Art-Culture-Média
Femme. La vague qui déferle actuellement chez nos sœurs noires américaines ou africaines vivant en France qui consiste à prôner le retour aux cheveux naturels nous concerne aussi. Sans complaisance, regardons autour de nous et constatons combien les cheveux de nos sœurs sont mal en point, subissant des chutes souvent dues à un défrisage ou à un mauvais traitement par une utilisation de produits inappropriés.
Car si le défrisage en l’occurrence semble réussir à quelques-unes, qui sans doute mettent la barre très haute quant au choix et à la qualité des produits utilisés, la plupart du temps il fait le malheur des femmes. On le sait toutes, le défrisage irrite le cuir chevelu et fragilise les cheveux. Mais très peu l’abandonnent, et tant pis pour la dépense !
Cela dit, il est primordial que l’on comprenne qu’au-delà d’une tendance, le mouvement du ... Lire la suite
La représentation de la pièce de théâtre Le cri de la forêt par le Théâtre de l’environnement précédé d’activités éducatives et pédagogiques à l’endroit des enfants ont lancé officiellement, le 22 mai, à l’Institut français du Congo de Pointe-Noire, le festival organisé pour sensibiliser la population à la préservation de la biodiversité
Le Festival de la biodiversité a ouvert avec l’adresse de Franck Patillot, directeur de l’Institut français du Congo, qui a souligné son importance dans le monde et qui subit sans cesse, du fait des hommes, des dommages de toutes sortes. Un point de vue défendu aussi par Sophie Pourcel, de l’ONG Rénatura, l’un des organisateurs de la manifestation. Elle a présenté l’intérêt de la conservation de la biodiversité, invitant la population à s’impliquer davantage dans la lutte contre sa destruction. Au ... Lire la suite
Du 11 au 15 juin, le Marché de la poésie à Paris accueillera le Bassin du Congo en tant qu’invité d’honneur
Pour la trente-deuxième édition du Marché de la poésie, la région du Bassin du Congo a été choisie pour être présentée au public tant la richesse des œuvres poétiques de ses auteurs n’est plus à démontrer. Jean-Baptiste Tati-Loutard, Alain Mabanckou, Nimrod, Jean-Blaise Bilombo-Samba sont sans conteste ses principaux ambassadeurs.
À Paris, au cœur de la place Saint-Sulpice, le Marché de la poésie reçoit tous les ans de nombreux visiteurs. Son partenariat avec Livres et Auteurs du Bassin du Congo révèlera une délégation de dix-sept auteurs originaires d’Afrique centrale. Des lectures de poèmes, des dédicaces et des concerts sont prévus en plus des rencontres avec les poètes présents pendant la manifestation.
Cette année, le grand ... Lire la suite
Alicia Keys prête son visage à Givenchy
La chanteuse américaine de R'n'B, a été choisie par la marque cosmétique Givenchy comme nouvelle égérie. La campagne publicitaire du nouveau parfum de la marque sera découverte d’ici septembre 2014. Alicia Keys semble incarner la beauté sur divers points, car être une célébrité ne suffit pas pour orner les publicités cosmétiques. Les marques cherchent des valeurs. Des visages humains en adéquation avec leur identité. En choisissant cette star, Givenchy trouve en elle la distinction et l’élégance requises pour cette nouvelle essence. La diva rejoint ainsi la communauté des égéries de Givenchy déjà constituée d'Erykah Badu, Liv Tyler, Amanda Seyfried, Justin Timberlake...
Lupita Nyong’o alimente la galerie de rêves de Bande de filles
La plus belle femme du monde, selon People, est l’idole des quatre actrices ... Lire la suite

Mwiji, fiction de l’université d’été cinéma de Lubumbashi, est le seul film congolais présent à la 11e édition du festival de films d’écoles auquel prennent part plus de quarante pays sur les cnq continents du 28 mai au 28 juin.
Sélectionné dans la catégorie « Jeunes réalisateurs », la réalisation lushoise a tout de même l’avantage de figurer au nombre de soixante-treize films choisis sur les deux cent cinquante-trois reçus par l’organisation du Festimaj. Mwiji figure donc parmi les privilégiés qui ont bénéficié de l’avis favorable du comité de sélection dirigé par le réalisateur Pierre Datry.
