Société

Les intéressés accusent cette entreprise minière du non-respect des engagements et exigent, à cet effet, leurs indemnisations.
Au total, 113 familles exigent à Tenke Fungurume Mining de payer leurs frais d’indemnisation de délogement et les frais d’assistance pendant la période de transition de treize mois après leur délocalisation, rapporte radiookapi.net. En outre, ces familles réclament la prise en charge par cette entreprise minière des personnes les plus vulnérables parmi elles et demandent ainsi des titres de propriété des maisons que Tenke Fungurume leur a construites sur le nouveau site à Kiloville.
Ces revendications sont contenues dans une correspondance que ces familles ont adressée le 18 janvier à la société civile de Kiloville. À en croire cette lettre, Tenke Fungurume serait engagée à répondre à ces exigences lorsqu’elle avait délogé ... Lire la suite
La session a eu lieu samedi 18 janvier à la direction de la ville de cette structure, située dans le sixième arrondissement Ngoyo, en présence des membres de cet établissement religieux et de plusieurs invités
En effet selon les animateurs de cette conférence : « L’abus de la sexualité, la pratique de l’homosexualité rendent insensible l’impulsion divine de l’homme par ce que, en se comportant de cette façon, les organes sexuels de ce dernier ne pourront plus être réceptifs à la force divine en rendant spirituellement l’homme comme un être perdant. Pour un chercheur de la vérité il est souhaitable de faire bon usage de sa sexualité s’il prétend suivre avec efficacité le chemin spirituel. »
Répondant aux questions du public, les orateurs ont indiqué que l’école de la Rose-Croix d’or avait un champ greffé à celui du christ, ayant pour rôle ... Lire la suite

La plupart d’entre eux, qui détiendraient des permis de coupe et titres d’agrément délivrés par des personnes non qualifiées, ont un mois pour se mettre en ordre avec le gouvernement.
Le ministre provincial des Ressources naturelles de la Province Orientale, Paulin Odiane, a accordé un délai d’un mois aux exploitants forestiers artisanaux de cette province, en vue de se mettre en ordre avec le gouvernement congolais.
Paulin Odiane cité par radiookapi.net, a, en effet, fait constater, le 19 janvier, que près de quatre-vingt dix pour cent des exploitants forestiers artisanaux travaillent dans l’illégalité. De son avis, la plupart de ces exploitants détiennent des permis de coupe et titres d’agrément délivrés par des personnes non qualifiées. « Nos prédécesseurs ont délivré des documents que nous ne considérons presque pas, parce qu’ils ont été ... Lire la suite
Le lancement de la campagne de sensibilisation et de démarrage du Projet d’assistance médico-chirurgicale en faveur des personnes vulnérables et à revenu faible a eu lieu le 18 janvier à Pointe-Noire, en présence de plusieurs responsables administratifs et ONG
Ce projet, initié par l’Association pour le développement économique du Congo (Adeco) et qui va s’étendre sur une période de dix ans, vise à aider les personnes vulnérables à bénéficier de la gratuité totale des soins médicaux et chirurgicaux ainsi que les personnes à revenu faible à profiter de soins à moindre coût.
Selon Aimé Magloire Boukaka, président-directeur général de l’Adeco, les personnes identifiées et déclarées nécessiteuses (personnes âgées, personnes vivant avec handicap, jeunes filles démunies) bénéficieront, grâce au travail de terrain mené étroitement par Caritas ... Lire la suite
C’est au cours de l’échange qu’il a eu avec la presse, le 17 janvier, que Me Thomas Djolani a remis une copie de cette plainte adressée au juge d’instruction du deuxième cabinet près le tribunal de grande instance de Brazzaville
« Assassinat, tentatives d’assassinat, coups et blessures volontaires, destruction de biens immobiliers, des biens meubles et meubles meublants, vol, incendie volontaire et complicité y afférente au domicile du colonel Marcel Ntsourou », tel est l’objet de cette plainte.
L’ex-numéro 2 du Conseil national de sécurité, Marcel Ntsourou, se fonde sur la privation de liberté dont il aurait été l’objet alors qu’il venait de la recouvrer après son emprisonnement qui a duré dix mois. Argumentant sa plainte, Marcel Ntsourou évoque « un climat d’insécurité évidente pour lui-même et pour sa famille ». Et d’ajouter : ... Lire la suite
L’avocat de Marcel Ntsourou, au cours d’un entretien avec la presse le 17 janvier à Brazzaville, a déclaré avoir écrit officiellement au procureur de la République pour lui soumettre cinq points, parmi lesquels la gestion professionnelle et non politique de l’affaire du 16 décembre 2013
Après s’être conformé aux exigences du parquet qui tenait à ce que l’avocat ait un permis de communiquer avant d’aller prendre contact avec son client, et rejoindre le groupe de Me Ambroise Malonga, Me Thomas Djolani s’est posé la question de savoir si son client, à l’heure actuelle, était un détenu de droit commun ou un détenu politique.
« Si c’est l’un ou l’autre, cela n’exclut pas qu’il puisse jouir de la présomption d’innocence et de bénéficier de la visite et de l’assistance de ses avocats », a-t-il déclaré.
En effet, nombre d’avocats ... Lire la suite

