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Après sa sortie en 1987, « La vie est belle » semble ne pas avoir pris une ride. Avec son scénario hilarant centré sur le personnage de « Kourou » qui rêve de devenir un grand musicien, ce film a de quoi tenir le téléspectateur en haleine jusqu'à la fin de son temps initial d’environ 1h 27 min.
Sur la base d’un récit soigneusement ficelé par Dieudonné Mweze Ngangura, Maryse Leon et Benoît Lamy, « La vie est belle » se positionne comme l’un des classiques du cinéma africain. Réalisé dans une période où le secteur tentait de poser ses bases, le film présente les aventures de divers personnages dans la ville agitée de Kinshasa, en plein cœur de la République démocratique du Congo (RDC), à l’époque Zaïre.
« Moi aussi un jour je ferai de la musique électronique » lance la trame du scénario dont l’histoire se centre sur la chanson ... Lire la suite

En cours jusqu’au vendredi 5 février, l’appel à candidatures en ligne lancé par l’association Scène d’ébène aux chanteuses de tous les genres musicaux (Afro-fusion, Rap, Afrotrap, Rumba, Bikutsi, Makossa, Slam, etc.) confirme la tenue de la quatrième édition de l’événement international à Kinshasa du 21 au 24 juillet.
Iyenga, chanteuse prometteuse de talent de la jeune génération congolaise fait l’affiche de l’événement qui se tiendra dans la capitale de la RDC dans six mois. Seize artistes ou groupes sont attendus à la rencontre musicale après sélection d’un jury international composé de professionnels du secteur musical de plusieurs pays du monde. Ils vont participer aux showcases de la quatrième édition du Salon Escale Bantoo. Les chanteuses intéressées de ces cinq pays d’Afrique centrale, à savoir le Cameroun, le Congo-Brazzaville, le ... Lire la suite
Une structure dénommée « Le Mbongui » a été mise en place, le 30 janvier à Brazzaville, par les cinéastes congolais en vue de rendre le cinéma national plus compétitif.
Le Mbongui est une association regroupant des acteurs du secteur de la cinématographie du Congo. Sa sortie officielle aura lieu dans les prochains jours. Cette organisation a pour but de soutenir l’œuvre cinématographique, de défendre les intérêts des cinéastes auprès des pouvoirs publics, de contribuer à la formation des cinéastes, de produire et garantir la qualité de l’œuvre cinématographique.
« Ensemble nous pouvons trouver des outils pour favoriser les productions lourdes et compétitives. Nous allons nous battre à relancer l’industrie qui existe déjà mais qui n’est pas au niveau que nous aimerions qu’elle soit. Nous devons porter le cinéma congolais à un niveau ... Lire la suite
Collaboration inédite, entre la slameuse Mariusca Moukengue et l’artiste-musicienne Spirita Nanda, « Mwana mbanda » dénonce avec force la cruauté de certaines mères à l’égard des enfants de leurs rivales. Sorti le 31 janvier, le single est disponible sur différents supports de téléchargement légal et sur YouTube.
Les mélomanes l’attendaient depuis quelques semaines et c’est finalement dans la soirée du 1er février que le clip vidéo de « Mwana mbanda » a été rendu disponible sur YouTube. De sa traduction en français, « L’enfant de la rivale », le single met à nue la souffrance des enfants vivant au sein des familles recomposées. Selon Mariusca Moukengue, ce sujet est une réalité avec laquelle les Africains, en général et les congolais en particulier, vivent au quotidien.
« J’y pensais depuis un moment, mais l'élément déclencheur a ... Lire la suite
L’essayiste congolais érige un pont à partir des travaux de recherches croisés concernant les échanges commerciaux des femmes commerçantes de Brazzaville, rive droite du fleuve Congo, et Kinshasa, la rive gauche.
Dans ses travaux consignés dans son nouvel ouvrage, Gaston M’Bemba-Ndoumba reproduit le constat naturel faisant de Brazzaville et Kinshasa, deux capitales les plus rapprochées du monde. Seul le fleuve Congo les sépare sur cinq kilomètres. De part et d’autre, un seul et même peuple qui vibre au son de la musique congolaise, apprécie la S.A.P.E., parle des langues sœurs et doit l’essentiel de ses échanges à des femmes qui franchissent le fleuve chaque jour, chargées de leurs marchandises.
