Art-Culture-Média
Le festival Bilili BD a donné le coup d’envoi de sa sixième édition le 30 novembre dernier à l’Institut français du Congo, partenaire de l’événement. Autour du thème « Expansion », la rencontre réunit cette année des artistes locaux et internationaux du monde de la bande dessinée (BD) pour des moments de découverte, de partage et d’apprentissage autour de cet art.
Jusqu’au 4 décembre, le Bilili BD festival s’articulera autour des masters class, rencontres littéraires, conférences-débats, ventes-dédicaces, concours et une exposition. En présentiel et en digital, les participants à cette sixième édition viennent notamment du Congo, du Cameroun, du Mali, du Gabon, du Sénégal, du Burkina Faso, de la République démocratique du Congo, de la République centrafricaine, de France, de Belgique et de l’Ouganda.
Depuis 2016 jusqu’à ce jour, ce ... Lire la suite
Après la sortie cette année de ses deux singles bien accueillis par le public, Mwassi Moyindo a annoncé à ses fans sur la toile qu’elle sera sur scène, le 17 décembre, à l'espace Bali, à Brazzaville.
« Je me suis longuement demandé ce que je pouvais offrir pour le mois du partage à mes fans, mais je galère tellement. Rire. Mais bon, qu’à cela ne tienne, j’ai des vers à partager avec le public qui me soutient ce 17 décembre, à Bali », a déclaré la jeune slameuse.
A l’annonce de la nouvelle il y a quelques jours, ses fans ont eu du baume au cœur car depuis l’an dernier, en raison de la covid-19, les spectacles grand-public sont prohibés. En optant pour un espace ouvert, style restaurant, Mwassi Moyindo espère faire passer du beau temps au public qui, en plus de la voir et de l’écouter au rythme du slam, pourra se détendre autour d’un verre.
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Fela Kuti incarne la figure tutélaire de l’afro beat, un genre qui n’existait pas avant lui. Il a écrit « Water no get enemy », une chanson aux sonorités endiablées qui dévoile l’importance de l’eau.
Le titre paraît dans le douzième album discographique de Fela, « Expensive Shit », publié en 1975. Ce disque fut produit par son auteur sous le label « Soundworkshop Records » et sous la référence : SWS 1001. Enregistré à Lagos au studio Arc en format 33 tours, ce disque est un véritable régal auditif.
L’intro de ce morceau est constituée d’une section cuivre appuyée par le piano, les maracas et la batterie. Ensuite pendant une durée de quatre minutes et vingt huit secondes, on écoute une mélodie savamment orchestrée où s’effectue une conversation mélodique en forme d’appel-réponse entre les instrumentistes.
Dans cette mélopée, Fela ... Lire la suite
L’Organisation mondiale de la santé a décrété, depuis 1988, la date du 1er décembre comme Journée mondiale de lutte contre le sida, en raison du caractère inconnu, tragique et surtout planétaire de cette maladie. Et si le combat contre elle ne se résume pas en une seule journée par an, profitons de ce 1er décembre pour voir ou revoir le long-métrage « Yesterday » qui met en lumière la beauté d’un combat de toute une vie contre cette terrible maladie.
On l’apprécie pour son côté rêveur, mais le cinéma sait également faire redescendre sur terre en portant à l’écran les grands défis du monde contemporain, tel le cas du VIH/sida. Découvert au début des années 1980, la pandémie figure parmi les maladies les plus redoutées dans nos sociétés, en dépit des grandes avancées enregistrées. En effet, les statistiques actuelles restent alarmantes. A en ... Lire la suite
L’écrivaine malgache Mialy Andriantsimahavandy est récipiendaire de la première édition du Prix littéraire Pierre-Ntsemou organisé par les éditions Renaissance africaine à Paris. L’ayant rencontrée, elle nous a fait part de ses impressions.
Les Dépêches du Bassin du Congo (L.D.B.C.) : Pouvez-vous vous présenter à nos lecteurs ?
Mialy Andriantsimahavandy (M.A.) : Je m’appelle Mialy Andriantsimahavandy, de nationalité malgache. Je réside en France depuis treize ans. Actuellement, je travaille au sein de l’Université de Paris. Ecrire a été pour moi un passe-temps pendant la période covid et juste quelques mois avant cette pandémie. J’ai d’ailleurs gagné quelques prix à une dizaine de concours littéraires. Malheureusement, je m’y adonne de moins en moins depuis que j’ai repris une vie professionnelle, début d’année 2021.
