, Pierre Ngolo qui est  revenu sur la victoire du  OUI  au  référendum du 25 octobre,  a fait savoir aux militants du PCT de Makélékélé que désormais le Congo est régi par une nouvelle Constitution.

 « Avec le référendum qui a eu lieu, avec la nouvelle Constitution qui est désormais en vigueur, avec la nouvelle République que nous avons inaugurée, il nous faut définitivement tourner le dos à la logique de la confrontation, de la violence, de la casse », avant d’ajouter, « Nous allons gérer l’ère nouvelle dans la tolérance,  le dialogue. Ce dialogue qui est la seule voie qui va nous permettre de gérer nos contradictions ».

Le Congo a  indiqué Pierre Ngolo, est un et indivisible. « Nous nous positionnons  tous comme les acteurs de sa construction. Proposons au peuple des approches plausibles et c’est cela  la démocratie »,  a-t-il renchéri, avant de demander aux militants de prôner l’unité et la cohésion  en vue des prochaines batailles, notamment le soutien du  candidat de la majorité présidentielle à l’élection présidentielle de 2016.

Intervenant à leur tour, les militants ont posé les problèmes relevant de l’organisation ou mieux de la meilleure structuration de leur formation politique.