Distinction : l’écrivain Yvon Wilfride Lewa-Let reçoit le Grand Prix Plum’art-Z

Samedi 11 Octobre 2025 - 16:49

Abonnez-vous

  • Augmenter
  • Normal

Current Size: 100%

Version imprimable

Le prix a été remis récemment à l’écrivain-dramaturge Yvon Wilfride Lewa-Let Mandah lors de la cinquième édition de Plum’art-Z qui distingue chaque année  les hommes de lettres et des arts méritants.

Le Grand Prix Plum’art–z 2025 décerné à Yvon Wilfride Lewa-Let Mandah vient couronner son immense talent; lui qui célèbre dans un an les trente ans de sa riche et prolifique carrière artistique. Il lui a été remis pour l’ensemble de son œuvre afin de l’honorer et de reconnaître son influence dans la littérature d’expression française. Le concours international Plum’art, initié par les organisateurs de cette activité six mois plus tôt et dont les heureux récipiendaires ont été couronnés au cours de la cérémonie, en catégorie théâtre, a porté le nom de l’illustre écrivain Yvon Wilfride Lewa-Let Mandah.

Ecrivain, poète, dramaturge, comédien, metteur en scène, Yvon Wilfrid Lewa-Let Mandah qui vient de publier récemment  « L’appel au devoir patriotique », son treizième ouvrage, est un homme de culture dont l’auréole ne se dément plus aujourd’hui. En presque trente ans de carrière artistique, il a publié des recueils de poèmes, des pièces de théâtre, des essais, des nouvelles et des romans en peignant la vie sociale et en fustigeant les dérives et les antivaleurs qui gangrènent notre univers. C’est une multitude d’œuvres littéraires sorties de sa muse parmi lesquelles on peut citer « Mon patron n’est pourtant  pas un blanc » (Théâtre), « Les jalons » (Poésie), « Apocalypse » (Théâtre), « Mon refuge » (Essai), « Tout ou Rien (Théâtre), « Aisance »(Théâtre), « L’Ailleurs » (Poésie), « Hécatombe ou remontada » (Théâtre). De sa plume acérée, il dénonce, fustige, condamne les travers de la société qui mérite plus que jamais une thérapie réparatrice pouvant l’amener vers le mieux-être, le bon vivre, bref vers la cité idéale qu’il appelle la «Namenttitude» , un néologisme qu’il présente comme l’art du bien-être pour tous et du bien faire pour tous.

Depuis près de trente ans, Yvon Wilfride Lewa-Let Mandah parcourt le monde en tant que président national de l’Institut international de théâtre, une organisation affiliée à l’Unesco. Il participe aux grandes réunions internationales en hissant très haut le drapeau national par ses interventions judicieuses et éclairantes comme ce fut le cas à Segovie, en Espagne, à Stockholm, en Suède, à Anvers, en Belgique, à Accra, au Ghana. Promoteur du festival international de théâtre et autres arts de la scène, il est aussi récipiendaire en 2001 du Prix international de poésie Tchicaya-U’tamsi en 2003 et du prix Tchikounda de meilleur écrivain du Kouilou. En mars 2016, sa pièce de théâtre « Tout ou rien » lui a valu une invitation au salon du livre de Paris.

Manager de logistique du personnel, interprète et traducteur bilingue, Yvon Wilfrid Lewa-Let Mandah est un ancien leader du Cercle biblique évangélique de l’Eglise évangélique du Congo, à Pointe-Noire, qu’il sert également comme diacre. Responsable de l’action évangélique pour la paix, il est diplômé de l’Institut de formation aux ministères et œuvres chrétiennes de Paris. Président du Centre de réveil chrétien international, antenne de Pointe-Noire, il y exerce le ministère pastoral. Ancien étudiant de la Faculté des sciences de l’Université Marien-Ngouabi, il est marié et père de famille.

 

Hervé Brice Mampouya

Légendes et crédits photo : 

L'écrivain Yvon Wilfride Lewa-Let Mandah/DR

Notification: 

Non