Art-Culture-Média
Le film de sensibilisation aux violences conjugales alerte l'opinion publique, femmes et hommes en général, sur les violences faites aux femmes dans le silence de leur foyer. De 1h 5 minutes avec des scènes parfois insoutenables, le film décrit l'horreur que subissent des femmes sous l'emprise de leur bourreau. Produit par Ciblerecordfilm, il tombe à point nommé pour susciter une prise de conscience auprès des jeunes filles.
Nouvellement mère, Therez vit une belle romance avec Destin, son conjoint, jusqu'au jour où celui-ci tombe sur un SMS qui le transforme radicalement. Soupçonneux et jaloux, il se transforme peu à peu en bourreau. Therez ne reconnaît plus son mari, aimant et avenant, mais elle lui trouve néanmoins des excuses et le protège en s'infligeant toute la responsabilité et prie que celui-ci change.
Confuse, apeurée et tétanisée par tant de ... Lire la suite
Brazzaville accueillera, le 27 mai, une conférence live dédiée aux entrepreneurs et aux acteurs du monde des affaires congolaises. Avec des enjeux stratégiques et des préparatifs intensifs, cette rencontre promet d’apporter des perspectives nouvelles et d’enrichir les pratiques commerciales dans un environnement en pleine mutation.
À mesure que la date approche, l’enthousiasme grandit et les préparatifs s’accélèrent. La rencontre mettra particulièrement l’accent sur l’impact des réseaux sociaux sur les stratégies commerciales modernes, un sujet devenu incontournable pour les professionnels cherchant à renforcer leur visibilité et leur compétitivité.
Les éditions précédentes ont, certes, marqué les esprits, mais cette année s’annonce exceptionnelle. La transformation rapide du numérique et l’évolution des tendances de consommation en ligne ... Lire la suite
Avec son nouveau single « Amour illusoire », Ferré Gola surprend une fois de plus son public en explorant un univers intime et épuré, loin des sonorités luxuriantes qui ont marqué son parcours dans la rumba congolaise. Ce titre, chanté principalement en français, mise sur une instrumentation minimale, mettant ainsi en lumière la puissance et la profondeur de son interprétation vocale.
Délaissant les orchestrations riches et les riffs de guitare entraînants qui caractérisent la rumba congolaise, Ferré Gola opte ici pour une simplicité musicale assumée, portée par un piano délicat et des arrangements subtils. Ce choix artistique crée une atmosphère intime et mélancolique, permettant de concentrer toute l’attention sur l’émotion brute et sincère qu’il transmet à travers sa voix.
Cette orientation musicale s’inscrit dans une volonté de réinvention ... Lire la suite
Pour son spectacle "Je suis à prendre ou à laisser", le metteur en scène congolais Abdon Fortuné Koumbha sera sur scène à Paris, du 16 au 17 juin. Artiste culturel pluriel, son parcours témoigne de sa recherche constante et novatrice dans multiples disciplines artistiques. Toujours à la quête de l'excellence, Abdon Fortuné Koumbha lie tradition et modernité pour créer des formes artistiques singulières et surprenantes, plébiscitées par le public et reconnues par ses pairs.
Le spectacle " Je suis à prendre ou à laisser" met en avant l'histoire émouvante d'une jeune femme, Angela, qui quitte son village natal pour la grande ville, portant en elle l'espoir d'une vie meilleure et l'aspiration d'une carrière prometteuse. Rêvant de devenir une grande chanteuse reconnue, elle découvre via son manager les méthodes qu’on lui impose pour devenir une barbie de ... Lire la suite
Au lendemain de la fin du régime du président Fulbert Youlou, les 13, 14 et 15 août 1963 et l’expulsion forcée des Congolais de Brazzaville vivant à Léopoldville par Moïse Tshombé, Premier ministre du Congo belge, Edo Ganga et Daniel Loubelo dit de la Lune, sociétaires de l’Ok Jazz, n’échappent pas à la règle. De retour au bercail, ils portent sur les fonts baptismaux l’orchestre dénommé Témbo.
Après la création de l'orchestre, au fil des jours un climat délétère résultant d’un égocentrisme entre les deux figures de proue obligea Edo Ganga de le quitter et rejoignit l’orchestre Bantous de la capitale en août 1964. De par ses qualités artistiques et son savoir-faire, il s’impose comme un monument incontournable de la musique congolaise à travers ses titres tels que "Kota na URFC", "Banguisa ndzoto Suzana", ‘’Mbanda tu perds ton temps", ... Lire la suite
A l’annonce du décès de l’ancien sociétaire d’Extra musica, Régis Touba, le 15 mai dernier en France, des suites d’un malaise, le député de Poto-Poto 3, Ferréol Gassackys, ancien manager de ce groupe à sa fondation, a réuni à son domicile tous les co-fondateurs et anciens de cet orchestre présents à Brazzaville pour voir comment apporter leur soutien multiforme afin que leur ancien collègue de première heure soit inhumé tel qu’il se doit.
