Maternité : le personnel de santé envisage le suivi maternel et néonatal

Lundi 29 Juillet 2013 - 19:30

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Le directeur général de la santé, le Pr. Alexis Elira Dokhekias, a ouvert le 29 juillet, dans la salle de conférence de la préfecture, un atelier réunissant des experts de la santé sur le sujet de la finalisation de la feuille de route sur la redevabilité pour la santé de la femme et de l’enfant

L'atelier a pour objectif d’orienter les acteurs du secteur dans le cadre de l’information et de la redevabilité, du processus de suivi, de la revue et de l’action maternelle et néonatale, afin de finaliser la feuille de route du Congo des prochaines années avec les parties prenantes, tout en dégageant les actions et les activités prioritaires.

La rencontre vise à améliorer les résultats de la redevabilité pour le secteur de la santé en général et pour la santé de la femme et de l’enfant en particulier, à travers un renforcement du suivi et de l’évaluation et de la revue du secteur de la santé.

Le conseiller Jeremie Mouyokani, de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), a assuré le gouvernement du soutien de cette structure et des autres systèmes des Nations unies pour une meilleure santé maternelle, néonatale et infantile. Il a, par ailleurs, invité les participants à s’engager pour préserver la vie des femmes et des enfants du Congo et d’Afrique, et à agir pour leur épanouissement dans un environnement sanitaire sécurisé.

Le directeur général de la santé, Alexis Elira Dokhekias, a souligné que la mortalité de la mère et celle de l’enfant sont des indications de l’amélioration de l’état de santé de la mère à l’enfant. À cet effet, les participants ont été appelés à une véritable réflexion en vue d’établir une feuille de route pour l’atteinte des objectifs du millénaire en vue de développer le programme de développement durable qui prendra en compte les dépenses actuelles et celles qui seront générées dans le cadre d’une couverture managériale.

D’après les organisateurs, le cadre de redevabilité d’un pays intègre : le processus de suivi des naissances, de décès et leurs causes ; la revue des décès maternels et l’évaluation de la qualité des soins dans le service de santé. D’ici à 2015, tous les pays auront pris les mesures significatives pour la mise en place d’un système d’enregistrement des naissances et des décès et pour l’utilisation des technologies de l’information et de la communication dans le système sanitaire.

 

 

Lydie Gisèle Oko