Art-Culture-Média
Dans le cadre des manifestations de la Périphérie du trente-deuxième Marché de la Poésie, la Librairie-Galerie Congo et Livres et auteurs du Bassin du Congo vous invitent à la rencontre « Maloba ya Ebale : les dits du fleuve, poésie congolaise d’hier et d’aujourd’hui » le jeudi 5 juin 2014 de 19h à 21h
Une rencontre hommage dédiée à la poésie congolaise, un panorama des années 1950 à nos jours, de Tchicaya U Tam’si à Gabriel Okoundji en passant par Jean-Baptiste Tati-Loutard et tant d’autres.
Avec la participation d’Alima Madina, poétesse congolaise (Splendeur cachée, L’Harmattan) et Antoine Houlou Garcia, chroniqueur littéraire et poète français (Métamorphoses de la poésie, La Cheminante). Le débat sera animé par Marie Alfred Ngoma, journaliste aux Dépêches de Brazzaville.
Lectures par le comédien congolais Roch Amedet Banzouzi de ... Lire la suite
Le lancement de la 32e édition du Marché de la poésie dont le Bassin du Congo est la région invitée d'honneur cette année, a eu lieu hier à l'ambassade du Congo à Paris en présence de l'ambassadeur Henri Lopes, président d'honneur, de Jacques Darras, président, et de nombreuses personnalités du monde diplomatique, politique et de la culture et des arts
Les invités à cette très belle soirée poétique et musicale ont pu vivre, hier soir, un avant-goût de ce que sera le Marché de la poésie qui se tiendra du 11 au 15 juin place Saint-Sulpice à Paris.
Ponctué par les lectures des poètes Gabriel Okoundji -lauréat du Prix Mokanda 2014- et Maxime Ndebeka ainsi que par l'admirable prestation de la chanteuse congolaise Helmi Bellini, l'événement de prestige était placé sous le signe de la musicalité, celle des sons et des rythmes des mots avec les lectures ... Lire la suite
L'année 2014 marquant le cinquième anniversaire de la disparition de l’homme de lettres Jean Baptiste Taty-Loutard, cette association organise à Paris et à Brazzaville, plusieurs activités pour rendre un bel hommage à l'écrivain congolais
Cette rencontre-hommage en l’honneur de l’écrivain congolais, dénommée « Jean Baptiste Tati-Loutard, quatre décennies en littérature », aura lieu à Paris le 21 juin, à IREA-Maison de l’Afrique. « Jean Baptiste Tati-Loutard est l’un des auteurs qui a porté haut les couleurs de la littérature congolaise. Il nous a quittés le 4 juillet 2009 à Paris. Cela va faire cinq ans le 4 juillet 2014. À cette occasion, nous lui consacrons une rencontre–hommage pour faire revivre son œuvre littéraire et revisiter son parcours », a souligné Rudy Malonga, qui dirige l’Association Initiatives de Développement au Congo.
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Dans une salle pleine à craquer et devant un public aux anges, l’artiste musicien a livré, le 30 mai au Continental Bar à Mpaka dans le 6e arrondissement Ngoyo à Pointe-Noire, l’un des plus beaux spectacles de sa carrière. Un concert son et lumière organisé par le Carrefour d’échanges et de promotion en art et culture (CEPAC) qui, pour son premier coup d’essai dans la production artistique, a réussi un coup de maître
Pendant près de deux heures, Christian Ouissyka a offert au public un répertoire riche et varié fait de récitals et de chants. Un intermède a été assuré par Kaly Djatou, un autre adepte de la chanson à texte. La soirée fut un succès, de l’avis des spectateurs à la sortie de la salle. Un public comblé qui a mis du temps à quitter les lieux tant les deux heures de spectacle lui parurent très courtes.
Guitariste, chanteur et ... Lire la suite
Les théâtreux venus de six pays du continent constituent la majorité de l’affiche de l’événement culturel du Tarmac des auteurs qui a choisi d’allier danse, performance, percussion et musique au théâtre.
Kinshasa célèbre le théâtre avec le Tarmac des auteurs. Théâtreux de Guinée Conakry, Cameroun, Bénin, Côte d’Ivoire et Burundi prennent part au festival dont le rideau s’est levé lundi soir. Organisé du 2 au 7 juin sur cinq sites disséminés dans quatre communes de la ville, à savoir Kintambo, Bandal, Gombe et Lemba, il avait comme pièce d’ouverture Masamuna George Dandin, création du directeur artistique du Tarmac des auteurs, Israël Tshipamba. La première soirée de Ça se passe à Kin se voulait à cent pour cent congolaise.
