Art-Culture-Média
L’association Congo culture à venir que préside Eddy Ngombe est impliquée dans la réalisation, depuis le mois de janvier 2015, d’un album hommage à l’artiste musicien Jacques Loubelo. Ce grand chanteur congolais disparu en septembre 2013, chantre de la paix et de l’unité nationale, a laissé en héritage un répertoire dense et surtout une chanson chargée de symbole : Congo.
« A l’occasion du deuxième anniversaire de sa mort, nous avons donc souhaité transmettre à toutes les générations et à toutes les couches sociales, la valeur et la profondeur de ce chef d’œuvre national. Cette action associative est notre modeste pierre à l’édifice de paix et de cohésion sociale ». A justifié Eddy Ngombe.
Pour ce faire, grâce à Jackson Babingui et Francky Mouler, plus d’une trentaine de musiciens résidant au Congo et à l’étranger ont été réunis sur ... Lire la suite
La galeriste Aude Minart, amoureuse de l’Art africain, à qui l’on doit déjà plusieurs expositions dans sa galerie de Paris 12ème, fera découvrir aux visiteurs, hors les murs, lors des Journées d’amitié des Spiritains au 30, rue de Lhomond, du 6 au 7 mai, ses œuvres des peintres subsahariens. Une occasion supplémentaire de montrer au public parisien, « ce qui se passe actuellement en Afrique dans l’art contemporain », aime-t-elle justifier.
Comme chaque année, les spiritains organisent leurs journées annuelles d’amitié à Paris. L’objectif est de soutenir financièrement les membres de la congrégation, lesquels doivent faire face à de lourds et coûteux soins de santé. Les missionnaires paient parfois le prix fort d’un engagement total au service des autres. « C’est aussi un moment précieux de convivialité avec tous nos amis et ceux qui nous ... Lire la suite
Sociétaire du groupe Biya Lukoyi, Armel Malonga bassiste a entamé depuis deux ans une longue tournée artistique avec les artistes Dieudonné Niangouna et le chorégraphe Delavallet Bidiefono. Fort de cette expérience il a animé à Brazzaville un atelier afin de partager les pratiques de cet instrument avec les instrumentistes Brazzavillois.
L’atelier de guitare basse intitulé mbongui musical était fondé sur l’analyse du rythme, l’harmonisation et les difficultés que rencontre chaque musicien dans son quotidien. « J’ai écrit des morceaux par rapport à l’univers d’un metteur en scène surtout le côté contemporain et créativité. J’ai des avantages du point de vue de la richesse traditionnelle car j’ai été percussionniste et j'ai joué dans beaucoup de groupes traditionnels comme vocal bantou. Cette basse mélangée au bagage jazz m’a vraiment ... Lire la suite
Les correspondances de l’explorateur Pierre Savorgnan de Brazza ne cessent d’attirer l’admiration de tous. Après l’inauguration de l’exposition de ces correspondances, le 6 mars 2015 par le chef de l’Etat, Denis Sassou N’Guesso, et la Journée scientifique consacrée à ses écrits le 16 mai 2015, le tour est revenu le 2 juin 2015 à la reine Ngalifourou de scruter ces correspondances dans toute leur authenticité.
Accompagnée de quelques dignitaires de la Cour royale, la reine Ngalifourou a été reçue au perron du Mémorial Pierre Savorgnan de Brazza par la directrice générale de cet espace, Bélinda Ayessa, avant de visiter les correspondances de l’explorateur qui sont en réalité des pièces précieuses de l’histoire du Congo. D'après Bélinda, nous devons cette histoire à deux grands personnages : Makoko Ilôoh 1er et à Pierre Savorgnan de Brazza.
Pierre ... Lire la suite
La cérémonie de présentation de l'ouvrage a eu lieu la semaine dernière lors du jeudi littéraire initié par l’Institut français du Congo.
L'oeuvre a été publiée par la maison d’édition « Mon petit éditeur » située en France. Phénoménal s et Brazza s’embrassa est un roman policier qui évoque l’amour fraternel. Il compte 363 pages et est subdivisé en trois parties. L’histoire qui s’y trouve se déroule entre deux villes, Kinshasa et Brazzaville. Il s’agit en effet de Serge, un agent de la police secrète qui reçoit l’ordre d’aller libérer un homme politique important qui a été enlevé. Serge quitte Kinshasa pour Brazzaville afin de retrouver le captif et le libérer. Arrivée sur le lieu, le héros découvre que sa propre sœur fait aussi partie de cette intrigue. Il ... Lire la suite
Le marché du film congolais inauguré, le 2 juin, en fin de matinée à la Place commerciale de la 7e rue à Limete et la rencontre qui réunira diffuseurs, producteurs, réalisateurs et acteurs le 3 juin à l’Institut français (IF) affichent clairement l’ambition du festival de contribuer à organiser le secteur.
