Société
La Rencontre pour la Paix et les Droits de l’Homme (RPDH) l’a ainsi affirmé dans sa déclaration rendue publique à Pointe-Noire, la semaine dernière, à l'occasion de la journée internationale de l’éducation. Il ressort que l’absence d’une éducation de qualité limite la participation des individus aussi bien dans le domaine des droits de l’homme que dans les domaines politique, économique et social.
La République du Congo reconnaît le droit à travers ses constitutions, le droit à l’éducation par exemple, car l'éducation joue un rôle important dans le développement économique et social. Cela se justifie à travers la part importante que le budget de l’État alloue à l’éducation depuis quelques années. Et selon la RPDH, d’après le Plan national de développement (PND) 2012-2016, les crédits alloués au système éducatif représenteront 11,67% ... Lire la suite
Mis en œuvre dans le but de favoriser l'accès des démunis à l'entrepreneuriat rural à travers la formation des jeunes, la production et la transformation des produits d'agriculture, d'élevage et de pisciculture au Congo, le centre Songhaï de Louvakou qui a démarré ses activités en février dernier suscite déjà la curiosité des visiteurs
La ministre des Affaires sociales, de l’Action humanitaire et de la Solidarité, Emilienne Raoul, a visité le 7 août ce centre réalisé par le Projet d'appui à la réinsertion socioéconomique des groupes défavorisés (Parsegd), cofinancé par le gouvernement congolais et la Banque africaine de développement. Sur une étendue de 200 hectares mise en valeur depuis le mois de juillet 2011, germent déjà quelques productions. En effet, le centre dispose actuellement de 10 hectares de soja récolté dont la production est estimée ... Lire la suite
Trois fillettes de trois ans chacune, des triplés à la naissance, ont succombé dans un un incendie d’origine inconnue au quartier Ngoyo, le 6 août dernier. Ému par ce drame, l’honorable Raymond Isaac Follo, député de la circonscription unique de Ngoyo (Pointe-Noire) a décidé de soutenir moralement et matériellement la famille éplorée.
Il est 12 heures quand le feu embrase la maison de Stanislas Samba, un jeune congolais amputé de ses deux bras à la suite d’un grave accident de travail. En dépit des cris de détresse de ce dernier, quand commence le brasier, les trois fillettes n’ont pu être sauvées. Alertée, la maman qui tient un étal au marché n’est arrivée que pour constater l’irréparable.
Tout le quartier, les voisins, les parents, les amis n’ont toujours pas de mots pour qualifier le sort qui s’est abattu sur la famille de Stanislas ... Lire la suite
Trois membres d’une famille ont été froidement abattus par un assaillant à l’aide d’une machette : un enfant plus deux adultes. L'acte a eu lieu dans la nuit du 6 au 7 août, précisement dans le premier arrondissement Lumumba. Interpellé, le directeur départemental de la police, Victor Gaëtan Oborabassi, a animé un point de presse le mardi 12 août pour rassurer la population sur la détermination de la force publique à arrêter l'auteur ou les auteurs de cet acte.
Les Ponténégrins continuent de s’interroger sur les circonstances de ce triple assassinat. Car lors de la descente sur les lieux du directeur général de la police, le constat a établi que rien n’a été emporté sur les lieux du crime. Contrairement donc aux voleurs habituels, celui-ci ou ceux-ci n'ont rien emporté sur les lieux. En effet, la police a retrouvé 109.000 FCFA sur l’une ... Lire la suite
Le docteur Louis Gomès Sambo, directeur de l’OMS-Afrique, a lancé, récemment à Brazzaville, un appel à la solidarité africaine pour faire face aux ravages que cause l’épidémie d’Ébola dans la sous-région.
« Le contexte d’urgence sanitaire international se caractérise par l’épidémie à virus d’Ébola en Afrique de l’Ouest. Ce défi interpelle tous les Africains pour qu’ils fassent preuve de solidarité agissante pour y faire face. À ce titre, je salue le soutien affirmé des experts des pays de l’Afrique centrale et de l’Afrique de l’Est qui ont répondu aux besoins des pays affectés », a affirmé le Dr Louis Gomès Sambo. La situation épidémiologique risque de se compliquer parce que d’un côté, il y a manque de ressources humaines en santé publique et de l’autre, le soutien pécuniaire envers les pays concernés et les institutions ... Lire la suite

L’objectif de la célébration de cette journée est donc d’attirer l’attention de la communauté tant nationale qu’internationale sur les problèmes que rencontrent les jeunes à travers le monde.
