Art-Culture-Média
Depuis plusieurs années, Radio France internationale met en avant les nouveaux talents musicaux du continent africain à travers le prix "Découverte Rfi". Pour l’édition de 2014, la Congolaise Oupta est retenue parmi les neuf finalistes.
« Tout s’est passé au niveau de Rfi qui lance des appels à candidatures où nous sommes présentés en fournissant des dossiers. Au début il y avait une centaine d’artistes et par la suite le jury s’est retrouvé et a décidé de ceux qui partent en finale et nous avons été choisi.»
C’est avec beaucoup d’enthousiasme et de détermination que l’artiste congolaise affronte ce concours et espère faire revivre au public congolais les souvenirs d’un autre sacre de "Prix découverte Rfi", après celui de ces aînés Zao et Philippe Sita dans les années 1980.
« Nous sommes juste finalistes et pas lauréats et pour arriver à ... Lire la suite
Qu’en plus de son plébiscite comme meilleur artiste de l’année, le Roi de la forêt soit sorti du Saban Theatre l’autre bras chargé du trophée décerné à Techno Malewa Mécanique soulève bien des passions
Les commentaires postés sur le Net au lendemain de la remise des prix, le 13 septembre à Hollywood, ont précédé la polémique que suscite désormais le double couronnement du patron de Wenge Musica Maison Mère auprès de nombreux mélomanes. Opposés aux fanatiques de l’orchestre, d’aucuns se demandent sur quelle base Werrason a été primé meilleur artiste africain. L’un des contestataires s’est posé la question de savoir quelle est l’œuvre, album ou single, actuellement sur le marché, dont le succès lui aurait permis de prétendre à un titre aussi prestigieux. Le dernier en date, le fameux Satellite+2, aurait manqué de se placer convenablement sur ... Lire la suite
Parmi sept finalistes d’Afrique, des Caraïbes, de l’océan Indien et du Moyen-Orient, le texte Chemin de fer du dramaturge congolais Julien Mabiala-Bissila a été récompensé du prix RFI-Théâtre le 28 septembre 2014 à Limoges, lors du trente et unième festival des Francophonies en Limousin
« Jusqu’à aujourd’hui, je ne me considérais pas vraiment comme un auteur malgré tous les textes que j’ai écrits… J’étais d’abord comédien, je n’écrivais pas. Je n’ai jamais pensé être édité », a déclaré à Radio France internationale le lauréat congolais du nouveau prix RFI-Théâtre 2014 le 28 septembre 2014. « Nous vivons dans des pays démocratiques, mais des démocraties tropicales, des pays très fertiles pour produire des paradoxes », écrit Julien dans Chemin de fer, texte qui clôt l’épisode sur la guerre. Une sorte de catharsis pour ... Lire la suite
Si vous aimez les histoires d’amour à l’eau de rose, comme en raffolent les lecteur des Éditions Harlequin par exemple, voici un roman qui ne manquera pas de vous plaire, quoiqu’il soit un peu plus que cela. Si vous aimez les histoires bien fagotées où l’auteur vous mène de péripétie en péripétie, ménageant toujours assez de suspense pour maintenir son lecteur en haleine, vous ne serez point déçu puisqu’il faut lire de bout en bout pour connaître le fin mot de l’histoire, les secrets et les mystères du passé n’étant révélés qu’à petites doses, selon une économie narrative parcimonieuse bien maîtrisée…
Jennifer et Rodolfo sont les personnages principaux de ce roman. Ils se rencontrent sur une plage de San Martin, une petite bourgade sans histoires sur la côte Est du Mexique, non loin de la capitale. C’est tout de suite le coup de foudre entre ... Lire la suite
À Brazzaville, on ne se lasse pas d’écouter Shalaï en esquissant des pas de danse sur les rythmes enjoués du soukouss et du ndombolo. Cette chanson a fait danser et continue de faire danser les mélomanes congolais et d’ailleurs
L’évocation de cette chanson mythique du groupe Extra Musica rappelle bon nombre de souvenirs aux amoureux du quatrième art : « Que j’ai dansé au rythme de Shalaï ! », s’exclame un des fans de l’orchestre en écoutant la chanson.
Shalaï véhicule un message d’amour et de paix. C’est en 1999 que la chanson voit le jour. Avec cette belle complainte, le groupe Extra Musica de l’époque a fait la fierté du Congo et danser toutes les générations confondues.
