Art-Culture-Média
Jean Jacques Mboungou, directeur départemental du Patrimoine et des Archives au Niari, a effectué du 25 au 29 août une mission de travail à Divenié, au cours de laquelle il a invité les habitants de cette localité à protéger le patrimoine culturel immatériel.
Durant cinq jours , le directeur départemental du Patrimoine et des Archives s'est entretenu avec les chefs des sept quartiers de Divenié, les représentants des groupes de danses traditionnelles , les guérisseurs, les nzonzi afin de les tenir informés de l’inscription de leur patrimoine culturel sur la liste représentative de l’humanité, dont ils sont possesseurs.
Satisfait de cette collaboration, le directeur s’est dit content de sa mission : « Je suis heureux du résultat obtenu au cours de cette mission. Les chefs des quartiers et praticiens ont approuvé ... Lire la suite
L’atelier d’initiation à la peinture organisé par Québec Art « Les enfants du phare » du 4 Juillet au 29 Août au quartier Mpaka dans le 6e arrondissement Ngoyo à Pointe-Noire a pris fin avec la remise des diplômes de participation aux enfants et des cadeaux aux trois meilleurs enfants qui ont produit les meilleurs tableaux au cours de la formation.
Pendant près de deux mois, une vingtaine d’enfants âgés de 7 à 18 ans ont appris l’art pictural sous la direction de Carl max et Yann, les animateurs de l’atelier. Ceci, pour leur permettre d’être en éveil pendant les vacances afin qu’ils ne s’adonnent pas aux loisirs peu amènes et à l’oisiveté, source de beaucoup de maux.
« Protection de l’environnement » a été le thème de l’atelier qui a permis aux enfants d’extérioriser leur talent en art plastique. Chaque enfant a façonné une toile en ... Lire la suite

Découvert d’abord à la deuxième soirée de Toseka, le 27 août, l’humoriste représentant le Cameroun à cette troisième édition du Festival international d’humour de Kinshasa a amusé les Kinois avec ses histoires drôles qui ont pour toile de fond les femmes et les blancs. Revenu à la soirée de clôture, le 30 août, il nous a livré ses impressions sur sa participation.
Les Dépêches de Brazzaville : Comment peut-on vous vous présenter à nos lecteurs ?
Valery Ndongo : Comme Valery Ndongo, humoriste camerounais venu participer la première fois au Festival Toseka.
LDB : Votre « fond de commerce », vous l’avez dit, c’est les femmes et les blancs, il ya vraiment tant à dire sur eux ?
VN : Oui, parce que nous sommes en Afrique et il y a l’Afrique et la France. Les blancs et les noirs nous avons une longue histoire et très, très compliquée. Donc, ... Lire la suite
Dans le cadre des onzièmes Jeux Africains qui se tiendront du 4 au 19 septembre à Brazzaville, il est prévu en prélude, à partir du 2 septembre plusieurs activités culturelles .
Selon le programme établi à cet effet, la journée du 2 septembre en matinée est réservée au forum du cinquantenaire à l’auditorium du palais des Congrès dont le grand hall abritera l'exposition. Le forum se poursuivra le 3 septembre dans la matinée et prendra fin dans l'après- midi. Le même jour, se tiendront des plénières sur le thème " les Jeux et l’Afrique" , alors qu'à 19 h aura lieu une soirée de gala.
L’exposition du cinquantenaire sera ouverte au public dès le 2 septembre jusqu’à la fin des Jeux Africains. Des images et vidéos sur lesdits Jeux depuis leur création jusqu’ à nos jours seront exposées et projetées. Six grands panneaux seront ... Lire la suite
Paru en juin 2015, l’ouvrage « Par les temps qui courent » a été présenté au public, le 28 août au centre de formation et de recherches en art dramatique (cfrad) lors des Vendredis littéraires. Ce recueil de poèmes est un appel à la vigilance ; à la tolérance ; à la tempérance et au bon sens autour de soi, un appel au réveil et à l’éveil.
Dans cet ouvrage de 164 pages, publié aux éditions l’harmattan, l' auteur parle de la fleuvitude qui est un concept qui nous renvoie à nos origines, à nos sources. C’est un retour aux sources, aux valeurs, aux fondamentaux. La fleuvitude, c’est la vie dans toute sa diversité.
« Par les temps qui courent » comporte quatre parties à savoir: l’hymne fluvial, l’hymne terrestre, l’hymne céleste et l’hymne temporel. Chacune de ces parties participent à la poéticité fluviale.