La communauté internationale célèbre ce 12 août la journée internationale de la jeunesse sur le thème ‘‘Les jeunes et la santé mentale’’ afin de faire voir à tout le monde les difficultés que rencontrent, au quotidien, les jeunes à cause de la stigmatisation et la discrimination dont ils sont victimes afin de les aider à réaliser pleinement leurs buts et leurs aspirations, a indiqué la directrice générale de l’Unesco, Irina Bokova. Le rapport pays 2010 intitulé ‘‘ Éliminer la pauvreté d’ici 2015, Objectif du millénaire pour le développement’’ indique qu’en RDC, les statistiques montrent qu’environ 60% des jeunes qui sont dans la ... Lire la suite

Les taxis-motos travaillent en dehors des heures de service indiquées par le gouverneur afin de contenir l’insécurité qui va grandissante dans la ville.
Des taxis-motos sont toujours visibles dans les artères de Kinshasa en dehors des heures réglementaires fixées par le gouverneur de la ville-province. Pendant ces temps, ils fonctionnent dans la clandestinité, évitant des arrêts et autres endroits fréquentés. Cette situation est également soutenue par les usagers de ce moyen de transport, qui appellent l’autorité à repenser cette mesure, compte tenu des services que ces taxis-motos leur rendent. « Ces moyens de transport nous servent, surtout pendant ces heures tardives où les véhicules sont difficiles à trouver », tentent-ils de justifier. Pour certains, en effet, l’autorité devrait chercher à encadrer ce nouveau corps de motocyclistes, qui constitue une ... Lire la suite
Les résultats du Brevet d’études du premier cycle, publiés le 11 août à Brazzaville, donnent 41 915 admis sur les 88 441 candidats présentés, soit un pourcentage de 47, 39 % contre 47, 65% en 2013. Avec 70, 70 % d’admis, le département du Niari arrive en tête, suivi de la Bouenza qui a enregistré un taux de 60, 70%. Les départements de Brazzaville et Pointe-Noire, qui ont présenté plus de candidats, occupent respectivement les 9e et 8e rangs avec des taux de réussite de 43,26% pour le premier et 45, 38 % pour le second. Avec un taux d’admission de 21, 95%, le département de la Lékoumou est le tout dernier du pays.
Rappelons qu’en 2013, sur les 83 378 candidats présentés, 39 735 avaient été déclarés admis, soit 47, 65%. Les résultats de cette année sont donc légèrement en baisse par rapport à ceux de l’an passé.
Le coût de ce don est évalué à un milliard sept cent millions de francs CFA. La cérémonie de remise a eu lieu le 11 août à Brazzaville. À travers ce geste, l'Organisation mondiale de la santé (OMS) veut contribuer à la réduction de la mortalité maternelle, néonatale et infantile au Congo.
L’ensemble des médicaments vient des partenaires sanitaires tels que l'OMS-Afrique, UNFPA et l’Unicef. Ce don est composé essentiellement des produits anti-diarrhéiques, de lutte contre la malnutrition, des maladies respiratoires et des antipaludiques. Ils sont destinés à revitaliser les circonscriptions socio-sanitaires du Congo. Les équipements, médicaments et consommables offerts par l’OMS couvrent la période prénatale, les soins essentiels du nouveau-né et la prise en charge des maladies de l’enfant.
« La contribution de l’OMS est l’expression de ... Lire la suite
La ministre des Affaires sociales, de l’Action humanitaire et de la Solidarité, qui vient de séjourner dans le département de la Lékoumou, a fait des dons divers aux populations autochtones. Le geste est à inscrire dans le cadre de la Journée internationale qui leur est consacrée
Émilienne Raoul a, entre autres, remis cinq mille actes de naissance au préfet du département de la Lékoumou, André Ovu, afin de les délivrer gratuitement aux enfants autochtones non déclarés à l’état civil. Cette démarche a été justifiée par le fait que les services sociaux de la Lékoumou ont recensé 2 000 enfants autochtones qui n’ont pas d’actes de naissance. Ce qui les empêche d’aller à l’école. Outre les registres des documents d’état civil remis aux autorités, la ministre des Affaires sociales a également assisté les populations autochtones du village ... Lire la suite

















