Art-Culture-Média


Art-Culture-Média
Samedi 7 Juin 2014 - 2:00

Spontanément, répondant au seul appel de la musique, une bonne frange de mélomanes avaient pris d’assaut la piste devant la scène du Festival international de percussions dimanche dernier alors que le chanteur était l’avant-dernier à se produire sur le podium de la deuxième édition

Papa Wemba lors des répétitions quelques jours avant le Festival Mbonda ElelaIl était presque minuit. Une partie du public, désespéré d’attendre Papa Wemba dont l’état de santé ne permettait pas la prestation, avait décidé de lever le camp, mais ceux qui sont restés, assez nombreux, ont trouvé consolation dans le petit show de Sam Tshintu.

Assez bref, en effet, avec un répertoire composé d’à peine deux titres, Sam Tshintu peut se targuer d’avoir ajouté sa dose à l’ambiance déjà surchauffée. En effet, le public, mis en condition par la prestation précédente assurée par Eddy Mboyo et la Sanza, ne demandait qu’à vivre pleinement les derniers ... Lire la suite


Art-Culture-Média
Vendredi 6 Juin 2014 - 19:51

Lieu mythique de l’histoire picturale du Congo, l’École de peinture de Poto-Poto a fait peau neuve avec de nouvelles installations et une galerie rénovée. La réhabilitation des lieux est l’œuvre de la Fondation Brasco, qui a remis officiellement ces ouvrages au ministère de la Culture et des Arts, représenté à la cérémonie par Célestin Akoulafoua, directeur de cabinet du ministre. Y prenaient également part le directeur de l’usine Brasco et son épouse Valérie Siegenthaler, principale artisane du projet

Après avoir été chaleureusement remercié par Jean Bruno Obambi, représentant du directeur de l’École de peinture de Poto-Poto, empêché, le président de la Fondation Brasco, Joseph Niama, également secrétaire général de la société Brasco, a souligné que pour lui et de nombreux touristes de passage au Congo, Brazzaville pouvait légitimement ... Lire la suite


Art-Culture-Média
Samedi 7 Juin 2014 - 2:00

Une rencontre Sous le kolatier les a réunis le 6 juin dans la salle Tchicaya-U’tamsi de l’Institut français du Congo. L’occasion a permis à une vingtaine de professionnels de partager leur expérience et d'examiner les possibilités de diffusion des œuvres artistiques

Les participants à cette activité ont aussi évoqué les difficultés rencontrées dans leur domaine, notamment celui du manque de financement, surtout pour les pays d’Afrique centrale. « On constate que ce sont les pays pourvus de peu de richesses qui investissent dans l’art et la culture. Ceux qui en ont n’arrivent pas à subventionner les événements culturels », a mentionné Luc Mayitoukou, directeur de la maison Zhu Culture du Sénégal. C’est le cas du Tchad, qui subventionne le festival de musique Ndjamvi qui se déroule à Djaména et dans d’autres localités. « Nous bénéficions ... Lire la suite


Art-Culture-Média
Samedi 7 Juin 2014 - 1:45

L’enregistrement de ce bonus en version audio et vidéo par Djoson Philosophe The Winner « O Vencedor », l’homme de la politique de l’intelligence de la jambe (l’os devant, la chair derrière) est l’émanation non seulement de son public, mais aussi de tous les mélomanes qui le suivent depuis le retour de son périple euro-américain

C’est en effet à son retour du Brésil où il a séjourné trois mois, que le philosophe de la musique congolaise, Djoson Philosophe The Winner « O Vencedor », et son orchestre Super Nkolo-Mboka, ont été pressés par leur public de balancer ce mélange show des animations Congo-Brésil, Opaio, en version audiovisuelle.

Cette belle histoire, qui s’achève par la production audiovisuelle (CD- DVD), a débuté avec les concerts de proximité qu’a donnés l’artiste dans tous les coins et recoins de la ville de Brazzaville. C’est ... Lire la suite


Art-Culture-Média
Samedi 7 Juin 2014 - 2:00

La poignée de spectateurs venus assister à la première représentation du comédien camerounais Wakeu Fogaing offerte dans le cadre du festival Ça se passe à Kin le 4 juin au Centre Wallonie-Bruxelles (CWB) l’ont trouvé très sympathique dans la peau du personnage principal de son solo Mon candidat n’est pas n’importe qui

Wakeu Fogaing dans Mon candidat n’est pas n’importe qui au CWBPas un seul mot du discours entendu pendant les soixante-dix minutes qu’a duré le spectacle à l’affiche mercredi dernier au Centre culturel belge n’a échappé à l’assistance. Tout ouïe, elle ne manquait pas de rire ou de s’étonner des drôles histoires de « Monsieur Nimportequi ».

