Art-Culture-Média
Le groupe, a annoncé son président Romelly Banzouzi, dit Zous Suprême, représentera les valeurs culturelles du Congo à travers le tam-tam, à l'événement prévu à Louga, au nord du Sénégal, du 27 décembre au 1er janvier 2020.
"Les fantastiques" sont un groupe qui a vu le jour le 8 janvier 2015 à Brazzaville, avec pour objectifs de former, créer et présenter des spectacles au grand public. Le groupe rentre de Dolisie, dans le Niari, où il a pris part à l’événement culturel dénommé le « Conte du soir », et y repartira en décembre afin d’émerveiller, une fois de plus, le public du pays de l’or vert. En mars dernier, "Les fantastiques" se sont produits à Oyo, dans la Cuvette, devant un public venu nombreux des quatre coins de la localité.
A Brazzaville, le groupe de percussion a bouclé sa tournée dans les neuf arrondissements. " Les ... Lire la suite
De son vrai nom Princilia Louboungou, l’artiste ponténégrine s’apprête à lancer son single "Baobab" ou quand le rêve devient réalité.
Cilia Jules a dans sa voix un timbre un peu « roots », racines dont on fait sans doute les baobabs. Une voix qui flirte entre orage et soleil, entre gospel et blues, comme une voix sortie des champs de cotons. Mais avant cela, il y a un quart de siècle, c’est la petite voix de Princilia qui grandit derrière une télécommande de télévision, microphone imaginaire d’une enfant de 5 ans appelée à devenir artiste. Princilia, télécommande à la main, fait de son lit les planches d’une scène sur laquelle elle rêve de monter un jour. Sa sœur Loria habite le même rêve, toutes deux chantent la même langue mystérieuse d’une terre inconnue, un yaourt indéchiffrable et incompris qui élève pourtant les enfants au ... Lire la suite
Le collectif Mbongui art photo organise, le 24 novembre, à partir de 10 h, une rencontre photographique dénommée « Zoom sur Brazza ». Entretien avec le responsable de l’événement qui sera une première dans la capitale congolaise.
Les dépêches du Bassin du Congo (L.D.B.C.) : Parlez-nous de vous.
Lebon Chansard Ziavoula (L.C.Z.) : Né en République du Congo, je suis Lebon Chansard Ziavoula, artiste visuel, directeur artistique et initiateur de la plate-forme Mbongui art photo. Diplômé en communication documentaire à la Faculté des lettres et des sciences humaines de l’Université Marien-Ngouabi, mes rencontres en 2006 et 2007 avec les photographes Baudouin Mouanda et Lumière Moussala m’avaient incité à me tracer une trajectoire artistique et journalistique. A cet effet, j’ai rejoint, en 2010, le collectif Génération Elili au sein duquel je ... Lire la suite
Initiée par Le forum des gens de lettres (FGL), la récompense est destinée aux écrivains de langue française d’origine ou de nationalité congolaise, avec pour résidence le Congo-Brazzaville.
Le prix Ernest-Bompoma-Ikélé rend hommage à l’écrivain et nouvelliste éponyme, décédé le 5 février 2018 à Brazzaville, des suites d’un accident cardio-vasculaire. Pour sa première édition, il récompense les œuvres littéraires éditées entre le 1er janvier 2018 et le 30 novembre 2019 portant sur la fiction et qui présentent une originalité stylistique indéniable. Toutefois, les autres genres peuvent aussi concourir à défaut des candidatures conséquentes et faire l’objet d’un prix spécial.
Ainsi, jusqu’au 10 décembre, tout auteur ou éditeur doit faire parvenir au comité d’organisation trois exemplaires des œuvres éditées au Centre culturel ... Lire la suite
Le mariage forcé n'est plus une actualité mais demeure une véritable épine dans la plupart des sociétés africaines ancrées dans leurs us et coutumes. Le film ghanéen réalisé par Kwanbena Gyansah dénonce une fois de plus cette mauvaise pratique aux conséquences irréversibles sur l’avenir des jeunes filles.
A travers un scénario mûrement réfléchi, le réalisateur ghanéen, Kwabena Gyansah, raconte le drame d’Amina. Adolescente de 14 ans originaire du nord du Ghana, elle échappe à son mariage imminent avec un agriculteur de 70 ans mais finit dans un camion, victime de la traite au Burkina Faso. Laissant derrière elle sa famille et toute son enfance dévastée, un coup cruel du destin la sauve du camion mais la jette dans la ville animée d'Accra. Amina débarque à Accra où elle n’a ni parent ni connaissance pour lui prendre entièrement en charge. Entre ... Lire la suite
Du 8 au 23 novembre, la Compagnie Plateaux Kimpa Théâtre propose au public parisien la pièce de Kani Kabwé Ogney.