L.D.B.C. : Quels ... Lire la suite
Dans un communiqué de presse publié le 30 novembre, le comité d’organisation du Mobile film festival a promis de dévoiler les noms des lauréats de l’édition 2021, le 8 décembre, à l’occasion de la célébration de la Journée mondiale du climat. Sur le thème « Making peace with nature », le mobile film festival s’est déroulé en parallèle de la COP26. Presque 700 films de 92 pays ont été soumis, avec finalement 50 films de 34 pays en sélection officielle et un total de 12 films primés.
La cérémonie de remise des prix aura lieu le 8 décembre à partir de 19h15 à l’Académie du climat, espace pédagogique et participatif au cœur de la ville de Paris, à l’occasion de la Journée mondiale du climat. Les membres du jury, certains lauréats, la direction du festival et les partenaires comme l’ONU seront sur place pour présenter le palmarès du ... Lire la suite
Dans le cadre de la célébration chaque 21 novembre de la Journée mondiale de la télevision, Yann Orion, journaliste-reporter à la chaîne NTI télévision à Pointe- noire, a souligné la nécessité de mutualiser l’expérience des doyens de ce métier et le dynamisme des jeunes afin de parvenir à révolutionner la télévision nationale.
La télévision reste une importante source de consommation de contenus filmés. Bien que la taille des écrans ait changé et que les gens créent, publient, diffusent et consomment des vidéos sur différentes plateformes numériques, le nombre de foyers congolais possédant un téléviseur continue d’augmenter.
Selon Yann Orion, la télévision congolaise, dans son ensemble, a énormément progressé. Les professionnels sont non seulement qualifiés, mais aussi et surtout, utilisent une technologie de pointe, à l’instar de la ... Lire la suite
Jusqu’au 18 décembre, vingt films de treize pays africains sont en compétition officielle à Conakry, en Guinée, dans le cadre du Global migration film festival (GMFF). L’événement est initié par l’Organisation internationale pour les migrations (OIM).
L’objectif est de susciter, à travers les productions cinématographiques, une grande attention sur les questions liées à la migration, mais aussi une meilleure perception et une attitude positive envers les migrants.
Pendant la durée du festival, des projections seront organisées dans chaque pays sélectionné, à savoir Burkina Faso, Liberia, Niger, Nigeria, République centrafricaine, Tchad, Sénégal, Sierra-Léone, Mali. Ces projections auront lieu dans des espaces variés tels que : des salles de concert et de cinéma, en passant par les écoles et les universités, jusqu’aux zones difficiles ... Lire la suite
Professeur à l’Institut facultaire des sciences de l’information et de la communication (Ifasic) à Kinshasa, Pierre N’Sana Bitentu a récemment publié l’ouvrage « Médias et conflits armés en RDC : des journalistes en danger, le journalisme en chantier ».
L'ouvrage de Pierre N'Sana Bitentu a été porté sur les fonts baptismaux au Centre pour l’étude d’action sociale (Cepas), dans la commune de Gombe, à Kinshasa, en présence du ministre de la Communication et Médias, Patrick Muyaya; de celui des Affaires sociales et éditeur du journal "Le Potentiel", Modeste Mutinga; du président de l’Union nationale de la presse congolaise (Unpc), Gaby Kuba; des professeurs de l’Ifasic et d’autres personnalités publiques. C’est Modeste Mutinga qui a baptisé l’essai.
Il s’agit d’un bouquin de 326 pages publié aux Editions L’Harmattan dans lequel l’auteur ... Lire la suite
Entièrement dédié à Dieu, l’album de la chanteuse Benie Mwepu compte huit chansons qui magnifient la grandeur divine.
Actuellement installée en Afrique du Sud où elle continue de louer Dieu tout en menant certaines activités génératrices de revenus, la chanteuse Benie Mwepu continue d’égayer ses fans sur la toile par ses chansons qui magnifient la miséricorde divine.
Née à Likasi, dans la province du Haut–Katanga, en République démocratique du Congo, Benie Mwepu est issue d’une famille chrétienne dont une bonne partie de ses membres chantait déjà dans les chorales des églises locales de cette ville. A l’église Source féconde où elle loue le Seigneur, Benie intègre l’école du dimanche et fait ses premiers pas en musique. C’est dans la joie et dans l’ambiance musicale partagée avec sa famille tout aussi chrétienne qu'elle fait admirer son ... Lire la suite