Plus de cent lieux de diffusion sont répertoriés dans la quarantaine des pays participants à cette édition où le Festimaj fête son 10e anniversaire. En RDC deux provinces assureront le relais de Festimaj, à savoir le Katanga et le Bas-Congo. Dans ... Lire la suite
La onzième édition de Dak’art, qui a débuté le 9 mai et qui se poursuit jusqu’au 8 juin, a regroupé de nombreux artistes professionnels des arts visuels de l’Afrique et du monde à Dakar, au Sénégal. Présents, avec le projet « Congo(s), esthétiques en partage ; au-delà des géographies », les deux Congo ont marqué l’exposition internationale d’artistes africains
Arrivée le 5 mai, la délégation congolaise, composée d’artistes de Brazzaville et de Kinshasa, a vite investi les lieux malgré les multiples tracasseries qu'elle a subies pendant le voyage. Une situation qui soulève une fois de plus la sempiternelle question de la libre circulation des artistes… Mais au diable les contraintes frontalières, les artistes une fois à Dakar se sont rapidement plongés dans la fièvre de ce grand rendez-vous. Conscients de cette belle opportunité qui leurs est ... Lire la suite
Attention, ce grand et puissant roman n’est pas une saga, loin s’en faut, même s’il possède, à première (et courte) vue, tous les ingrédients du genre : une épaisseur de volume (près de 300 pages serrées), une amplitude de la durée (de la fin du XIXe siècle à nos jours), un pays lointain au nom exotique qui rime avec l’autre île mystérieuse (Madagascar), un arrière plan historique (la colonie et les troubles de la décolonisation), une ou deux familles relativement aisées aux tenants indiens et aboutissants anglais, des secrets de famille étalés sur plusieurs générations, etc.
Et l’on imagine qu’il pourrait facilement être adapté en scénario pour un film bollywoodien ou un feuilleton à épisodes, où ne manquerait même pas la saveur épicée d’un sujet supposé tabou : les amours interdites d’un « amant anglais » et d’une « maîtresse ... Lire la suite
Madoki
C’est en 2012 que Christelle Madoki lance sa marque. Originaire de RDC, elle souhaite remettre au goût du jour le tissu wax qu’elle a toujours connu. En mixant le wax à d’autres matières, comme le cuir, ou à des pièces incontournables, comme le perfecto, Madoki crée des collections modernes et atypiques.
Laurence Airline
Le talent de la créatrice n’est plus à prouver. Se partageant entre Paris et Abidjan, Laurence Airline crée des vêtements pour hommes. Elle modernise des pièces classiques comme de simples chemises en y ajoutant une touche ethnique. Ses créations pleines d'originalité sont fort élégantes. Le style de sa marque a su séduire des célébrités comme Stromae et Mos Def, qui assistaient récemment à l’ouverture de son nouveau showroom parisien.
Du 23 au 25 mai, le salon Labo Ethnik et ses créateurs posent leurs valises à la Cité de la mode et du design à Paris
Lancé en 2007 par Yvette Tai-Coquilay, une passionnée de mode à moitié congolaise, Labo Ethnik a pour but de mettre sur le devant de la scène des jeunes créateurs venus du monde entier. Pour sa huitième édition, le salon s’installe à la Cité de la mode et du design, lieu incontournable de la mode parisienne.
Cette année encore, Labo Ethnik réussit le défi de réunir des stylistes des quatre coins du monde en plein cœur de Paris. Les visiteurs pourront découvrir les dernières collections des quatre-vingts créateurs présents grâce aux stands d’exposition et de vente. Le salon accueille pour la première fois des créateurs de mode pour la maison, notamment la marque britannique House of Arike, aux côtés de créateurs de prêt-à-porter, de ... Lire la suite
Femme diablesse, rêveuse, pondérée, délurée, indécise, amoureuse, tel est en substance le contenu de la dernière collection de l’artiste Ange Swana de RDC nommée Belles Monstrueuses, où elle explore l’univers de la femme par des portraits
En effet, Ange magnifie la femme par le regard d’abord, mais aussi par la gestuelle. Esthète avant tout, elle emplit ses œuvres à la fois de force et de douceur. Une dualité sur laquelle l’artiste s’appuie pour faire ressortir les contraires : jeunesse et vieillesse, joie et peine, colère et apaisement, élégance et grossièreté, désir et renoncement, bref des moments de la vie qui expriment l’usure du temps, que l’artiste représente par des coups de pinceau sous forme de rides, fronces, croûtes… Des marques indélébiles que le temps imprime sur la peau de toute femme.
Belles Monstrueuses, présentée à la Biennale ... Lire la suite