Politique
Le secrétaire général du Parti pour l’unité et la République (Club-2002-PUR), Juste Désiré Mondelé, a échangé le 30 janvier à Brazzaville avec la presse nationale sur les dix-sept ans de sa formation politique. Il a fait un bilan et brossé des perspectives.
« Dix-sept ans, c’est déjà un long parcours pour un parti politique, un chemin qu’on a parcouru avec des camarades, c’est surtout un enseignement puisqu’en dix-sept ans, on a pu voir des amis, des camarades qui étaient avec nous, dont certains ont changé d’horizons, d’autres ont persévéré et continué la marche », a déclaré, d’entrée de jeu, Juste Désiré Mondelé.
L’orateur a ajouté, en outre, que le parcours politique est souvent jonché d’embuches. Dès la création du parti, a-t-il expliqué, le Club-2002-PUR s’était fixé, entre autres objectifs, de soutenir les idéaux du ... Lire la suite

Les agents et cadres de l'entreprise accusent près de cinquante mois d'arriérés de salaire. Ils prient le président de la République de nommer de toute urgence un nouveau comité de gestion et de réhabiliter les délégués syndicaux, cadres et agents illégalement licenciés.
L’arrivée de nouvelles autorités à la tête du pays parait être un bon moment pour les travailleurs des entreprises publiques et fonctionnaires de l’Etat de monter au créneau en vue de revendiquer leurs nombreux mois d’arriérés de salaires et l'amélioration de leurs conditions de travail. C’est notamment le cas de la Société nationale d’assurances (Sonas) qui vient d’emboîter le pas à Transco et à la SCPT où l’on a enregistré des remous sociaux sur fond de réclamation des arriérés de salaires.
Une organisation syndicale, le Renouveau de l’action syndicale (RAS), qui ... Lire la suite

La nouvelle élue était candidate dans la circonscription électorale de Bambesa, dans la province du Haut-Uélé (nord-est) qui n'avait qu'un seul siège à pourvoir pour vingt et un candidats dont seize hommes et cinq femmes.
Membre du Parti congolais pour le développement, Aminata Namasia est, depuis le 28 janvier, deuxième assistante du président du bureau provisoire de l'Assemblée nationale, conformément à la Constitution qui stipule que ce bureau est présidé par le député le plus âgé, secondé par les deux plus jeunes. L'autre jeune député, Jackson Ausse Afingoto, est âgé de 26 ans, alors que le président du bureau provisoire, Kyungu wa Kumwanza, est âgé de 80 ans.
Aminata Namasia est diplômée en économie monétaire depuis 2017 de la Faculté d'administration des affaires et sciences économiques de l'Université protestante au Congo. Elle ... Lire la suite

A l’heure où les tractations vont bon train pour la formation du prochain gouvernement, la famille politique de l'ex-président de la République semble être gagnée par un malaise entretenu dans la perspective du partage de postes entre ses membres.
Tout le monde veut avoir voix au chapitre dans l’exécutif national et chacun ne manquent pas d'arguments pour faire prévaloir sa revendication. Les partis politiques ayant apporté plus des voix et permis à la « Kabilie » d’avoir la majorité parlementaire à l’issue des législatives du 30 décembre réclament la grosse part du gâteau. Difficile donc de contenter tout le monde dans cette plate-forme hétéroclite où l’intérêt collectif est souvent sacrifié sur l‘autel des ambitions personnelles.
En attendant les orientations et les délibérations de l’autorité morale qui n’est autre que le président de ... Lire la suite
La famille politique que dirige Claudine Munari a évoqué le sujet, le 30 janvier à Brazzaville, au cours d'une cérémonie d’échange de vœux avec la presse nationale et internationale.
La plate-forme politique a mis à profit la rencontre pour dévoiler le contenu de son mémorandum sur l’état de la nation. La brochure de près d’une vingtaine de pages passe en revue les différents secteurs de la vie du Congo.
En effet, sur le plan social, la Fédération de l'opposition congolaise déplore la montée fulgurante du chômage des jeunes, la détérioration de l’offre de santé, l’émergence des antivaleurs et le banditisme dans les grandes agglomérations du pays.
En outre, elle a exhorté les pouvoirs publics à prendre à bras-le-corps le phénomène de glissement de terrain qui met en danger la population, dans certaines villes.
De même, la Fédération de ... Lire la suite

