Opinion
- Éditorial - Les Dépêches de Brazzaville
- Réflexion - Jean-Paul Pigasse
- Le fait du jour - Gankama N'Siah
- Humeur - Faustin Akono
- Chronique - Boris Kharl Ebaka
- Brin d’histoire - Mfumu
- Tribune libre - Sergueï Lavrov
- Idées-forces - Gankama N'Siah
- Analyse - Emmanuel Mbengué
ProjectionMercredi 30 Novembre 2022 - 9:28 Les partis et associations politiques affûtent leurs armes dans la perspective des élections sénatoriales de l’année prochaine après les législatives et les locales qui venaient de se dérouler. D’ores et déjà, les responsables de ces structures orientent leurs actions sur le terrain en mobilisant leurs troupes à tous les niveaux, à commencer par la restructuration des organes intermédiaires et de base. Une démarche qui vise à leur redonner du dynamisme et une nouvelle énergie pour mieux affronter les futures batailles politiques. Cependant, ces remaniements, si on peut se permettre de les appeler ainsi, créent des mécontentements parmi les membres. Pour les nouveaux promus, le temps des défis à relever commence tandis que les non reconduits à leur poste expriment leur colère. Pour éviter des déchirements inutiles qui ne peuvent que fragiliser l’unité des organisations, les responsables politiques ont le devoir de focaliser leurs discours sur la nécessité de préserver la cohésion. En outre, entre deux scrutins, il est aussi indispensable de tirer le bilan des échéances passées pour cerner les raisons ayant conduit aux bons ou mauvais résultats obtenus lors des précédentes consultations. Lorsque l’on tire les leçons du passé, alors on peut se projeter dans l’avenir. C’est de cette manière qu’un parti peut résister aux chocs des bouleversements sociopolitiques internationaux et nationaux qu’impose le contexte. Les Dépêches de Brazzaville Edition:Édition Quotidienne (DB) Notification:Non |