Grace à ses succès (Shalaï, État-Major, et bien d’autres), le groupe a été honoré plusieurs fois dans différentes catégories. En 1996 notamment, il a reçu un disque ... Lire la suite
L’événement aura lieu le dimanche 5 octobre prochain dans la salle de conférence de la préfecture de Brazzaville. C’est un spectacle qui boucle définitivement les vacances. Au programme : beaucoup d’humour.
Brazza-comédy show est une plate-forme des jeunes qui mettent en évidence l’humour à travers un One man show. Une reprise de l'émission dénommée « Brazza comédy show », diffusée sur la chaîne de télévision Drtv international dans le but de divertir, détendre et égayer les spectateurs.
Cette plate-forme qui promeut la culture congolaise rapelle Jamel comédy club, une production connue sur des chaînes de France. Brazza comédy show met en évidence un animateur principal qui fait rentrer des artistes à tour de rôle. Ils peuvent être cinq, six, sept. Cette plate-forme, qui existe depuis longtemps, a lancé son émission depuis le mois ... Lire la suite
La première marelle a été implantée à Moungali dans le quatrième arrondissement de Brazzaville, précisément dans le quartier 47, par l’association « Enfants du Congo- Enfants du Monde » que préside Jean Paul Wabotaï assisté de Isabel Colomer. Cette cérémonie s’est déroulée en présence des bénéficiaires notamment les enfants et même les grandes personnes
La principale décision découlant du premier festival Alphabet Africa organisé par ladite association, a été d’implanter les marelles dans les neufs arrondissements de la ville capitale. Afin de mettre à exécution cette décision, l’association « Enfants du Congo- Enfants du monde », vient de déclencher le processus en implantant la première marelle à Moungali dans le quatrième arrondissement de Brazzaville.
Pour l’initiateur de ce projet, Jean Paul Wabotaï, l’importance de la marelle ... Lire la suite
L’écrivain et journaliste algérien Kamel Daoud vient d’obtenir le treizième prix des Cinq Continents de la Francophonie en proposant une variation autour du célèbre roman L’Étranger d’Albert Camus
Le livre Meursault, contre-enquête, paru en Algérie aux Éditions Barzakh en 2013 puis en France chez Actes Sud en mai 2014, est un roman qui peut se lire tel un reflet de L’Étranger soixante-dix ans après. Un hommage d’autant plus digne que l’écriture de Daoud se savoure à chaque ligne. Il plonge le lecteur dans une profonde réflexion sur les héritages qui conditionnent le présent et sur le pouvoir exceptionnel de la littérature pour dire le réel. Dans son ouvrage, l’auteur s’interroge sur la personnalité de l’algérien assassiné par le héros de L’Étranger, le chef-d’œ
uvre d’Albert Camus publié en 1942. C’était en Algérie. Meursault ... Lire la suite
Le 15 octobre 2014 au Centre Wallonie-Bruxelles à Paris, les écritures du Sénégal seront à l’honneur dans le cadre de l’édition 2014 du festival Francophonie métissée qui se tient du 1er au 17 octobre. La manifestation présente une programmation qui fera se croiser cinéma, musique, mode et photographie
La littérature sénégalaise, reconnue comme l’une des plus importantes d’Afrique francophone, sera représentée au festival Francophonie métissée par trois auteurs majeurs. Invitée de haut niveau, Aminata Sow Fall, que l’on ne présente plus dans l’espace littéraire africain, est une figure de proue de la modernisation culturelle de son pays. L’essentiel de son œuvre s’inspire de la société sénégalaise dont elle dresse le portrait. On comptera aussi sur la présence de Felwine Sarr, écrivain, universitaire et musicien, dont l’œuvre, très ... Lire la suite
Paris. Cinéma : 23e quinzaine du cinéma francophone dans le cadre du festival Francophonie métissée du 1er au 17 octobre au Centre Wallonie-Bruxelles. Le Sénégal est à l’honneur cette année au sein d’une programmation dense où se croisent cinéma, littérature, musique, mode et photographie. De nombreux films et documentaires seront projetés tout au long de cette quinzaine, dont un coup de projecteur sur les deux Congo les 7 et 8 octobre : Les Fantômes de Lovanium de Cécile Michel sur les étudiants de l’université de Kinshasa ; Mantuila, un fou de la guitare, de Michée Sunzu, un portrait du musicien François Mutuila ; et Sur les chemins de la rumba de David-Pierre Fila, un voyage musical sur les côtés africaines, seront projetés respectivement le mardi 7 octobre à 18h30 et le mercredi 8 à 18h30 et à 20h30. Une soirée littérature est également à ne pas ... Lire la suite
