Politique
Les membres du comité central du Parti congolais du travail (PCT) sont en conclave depuis le lundi 28 décembre au palais des Congrès, à Brazzaville, à l’occasion de la quatrième session ordinaire de cette instance dirigeante.
Parmi les questions inscrites à l’ordre du jour de cette réunion, figure le rapport de la commission chargée d'étudier la position du PCT sur le changement ou non de la Constitution du 20 janvier 2002. Toute la matinée du mardi 30 décembre sera consacrée essentiellement à l’examen et à l’adoption dudit rapport. Selon les indiscrétions, au cours de la réunion du Bureau politique, du 26 au 27 décembre, le sujet sur le changement de la constitution avait largement dominé les débats. 
Dans son discours d’ouverture des travaux, le secrétaire général, Pierre Ngolo a indiqué que ce débat devrait, normalement, être abordé sans ... Lire la suite
À l’occasion de la clôture de la troisième session extraordinaire de l’Assemblée nationale, le 27 décembre, Justin Koumba a rappelé aux députés leur devoir devant l'histoire, les invitant à s'approprier le débat sur la Constitution du 20 janvier 2002 engagé par la classe politique congolaise.
« Le débat sur le changement de la constitution devient incontournable. Il nous oblige, nous parlementaires de la majorité ou de l’opposition à penser, dans des termes tout à fait inédits, notre responsabilité vis-à-vis des générations futures. Cette nécessité, l’histoire nous le rappelle, n’a rien d’inédit, même si cette sorte de hantise pour le présent semble marquer notre horizon politique. Notre devoir de parlementaire ne nous autorise pas de nous dérober devant nos responsabilités », a déclaré Justin Koumba.
La question urgente, a-t-il ... Lire la suite

Dans l'ordre du jour de la nouvelle session figurent deux principales matières à traiter. Il s’agit, d’une part, du projet de loi portant modification de la loi électorale et, d’autre part, de celui portant mise en place de nouvelles provinces.
Les députés et sénateurs se sont à nouveau retrouvés, le 27 décembre, autour de leurs bureaux respectifs en ouverture de la session extraordinaire. Cette dernière est présentée comme de tous les enjeux au regard des points inscrits à son ordre du jour. L’on croit savoir qu’à la lumière de cette présente session convoquée du 27 décembre au 26 janvier 2015, plusieurs textes en souffrance relatifs notamment à la décentralisation seront examinés et adoptés. En effet, quelques projets de loi sont en cours de traitement dans les deux chambres législatifs et l’occasion est donnée de leur insuffler une dynamique ... Lire la suite
Cela a été rendu possible grâce au projet d’adressage qui a été réalisé dans la ville avec l’appui financier de l’AIMF (Association internationale des maires francophones) et de l’Union européenne.
« Nous sommes ici pour dire que nous ne voulons pas vivre sans adresse, isolement, simplement physiquement, matériellement et pour affirmer notre place dans l’imaginaire. Construire un espace en harmonie avec son environnement humain physique et culturel, c’est cela l’adressage, c’est aussi cela l’adressage », a déclaré Pierre Baillet, secrétaire permanent de l’AIMF, remettant officiellement les deux documents à Charles Nganfouomo, préfet directeur général des collectivités locales et Roland Bouiti Viaudo, maire de la ville de Pointe-Noire au cours d'une cérémonie qui s’est déroulée le 23 décembre à la mairie centrale et à laquelle a ... Lire la suite

De retour à Lubumbashi le 23 décembre après trois mois d'absence pour cause d'hospitalisation à Londres, le gouverneur du Katanga a sorti, devant une foule immense, sa parabole des penaltys dans un climat de spéculations de tous genres au sujet de son ambition de postuler à la présidentielle de 2016.
Le discours tenu par Moïse Katumbi à la Place Moïse-Tshombe le 23 décembre devant une foule immense agglutinée à ses pieds, juste quelques heures après sa descente d’avion, continue de faire jaser dans l’opinion. La parabole de penalty évoquée par le président du TP Mazembe, un féru du sport-roi, est décryptée dans les milieux intéressés comme une mise en garde contre toute tentative de révision constitutionnelle censée déboucher sur un troisième mandat de Joseph Kabila.
Dans un langage codé, le gouverneur du Katanga avait fait allusion au risque ... Lire la suite

