Upads : Pascal Tsaty-Mabiala appelle les militants à l’unité

Samedi 22 Juin 2013 - 11:30

Abonnez-vous

  • Augmenter
  • Normal

Current Size: 100%

Version imprimableEnvoyer par courriel

À l’occasion de la célébration du vingt-deuxième anniversaire de l’Union panafricaine pour la démocratie sociale (Upads), le premier secrétaire de ce parti, Pascal Tsaty-Mabiala, a lancé un appel aux militants de ce parti partout où ils se trouvent à poursuivre l’œuvre de réunification commencée par son président-fondateur.

Dans une déclaration rendue publique à cette occasion, ce dernier a souligné que le congrès unitaire extraordinaire qui vient de se tenir, l’épilogue d’une longue et malheureuse crise, a été un moment d’échanges et d’écoute « qui nous autorise à espérer des lendemains meilleurs pour notre parti qui achève son programme existentiel et se lance désormais dans celui de la reconquête du pouvoir ».

L’Upads, a-t-il déclaré, doit émerger des flots qu’il écumait et doit reprendre toute sa place, celle de leader sur la scène politique congolaise. Tout en tirant avec sagesse les leçons des dernières et douloureuses péripéties de sa gestion si controversée, le temps est venu d’écrire une nouvelle histoire de son destin, celle de sa renaissance dans la pensée, l’action, l’organisation et le fonctionnement, a-t-il ajouté. La richesse de l’Upads, a-t-il poursuivi, ce sont ses idées de paix, de tolérance, de recherche inlassable du consensus, et il importe de les promouvoir quel qu’en soit le prix.

Il a cet effet rappelé que sa principale force résidait dans la qualité de ses militants de toutes générations et de toutes origines : « Ce sont notamment ses jeunes dont la hardiesse et la conviction sont l’augure d’un avenir florissant et prometteur de notre parti. Ce sont enfin ses cadres qui, ensemble, ont redonné à notre pays il n’y a pas si longtemps sa fierté et ont réconcilié notre peuple avec la politique. »

Enfin, il a évoqué le souvenir de ces nombreux militants dont la fidélité au parti a conduit certains au sacrifice suprême.

Jean-Jacques Koubemba