A ... Lire la suite
A l’origine, c’était « Iboga-l’Odzanga » qui veut dire « rites guerriers » avant de devenir « Ekongo ». La danse se distingue du Kiébé-Kiébé par son essence. A la fois populaire et réservée aux initiés, la danse Ekongo est née au Congo, dans le département de la Cuvette, durant la colonisation.
Atékou, Ekongono, Oyeba, Assoko, Abondji, Egnongo, Koyo-Ngandza, Ossangou, ensuite Okonda sont les villages qui ont posé les fondements de cette danse. Ekongo promeut la robustesse et développe les techniques de jeux de jambe (traits caractéristiques de la danse Ekongo d’hier et d’aujourd’hui) basée sur la force pure.
En effet, pour le grand dépositaire de cette danse, Albert Mboka Mouan’Eka, alias Etongo la dimè, qui se traduit par (un étang profond qui se mesure avec une branche), la danse Ekongo développe dès ses origines des valeurs ... Lire la suite
Véritable merveille de la nature, les cascades de Sossi sont constituées d’une chute d’eau qui impressionne plus d’un visiteur. Sossi est un village situé à 18 kilomètres de Dolisie, notamment dans le district de Louvakou, département du Niari. Pour la revalorisation du site, une rencontre a eu lieu le week-end dernier entre les populations du village Sossi et le directeur départemental du Patrimoine et des archives du Niari Jean Jacques Mboungou.
Plusieurs touristes et curieux venant de Dolisie, Pointe Noire ou d’Europe vont souvent contempler ce site qui est encore géré de manière artisanale. Ainsi, s’appuyant sur la loi n°8-2010 du 26 juillet 2010 portant protection du patrimoine national, culturel et naturel, le directeur départemental du Patrimoine et des archives au Niari, Jean Jacques Mboungou, a sensibilisé la population du village Sossi sur les ... Lire la suite
Faut-il vraiment se plaindre de la montée du numérique ? Le numérique, chance ou menace pour la culture ? Des questions qui expriment la crainte des passionnés et défenseurs de ce que l’humanité a de plus cher : la culture. Pourtant au pays des pharaons, le numérique est le bienvenu. Sa connexion avec la culture a permis la mise en valeur des deux.
Tout en Égypte renvoie à la culture, commence et se termine par la culture. Riche ou pauvre, intellectuel ou pas, adulte ou enfant, l’Égyptien reste attaché à la culture malgré le cap que le pays a mis vers le progrès.
Il y a d’abord les trois fameuses pyramides de Gizey construites par Khéops, Khéphren et Mykérinos qui ne cessent de fasciner le touriste. « L’hiver craint le temps, le temps craint les pyramides », écrit le narrateur au bord du Nil pour donner à comprendre à ceux qui y affluent ... Lire la suite
Sur invitation de Françoise Gatel, présidente de l’association des Petites cités de caractère de Bretagne et de France, et le conseil d’administration de l’association régionale, ainsi que Florence Le Therisien, directrice des « Cités d’Art de Bretagne », les peintres de Poto-Poto devraient quitter Brazzaville au plus tard le 9 septembre, mais par manque de moyens financiers, le déplacement des peintres congolais à ces rencontres anniversaires de la région de Bretagne en France devient incertain.
Du 10 au 12 septembre prochain, l’association des Petites cités de caractère de Bretagne va organiser un grand événement pour célébrer le 40è anniversaire du concept breton « Petites cités de caractère » crée en 1975. De nombreux partenaires de Bretagne et de toute la France (Association Petites cités de caractère de France) sont invités à ... Lire la suite
Les Dépêches de Brazzaville ont rencontré Samuel Nja Kwa alors qu'il dédicaçait son livre de photographies « Route du jazz » au Grin littéraire du festival Africajarc, qui avait eu lieu du 24 au 28 juillet 2015.
Journaliste et photographe d'origine camerounaise, Samuel Nja Kwa a collaboré avec différents magazines (Jazz Hot, Africultures, Planète Jeunes…) pour lesquels il a fait des interviews de musiciens et des chroniques de disques ainsi qu'avec l’agence Dalle, spécialisée dans les photos de musiciens.
C'est à partir de 1996 qu'il s'intéresse de plus près au jazz et aux musiques africaines. Il rencontre de nombreux musiciens africains et afro américains avec qui il tisse des liens particuliers et réalise leurs portraits. Ces portraits, faits au gré des rencontres, ont d'abord été exposés. L'idée d'en faire un livre est venue ensuite : Samuel Nja Kwa a ... Lire la suite