Le nouveau patron de la Police nationale congolaise (PNC) est décidé d'aller jusqu’au bout pour permettre aux Kinois de vivre en toute décence.
Depuis qu’il a pris officiellement ses fonctions à la tête de la PNC, le général Célestin Kanyama est vite passé à l’action en prenant une série des mesures censées remettre de l’ordre dans la ville de Kinshasa. Au nombre de celles-ci, le déguerpissement des vendeurs à la sauvette sur la voie publique. L’opération lancée depuis deux semaines produit déjà des effets palpables comme en témoigne le désengorgement de grands carrefours débarrassés de ces commerçants sans scrupule qui jadis obstruaient la voie publique avec leurs marchandises souvent étalées à quelques mètres de la chaussée.
Aujourd’hui, il devient aisé de circuler au centre-ville et dans les différents centres commerciaux de Kinshasa sans ... Lire la suite

Le juriste et la famille de la victime ont décidé de sortir du silence pour dénoncer la lenteur de cette affaire, une année et trois mois, sans une réaction des autorités judiciaires.
C’est le 17 janvier, place Sainte-Thérèse, commune de N’djili, que la famille de Mlle Dialomba Matuzolele Théthé, d’un air à la fois lugubre et maussade, est sortie de sa réserve pour exiger des sanctions à l’endroit des auteurs de viol de leur fille, 31 ans, objet d’une série de maltraitances début octobre 2012. « Nous avons décidé de dénoncer la lenteur de cette affaire parce que rien n’est toujours fait jusqu’à ce jour. Après une année et bientôt trois mois, on est toujours sans réponses des autorités à qui ce problème a été soumis », a déclaré l'avocat de la famille Dialomba, Me Tanyka.
Dans les explications, les intervenants ont noté que Dialomba, ... Lire la suite
Les membres de la commission chargée de faire partir les occupants anarchiques du massif forestier de la société Eucalyptus Fibre du Congo (EFC) ont effectué le jeudi 16 janvier à Pointe-Noire une visite sur le terrain, afin de s’enquérir de la réalité
Il faut dire que le massif forestier a subi des agressions de l’homme par le biais des coupes frauduleuses massives de bois sur de vastes étendues, à dessein d’occuper des terrains, vendre des parcelles, se faire établir des titres abusifs de propriété et se construire des maisons. Une commission a donc été décidée et mise en place en date du 8 août dernier lors d’un conseil des ministres afin de restaurer l’autorité de l’Etat ; de récupérer tous les espaces spoliés en plein massif forestier des sites du plateau de Hinda, Nanga, Patra et les alentours de la rivière Ngouambouchi allant à Mongo ... Lire la suite
On pensait qu’après les fêtes de fin d’année, les choses allaient rentrer en ordre dans les différents marchés de la ville océane. Les vendeurs continuent d’occuper les abords des rues et des avenues, voire des chaussées, pour étaler leurs marchandises en obstruant la circulation sous l’œil complaisant des gestionnaires des marchés. Ce spectacle est plus criant au grand-marché de Pointe-Noire
Cette attitude qui perdure prend des allures d’un agissement normal et les vendeurs qui travaillent dans le périmètre se plaignent, car les acheteurs ne rentrent plus à l’intérieur des marchés, ils s’arrêtent juste dans les rues et sur les chaussées où sont installées, sous l’œil complaisant des gestionnaires des marchés, des marchandises.
Ce spectacle crée non seulement des embouteillages et des accidents de circulation, les véhicules ayant de la peine à ... Lire la suite