Ainsi que son titre Mon candidat n’est pas n’importe qui le laisse deviner, dans la pièce il est question de politique mais pas seulement, comme on s’en rend compte en la suivant. En effet, on entend Monsieur Nimportequi deviser sur bien de sujets à la ... Lire la suite


Art-Culture-Média
Samedi 7 Juin 2014 - 1:45

Celui qui est certainement l’artiste le plus en vogue du moment a annoncé au magazine Jeune Afrique qu’une tournée en Afrique était prévue pour 2015.  On sait pour l’instant qu’il passera, entre autres, par Kinshasa, Dakar, Abidjan, Yaoundé, Johannesburg et Kigali, dans son Rwanda natal. Après avoir participé le 2 juin au festival marocain Mawazine, où il a battu tous les records d’affluence avec plus de 180 000 spectateurs, soit 30 000 de plus que Rihanna l’année dernière, il ne fait pas de doute que Stromae fera salle comble partout où il passera.


Art-Culture-Média
Samedi 7 Juin 2014 - 1:45

Saintrick vit à Dakar, parle le wolof sans accent, et fait de la musique très proche du style populaire sénégalais mbalax. Pourtant Patrick Joël Mayitoukou est né à Brazzaville en 1968, au quartier ex-Voie, et est très fier de ses origines congolaises

La première langue africaine parlée par Patrick a été le wolof, pour avoir passé une partie de son enfance à Dakar où son père a travaillé pendant dix ans. En 1983, à la mort de son père, la famille rentre à Brazzaville, et le jeune Patrick participe alors à plusieurs formations musicales. On le retrouve d’abord dans un  groupe d'harmonicistes, ensuite à Lomoka Spirituel, dans le quartier Matoure, ensuite pendant cinq ans dans la chorale du quartier Saint-Charles-Louanga, Touti Ndissa ( qui signifie « faites nous chanter » en lingala) et avant d’atterrir dans un orchestre raggae, Jah Children, où il ... Lire la suite


Art-Culture-Média
Samedi 7 Juin 2014 - 1:45

L’artiste gabonaise, de son vrai nom Pauline Nkoghe, a foulé pour la première fois le sol du festival des musiques et des arts N’Sangu Ndji-Ndji. Lors de son passage, elle a réussi à communiquer la profondeur de ses richesses. Entretien

Les Dépêches de Brazzaville : Vous voici à votre première prestation à Pointe-Noire, au dixième anniversaire du festival des musiques et des arts N’Sangu Ndji-Ndji. Qu’est-ce que cela représente pour vous ?
Naneth : C’est un grand honneur, c’est un festival que je connaissais parce qu’au Gabon voisin, on a vent de tout ce qui se fait. Un festival dans sa dixième édition, c’est à respecter ! Je sais à peu près dans quelles conditions on crée ces festivals et on arrive à les maintenir, et pour qu’une édition « ait de la gueule » ! N’Sangu Ndji-Ndji me permet de faire des rencontres, de côtoyer des enfants ... Lire la suite


Art-Culture-Média
Samedi 7 Juin 2014 - 1:45

Hantar le Lion chante Jacques Loubélo
L’une des empreintes de ce début de ce festival est Hantar le Lion, un artiste qui a fait ses premiers pas à Brazzaville mais qui, pour des raisons qu’il garde pour lui, a préféré s’installer à Ponton-la-belle, délaissant sa ville d’origine. Auteur compositeur et interprète, plusieurs chanteurs et opérateurs culturels l’ont encouragé à toujours faire mieux, pour un jour parvenir à vivre de son art. Premier à l’encourager dans cette voie, le chansonnier et poète Jacques Loubélo. En lui demandant d’interpréter son propre répertoire et le laissant libre de retravailler ses célèbres mélodies, Loubélo lui a mis littéralement le pied à l’étrier. Plus tard, c’est un autre regretté artiste musicien, Rapha Boundzeki, qui le prie de respecter son art, il saura le lui rendre : « Prends la musique au sérieux, ... Lire la suite


Art-Culture-Média
Samedi 7 Juin 2014 - 1:30

Le moment solennel tant attendu s’est déroulé à l’Institut français de Pointe-Noire, jeudi 5 juin, devant une foule en liesse. La présence de nombreuses personnalités administratives, culturelles ou d’autres compétences a insufflé une dose supplémentaire d’émotion

L' émotion était palpable. Du côté des organisateurs du festival, cela s’est traduit par l’évocation du parcours emprunté depuis une dizaine d’annéee. Pierre-Claver Mabiala, le directeur du festival, a souligné que depuis les débuts, en 2005, le festival avait pour objectif premier de véhiculer de vraies valeurs à travers la recherche de la  diversité des cultures dont les artistes proviennent. « L’environnement du festival a évolué pour devenir un événement culturel majeur de la ville de Pointe-Noire. Dix ans d’ancrage local, aujourd’hui nous souhaitons toujours partager ces ... Lire la suite

Pages