L’initiative entreprise par Ferréol Gassackys de réunir tous les anciens d’Extra musica de première heure, Roga-Roga, Doudou Copa, Quentin Moyascko, Espe Bass, Raymond Nti,..., est vivement louée par ces derniers en dépit de leurs divergences. Régis Touba étant le premier des anciens sociétaires d’Extra musica à tirer sa révérence, il était de bon aloi, que tous les anciens d’Extra musica, quelles ... Lire la suite
Le cinéma congolais s’apprête à accueillir une œuvre poignante avec la sortie prochaine de « Violent », le nouveau film du réalisateur et acteur Albe Diaho. Ce long métrage sera projeté en avant-première, le 25 mai à Canal Olympia de Poto-Poto, à Brazzaville, suivi d’une projection le 1er juin à Pointe-Noire.
« Violent » s’annonce comme une véritable thérapie pour les femmes subissant des violences conjugales au quotidien. À travers ce film, Albe Diaho met en lumière les souffrances souvent silencieuses des victimes, offrant une plateforme pour la sensibilisation et la réflexion.
La bande-annonce, disponible sur les réseaux sociaux, dévoile une atmosphère intense et émotionnelle, promettant une immersion profonde dans la réalité des violences domestiques. Le casting réunit des talents tels que Christelle Nanda, Young Ace Waye, Dinel Desouza, et ... Lire la suite
Depuis le décès de l’artiste musicien Régis Touba, le 15 mai dernier en France des suites d’un malaise, des opérateurs culturels, artistes musiciens, chroniqueurs de musique, amis et connaissances envahissent la toile par de messages de condoléances.
L’un des artistes musiciens qui faisait partie de la génération dorée de la musique congolaise et africaine, Régis Touba, ancien sociétaire d’Extra musica, Extra musica international et Z1 international, était pétri de talents. Chanteur avec un très bon timbre vocal, Régis Touba était réputé grand danseur aussi. L’élégance faisant partie de la musique, Régis Touba le "grand tigre" l’était aussi. Depuis son décès le 15 mai dernier, des messages de condoléances venant de partout ne cessent d’inonder la toile. Voici quelques uns.
Ferréol Gassackys, à l’époque le premier manager d’Extra ... Lire la suite
Le 31 mai à 18h, la scène des Ateliers Sahm à Brazzaville vibrera au rythme de la musique engagée de B’eggy Mam, artiste de Sahmusique, qui signera un concert pas comme les autres. Un rendez-vous à la croisée de l’art et du combat social, où la musique devient un cri, une prière, un acte de résistance.
Entrée libre, mais émotion garantie promet la soirée. À travers ses chansons, ses textes et sa présence scénique, B’eggy Mam s’adresse aux femmes, aux enfants, aux oubliés. Elle donne corps aux douleurs souvent passées sous silence, mais aussi à la force de celles et ceux qui, malgré tout, se tiennent debout. Chants, danses et paroles s’enchaîneront dans une performance conçue comme un espace de libération et de conscience.
Ce concert se veut, entre autres, une occasion pour dire stop. Stop aux violences faites aux femmes, à l’exploitation des ... Lire la suite
Et si les objets pouvaient parler ? Dans « Dahomey », Maty Diop imagine la voix d’une statuette pour raconter le voyage retour de vingt-six trésors royaux pillés par la France au XIXe siècle et restitués au Bénin en 2021. Ce documentaire singulier sorti en 2024 et couronné par l’Ours d’or à Berlin mêle mémoire, politique et poésie avec une intensité particulière.
Pendant 68 minutes, la réalisatrice franco-sénégalaise plonge le spectateur dans un voyage à la fois physique et symbolique. Des caisses traversent l’Atlantique, mais ce sont surtout les consciences qui s’éveillent. À travers cette voix-off, à la fois intime et intemporelle, Diop donne une âme à ces œuvres longtemps enfermées derrière des vitrines. Car ce n’est pas seulement l’histoire d’un retour, c’est celle d’une réparation.
Le film alterne entre scènes tournées en ... Lire la suite