Décidemment, l’étau semble de plus en plus se desserrer autour de Martin Fayulu, le candidat malheureux à la présidentielle du 30 décembre, qui voit ses principaux soutiens apporter de l’eau au moulin de son ex-challenger.
Des messages de félicitations qui viennent de quelques partis et regroupements politiques affiliés à la coalition Lamuka augureraient, d’après maints observateurs, des dissidences éventuelles à l’heure de la redistribution des cartes.
L’Alternance pour la République (AR), une des plates-formes membres d’Ensemble pour le changement de Moïse Katumbi et membre de Lamuka est montée au créneau, le 29 janvier, pour féliciter l’actuel chef de l’Etat, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, et prendre acte de son investiture par la Cour constitutionnelle.
Dans une déclaration faite à la presse, ce regroupement politique a notamment insisté sur ... Lire la suite

Les principaux membres de l'organisation ont tous pris part, le 29 janvier, à la messe de suffrage dite en mémoire des victimes de la répression des marches organisées le 31 décembre 2017 et le 25 janvier 2018 en protestation contre un troisième mandat de Joseph Kabila.
Toutes les têtes couronnées du Comité laïc de coordination (CLC) ont assisté à la messe, mettant ainsi fin à la longue clandestinité à laquelle les anciennes autorités les avaient contraintes. Environ treize mois après le lancement des actions qu’ils avaient initiées pour exiger l’alternance politique en République démocratique du Congo (RDC), les dirigeants du CLC peuvent enfin humer l’air frais de la liberté en s’affichant en public sans peur d’être arrêtés.
Ces laïcs catholiques étaient au centre des attentions au cours de cette célébration eucharistique. Ndaywel è Nziem, le ... Lire la suite
Dans une interview accordée aux Dépêches de Brazzaville, le 29 janvier, le président du parti, Aurélien Brillant Miamissa, a dit remettre en place le Pacte républicain pour une alternance démocratique apaisée (Prada), en perspective des échéances de 2021.
« Nous sommes en train de nous battre pour pouvoir exiger du système en place une gouvernance électorale consensuelle. C’est pourquoi, nous sommes en train de remettre sur pied le concept Prada. Nous l’avons proposé en 2015 et aujourd’hui nous pensons qu’il est d’actualité. Nous sommes dans les démarches pour que de plus en plus, les structures politiques y adhèrent », a déclaré Aurélien Brillant Miamissa.
Pour lui, il s’agit de demander au gouvernement de mettre en place une gouvernance électorale qui mettra tout le monde en confiance, afin d’éviter le conflit post-électoral de 2016.
« Il ... Lire la suite
Reçue par le président du Sénat, Pierre Ngolo, le 29 janvier à Brazzaville, une délégation d'experts du parlement panafricain, conduite par Aurélien Simplice Zingas, a échangé sur la possibilité pour le Congo d’accueillir, courant deuxième trimestre de cette année, les assises des parlementaires de haut niveau sur le financement de la maldie.
« C’est une mission composée de trois personnes que le parlement panafricain m’a demandé de conduire ici à Brazzaville pour rencontrer le président du Sénat afin de voir avec les hautes autorités et le pays frère, la possibilité pour le Congo d’abriter le sommet des parlementaires de haut niveau sur le financement du VIH/sida, au regard de tout ce que le pays fait dans le domaine de la santé », a signifié le chef de la délégation.
Aurélien Simplice Zingas a fait part de l’écho parvenu au parlement ... Lire la suite

C’est sous des vagues de mécontentement, au plan social, que le nouveau chef de l'Etat entame son mandat à la tête du pays.
Juste au lendemain de sa prise effective de pouvoir, le président de la République a été obligé de tourner son attention vers l’est du pays, précisément à Lubumbashi, où des étudiants en furie de l’Université de cette ville ont eu à en découdre avec des forces de sécurité. A la base, des revendications pour l’amélioration de leurs conditions de vie sur le site universitaire et le réajustement des frais académiques. Quatre morts dont trois étudiants et un policier ont ponctué les scènes de violence ayant déferlé le dernier week-end à Lubumbashi, lesquelles scènes ont amené la présidence de la République à prendre une série des mesures, notamment l’interpellation du ministre de l’Enseignement supérieur et ... Lire la suite