Comme dit à l’occasion de la conférence du 27 mai en annonce de la tenue de sa deuxième édition, le festival du Cinéma au féminin (Cinef) organise « Le Marché du film congolais ». L’initiative est une grande première dans le monde du cinéma congolais en très grande ébullition depuis quelques années déjà. Inauguré par le bourgmestre de la commune de Limete, la portion du terrain de la place commerciale de la 7e rue qui lui sert de cadre tient lieu de quartier général au festival. En effet, à partir du 3 juin jusqu’à la veille de la ... Lire la suite
Le dernier chapitre de l’ouvrage présenté, le 29 mai, à l’hôtel Pullman (ex-Grand Hôtel) lance une sorte de « cri d’alarme » sur la situation de la capitale qu’il présente dans les détails avec, à l’appui, le nombre d’avenues et de parcelles qui la composent.
Un grand bien a été dit de l’ouvrage de Bienvenu Bolia vendredi dernier lors de la cérémonie tenue en présence de la première personnalité de la ville, en l’occurrence le gouverneur André Kimbuta. Effeuillé de la préface à la dernière page, la nouvelle publication de L’Harmattan est déjà tenue en estime par le père Léon de Saint Moulin. « Le grand historien de la ville » qui a préfacé Kinshasa ma ville, ma capitale a, à l’occasion de sa présentation, rendu un « hommage à l’auteur mais aussi à ceux qui s’emploient à en gérer les communes ». Lu en intégralité ... Lire la suite
Les deux actrices seront sous les projecteurs de la 2e édition du festival de cinéma de l’Association des femmes cinéastes congolaises (AFCC), elles assisteront à la projection de Last flight to Abuja et Des étoiles, deux films dans lesquels elles ont joué.
Assurément moins connue que la première à Kinshasa, en l’occurrence Omotola Jalade-Ekeinde, Mata Gabin ne manque pas de talent et mérite tout aussi de l’être. Les Kinois pourront s’en faire une opinion personnelle à la vue de Des étoiles, deuxième film à l’affiche à la soirée d’ouverture du festival du Cinéma au féminin (Cinef). Elle procèdera à la présentation de ce premier long-métrage de la réalisatrice franco-sénégalaise Dyana Gaye dans lequel elle apparaît au côté notamment de Souleymane Seye Ndiaye ce 2 juin à la Halle de la Gombe. Mata Gabin n’est pas qu’actrice et écrivaine. En ... Lire la suite
Présenté le 30 mai par les élèves du lycée Saint François d’Assise de Makabandilou, situé en périphérie nord de Brazzaville. « L’école des femmes » est un texte de Jean Baptiste Poquelin, alias Molière, adapté au théâtre. Cette pièce relate l’histoire d’une jeune fille innocente adoptée à l’âge de 4 ans, envoyée ensuite au couvant afin de la rendre inintelligente sous les consignes de son tuteur dans le but de la prendre en mariage.
En effet, cette pièce de théâtre figure parmi les appuis pédagogiques retenus par la commission de français pour cette année en classe de seconde. Elle est adaptée et mise en scène par Jacques Nkéoua, Gaétan Bahouna et Nzomambou, tous deux professeurs de français à l'institut Saint François d’Assise .
Il s’agit d’Arnolphe, un vieux barbon qui a des ... Lire la suite
La 2e édition du concours d’épellation des mots a été remportée le 30 mai par l’école Tchicaya Utam’Si à l’issue d’une finale âprement disputée. Ce, en présence d’Émilien Gervais Mapakou, représentant le directeur départemental de l’enseignement primaire, secondaire et de l’alphabétisation de Pointe-Noire.
Le concours d’épellation des mots a été lancé en 2014 par le Centre culturel Jean-Baptiste Tati Loutard de Pointe-Noire avec comme animateur du projet Cyprien Makosso. C’est un exercice à la fois d’intelligence, de mémoire et d’habileté. Les candidats doivent épeller correctement le mot tiré au sort sans balbutier. Cet exercice prépare les enfants à avoir une bonne locution, une parfaite diction, un riche vocabulaire et une parfaite maîtrise de l'orthographe.
À travers ce concours, les élèves acquièrent un bon lexique, ... Lire la suite