Le village du festival érigé à l’esplanade du centre culturel de Kintambo, premier site ouvert au public, avait le ... Lire la suite
Le Conseil africain de la musique (CAM) a relancé depuis le mois d’avril, cet appel à candidature en marge de la 5e édition du festival des musiques traditionnelles Feux de Brazza, qui se tiendra du 2 au 8 août à Brazzaville et dont les inscriptions prendront fin le 20 juin
Ces inscriptions sont ouvertes aux artistes compositeurs individuels qui se destinent à une carrière professionnelle, œuvrant dans la musique tradi–moderne, notamment la musique traditionnelle africaine, la musique classique occidentale, la musique expérimentale, la musique populaire urbaine et la musique folklorique. Elles sont également ouvertes aux associations et structures de promotion privées et institutionnelles (centres culturel, radios, écoles d’art, etc.).
Les participants sont libres de choisir le genre et le nombre d’œuvres qu’ils souhaitent présenter. Toutefois il est ... Lire la suite
Du haut de son 1,80 mètre, la belle Angolaise foule depuis un an les podiums des plus grandes maisons de couture. Maria Borges, âgée de tout juste 21 ans, est d’ores et déjà une valeur sûre de la mode
En 2011, Maria Borges participe au concours Elite Model Look angolais où elle arrive deuxième. Même si elle ne gagne pas, Maria est repérée par des agences de mannequins et s’envole pour New York où elle signe un contrat. Grâce à son visage et sa peau parfaite, elle enchaîne les contrats de publicité pour les produits de beauté.
Ce n’est que deux ans plus tard qu’elle entre dans le monde de la haute couture. Riccardo Tisci, le directeur artistique de Givenchy, qui a toujours dénoncé le manque de mannequins noirs sur les podiums, choisit Maria pour le défilé printemps-été 2013 de sa collection. Séduit par la jeune mannequin, il fait de nouveau appel à ... Lire la suite
Ce monument dédié à Sainte Radegonde, qui a eu le privilège d’avoir son nom porté à la première mission d’évangélisation de la partie nord du Congo effectuée par Monseigneur Prospère Augouard en 1899, a été érigé dans l’enceinte de la paroisse Notre-Dame-de-l’Assomption d’Oyo dans le département de la Cuvette
C’est une entrée très honorifique que Sainte Radegonde, fille d’un roi de Thuringe, vient de faire dans l’univers très varié des monuments et sites historiques du Congo. Ce monument érigé en son honneur a été inauguré le jour même où tous les Catholiques du monde célébraient l’ascension.
Pour ce faire, une grande messe de bénédiction dite par Monseigneur Abagna Mossa, évêque d’Owando, en présence du ministre de la Culture et sa suite, ainsi que des autorités civiles et militaires de la ville d’Oyo, a précédé ... Lire la suite
C’est parce que la culture est un élément d’intégration par excellence, spécialement dans le contexte actuel de globalisation, mais également un élément de paix, de démocratie et de gouvernance, que la Colombie et l’Égypte représentées respectivement par Clara Ines Chavés Romero et Sahar Behainy Abo Serie, se sont retrouvées pour célébrer ensemble leurs cultures communes
Au cours de cette cérémonie qui s’est déroulée au Mémorial Pierre-Savorgnan-de-Brazza, symbole de l’union et de l’amitié des cultures afro-européennes, la directrice générale de cet espace, Bélinda Ayessa, qui a eu le privilège d’abriter l’événement, a déclaré que l’histoire de ces deux grands pays se trouve « au cœur d’une célébration loin, très loin des terres nourricières ». C’est pourtant ainsi que les peuples se souviennent de la part d’eux-mêmes ... Lire la suite
Ouvert le 2 mai, ce premier festival « Bleu-Blanc-Vert» s’est clôturé le 15 mai dans la ville capitale.
anC’est dans une salle de théâtre du Centre culturel congolais le Zoo remplie comme un œuf que les rideaux sont tombés sur cette édition qui a reçu ses lettres de noblesse. Avec plus de soixante spectacles avec une moyenne de deux cents spectateurs pour un public estimé à seize mille dans différents sites du festival, il y a lieu de se dire, la population, élèves en particulier, a été suffisamment sensibilisée sur la gestion des déchets aux normes écologiques en RDC. C'est la quintessence de ce festival organisé par le Cartel d’artistes éducateurs civiques, Carec en sigle. « Les élèves sur qui repose l’espoir de demain et la gestion du pays doivent être suffisamment informés des méfaits causés par la mauvaise gestion de ... Lire la suite