En dix représentations, dont la dernière va être donnée ce 23 novembre, "Le jour où Siméon sortira", mise en scène par Jean Felhyt Kimbirima, connaît un réel succès à en croire l’affluence constatée et les commentaires enthousiasmés des spectateurs à la sortie. L’essentiel de l’œuvre s’inspire d’une annonce du chef de l’Etat ayant décrété l’amnistie pour tous les prisonniers politiques. En scène, les familles s’apprêtent à accueillir les leurs. La pièce, une ode à l’espérance, a été portée talentueusement par quatre grandes comédiennes du théâtre congolais que les spectateurs ont applaudies longuement et chaleureusement.
Créé à Brazzaville par la Compagnie Plateaux Kimpa Théâtre, en 2017, ce projet a été ... Lire la suite
L'illustre personnage congolais fait l’objet d’un ouvrage de Richard Ossoma-Lesmois, avec la collaboration d'Eugène Mungala, et préfacé par le chef de l’Etat, Denis Sassou N’Guesso.
"Antoine Ndinga Oba. Homme de terroir, éducateur, diplomate, africanité au Congo-Brazzaville 1941-2005" a été publié dans la collection de Graveurs de Mémoire de L’Harmattan, dédiée à l’Afrique subsaharienne, notamment au Congo Brazzaville. A en croire l’auteur, cet ouvrage satisfait à un vœu, allègeant une charge morale portée par des enfants héritiers et orphelins du fait de la nature. Grâce aux conservateurs des feuilles frappées par le coup du temps, des lignes honorant la mémoire d’Antoine Ndinga Oba affluent alors rapidement. «Quand je ne serai plus là, il faut que tu rencontres Henriette. Donne-lui ce document. Qu’elle le publie ! », confie le ... Lire la suite
Après la célébration des soixante ans d’existence des Bantous de la capitale, le patriarche de l'orchestre, 86 ans d’âge, dit continuer de chanter jusqu’au dernier jour de sa vie.
Les anciens sociétaires des Bantous de la capitale s’apprêtent à céder le relais à la jeunesse. Cependant, le patriarche Ganga Edo, qui n’est pas prêt à abandonner son micro, se dit être regardant dans la façon de composer de ces jeunes qui vont prendre la relève, et pour lesquels il exige les compositions de haute facture.
« Je continue d'encadrer les jeunes qui sont avec moi, qui m’appellent le Patriarche. Ils me respectent et je les respecte aussi. De temps en temps, quand il y a un concert, que ça soit à l’Institut français du Congo ou à la Détente bar, je suis là et je les encadre. Je respecte le directeur artistique. Je ne l’oblige pas parce que je suis le ... Lire la suite
A l’Institut français du Congo (IFC)
Cinq ans du réseau France Alumni Congo
Rencontre avec le nouvel ambassadeur de France au Congo
Date : vendredi 22 novembre
Heure : 15h 00
Sport : Marche « IFC-Viaduc-Siège »
Date : samedi 23 novembre
Lieu de départ : IFC
Heure : 10h 00
Participation gratuite
Les rendez-vous de la médiathèque
Date : samedi 23 novembre
Samedi des petits lecteurs
Heure : 10h 00
Samedi tout est permis à la médiathèque & l’heure du conte
Heure : 12h 00
Rencontre de scrabble
Heure : 16h 00
Entrée libre
Au resto-bar Massala (25 bis, rue Haoussa / rond-point Poto-Poto)
Djoson philosophe et Super Nkolo Mboka en concert
Date : samedi 23 novembre
Heure : 16h 00
Entrée libre, consommation obligatoire
Chez Sim Aerospace
Balade des amoureux sur simulateur de vol
Dates : vendredi 22 novembre / samedi 23 novembre
Heure : 08h ... Lire la suite

L'homme politique congolais a eu droit à tous les honneurs dus à son rang à l’AfricaMuseum, le 15 novembre, avec comme guide le directeur opérationnel Bruno Verbergt, en compagnie du directeur général, Guido Gryseels, et de la directrice adjointe, Katia Dewulf. A la fin de cette première visite faite avec son épouse et des proches de son parti, il a confié au Courrier de Kinshasa son avis sur la restitution qu’il ne tient pas pour une priorité à ce jour.
Le Courrier de Kinshasa (L.C.K.) : Au sortir de cette première visite du Musée rénové, quel souvenir vous en reste-t-il ?
Martin Fayulu (M.F.) : Je pars avec ce souvenir que quand les hommes veulent faire quelque chose, décident d’immortaliser l’histoire, ils peuvent le faire. J’ai été content de voir l’histoire de mon pays racontée à travers ses œuvres. Je suis ravi d’avoir effectué cette ... Lire la suite