Présidant le 22 décembre le premier conseil des ministres, le chef de l’État a invité tous les membres du gouvernement à « s’assumer pleinement pour relever les défis qui assaillent la Nation ».
« Dans ce gouvernement, il n’y aura pas des membres de la majorité, de l’opposition ou de la société civile. Il n’y a que des membres du gouvernement de travail ». C’est en ces termes que Joseph Kabila s’est adressé aux nouveaux membres du gouvernement de cohésion nationale lors de la brève réunion de prise de contact qui a eu lieu le 22 décembre à la Cité de l’Union africaine. Au cours de cette première réunion extraordinaire du Conseil des ministres du Gouvernement de cohésion nationale, issu de l’ordonnance N° 14/078 du 07 décembre 2014, la communication du chef de l’État était l’unique point à l’ordre du jour. Le président de la ... Lire la suite
Les membres du conseil fédéral du Parti congolais du travail du département de Brazzaville, réunis en session extraordinaire, le 24 décembre, se sont prononcés pour le changement de la Constitution du 20 janvier 2002.
Au nombre des arguments avancés par les membres de ce parti, le contexte historique qui a dicté la rédaction de la loi fondamentale. Ils ont évoqué les différents conflits socio-politiques dont le point d’orgue a été la guerre du 5 juin 1997, la méfiance à l’égard du régime semi-présidentiel institué par la Constitution de 1992 qui, selon eux, a engendré une instabilité institutionnelle.
C'est ainsi que la Constitution de 2002 a été rédigée pour mettre fin à "la déliquescence de l’État" avec à la clé : la restauration de l'autorité du chef. Pour le Pct-Brazzaville, la refondation de l’État post-conflit reposait sur cet ... Lire la suite
La question a été au centre des entretiens que l’ambassadeur de chine au Congo Guan Jian a eus avec le ministre de la Justice et des droits humains, Aimé Emmanuel Yoka, le 24 décembre à Brazzaville. « J’ai été reçu par le ministre d’État, son excellence Aimé Emmanuel Yoka, avec qui nous avons échangé sur la coopération bilatérale entre nos deux États » a-t-il déclaré. La chine, qui assiste le Congo dans de nombreux domaines ( notamment économique, commercial et même politique) entend cette fois-ci élargir sa coopération au domaine judiciaire, surtout en matière civile et pénale. Guan Jian a par ailleurs invité le ministre d’État à effectuer une visite en chine pour la signature d'accords dans ce domaine.
L’Alliance sociale-démocrate du Congo a rappelé, au cours de la conférence de presse qu’elle a animée le 23 décembre à Brazzaville, l’intérêt pour le Congo d'asseoir la consolidation du processus démocratique à travers un dialogue.
L'échange entre cette association politique et la presse a débouché sur le bilan des trois concertations politiques organisées par le gouvernement à Brazzaville en 2009, à Ewo en 2011 et à Dolisie en 2013. Malheureusement selon cette alliance, ces retrouvailles politiques n’ont pas permis un vrai débat susceptible d'évacuer certains contentieux. D'où la nécessité d'organiser un autre dialogue, beaucoup plus inclusif, pour solutionner les problèmes et baliser ainsi la voie qui conduit à 2016.
L'Asdc a noté que sur la trentaine d'opérations préélectorales et électorales, une dizaine seulement a fait l’objet ... Lire la suite
Le projet de loi de finances de l’Etat exercice 2015 adopté avec amendements, le 22 décembre à Brazzaville, par l’Assemblée nationale, en raison de la chute du baril de pétrole. En conséquence, ce projet ne prévoit aucun excédent budgétaire ni de déficit.
Présenté à la somme de 3.639.834.000.000 FCFA le budget de l’Etat a été révisé en recettes et dépenses à la somme de 3.069.750.000.000 FCFA. Prévues à hauteur de 1.460.054.000.000 FCFA, les recettes pétrolières représenteront 48,70% du total du budget. Les dépenses de fonctionnement passeront de 1.106 milliards FCFA en 2014 à 1.007.355 000.000 FCFA. Les dépenses d’investissement également sont en baisse de près de 400 milliards pour revenir à 2.062.395 000.000 FCFA. Elles seront concentrées sur la poursuite des travaux en cours et le démarrage de nouveaux projets obligatoires, notamment ceux de ... Lire la suite

