Ce livre, "Femmes et petits commerces du fleuve Congo entre Brazzaville et Kinshasa", est consacré à ces commerçantes qui travaillent sans compter et font face à ... Lire la suite
Intitulé « Ba Lobi », le maxi single du rappeur Syk’n a été présenté le 30 janvier à Pointe-Noire, au cours d'une conférence de presse en compagnie de Gildas Bakala, de Prescom Media, représentant Talie La Bomba, directrice adjointe de Sambi Production et Marie Danielle de LBS Services.
Composé de six titres à savoir « Dans la bouteille », « je n’s8 pas là-bas », (ba lobi), « Like this », « Parano », « Milou » et le bonus That the way it is (TTWII) Feat Big Tyger, l'opus réalisé dans des conditions électro acoustiques impeccables précède la sortie de l’album "Dans mon élément", selon Syk’n.
« Ce produit est une passerelle entre ce qui a déjà été fait et l’album qui va arriver », a expliqué Gildas Bakala, ajoutant que le support physique de l’EP est disponible à la Fnac, chez Fula Ngenge à Brazzaville et à Prescom Media et ... Lire la suite
L’annonce du décès de Kaly Djatou s’est répandue ce matin du 1er févier comme une trainée de poudre sur les réseaux sociaux. Fallait-il donner vie à la rumeur, aux hommages posthumes et aux « Rest in peace » de circonstances ?
Joint sur Messenger, le chanteur de « Premier salaire » s’est voulu rassurant dans une vidéo en déclarant d’une voix ferme : « Je préfère faire cette petite vidéo pour apporter un cinglant démenti. Ça va, je suis en train de suivre un traitement. Il n’y a rien, rien, je suis en train de suivre un traitement, tout va bien. Rassurez les gens, rassurez les amis, dites-leur que je vais bien ».
Certaines personnes du monde artistique ont aussitôt fustigé cette fake news. La chanteuse Laila Embouni a ainsi déclaré : « Il y a quelques années c’était Zao, ce matin c’est Kaly Djatou, c’est une honte ! ». ... Lire la suite
L’exposition de la jeune plasticienne congolaise, Sardoine Mia, met en lumière au sens propre et figuré plusieurs thématiques afin d’emmener la société à une prise de conscience sur ce qui est essentiel.
C’est d’un éclat gris argenté, doré, cuivre, bleu, rose et noir, que rayonne la vingtaine de toiles que Sardoine Mia a fixé au centre d’art contemporain, les ateliers Sahm, dans le cadre de son exposition intitulée « Elle se branche où la prise de conscience ? ». Ce thème révèle d’emblée le principal sujet mis en exergue : l’Homme dans la société.
Face à la mystérieuse et existentialiste question « Elle se branche où la prise de conscience ? », l'artiste plasticienne congolaise tente une approche de réponse plutôt observationnelle que moraliste dans cette vitrine, ode à la vie, qui décrit une recherche fournie et un suivi assidu et ... Lire la suite
Le lauréat Prix Découvertes Rfi 2020, l’artiste rappeur congolais Young Ace Wayé a été félicité, le 29 janvier, par le ministre de la Culture et des Arts, Dieudonné Moyongo, d’avoir honoré le pays en remportant ce prix.
C’est son single Mbok’Oyo, extrait de son album à venir, tourné exclusivement à Brazzaville, relatant les réalités quotidiennes du Congo, sorti en décembre 2019, qui lui a valu ce prix, celui-ci entre à la 130ème place au Top 200 du Hip-Hop Français sur iTunes.
Le ministre de la Culture et des Arts l’a exhorté à faire du travail sa seconde religion. Il lui a rassuré de l’accompagnement et de l’implication du ministère de la Culture dans sa carrière musicale. « Ce titre nous a permis de gagner le prix, parce que c’est un titre qui parle à tout le monde, à chaque Congolais, peu importe les générations. », a indiqué ... Lire la suite
Intitulé « Denis Sassou N’Guesso, artisan de la gouvernance intergénérationnelle », l’ouvrage a été présenté au grand public le 29 janvier à Brazzaville. A travers cet essai, publié au cours de ce mois aux éditions L’Harmattan Congo, l’auteur fait découvrir au lectorat, par le biais des faits et événements, l’instauration et le renforcement de cette quintessence à laquelle se frottent les jeunes, grâce aux efforts du chef de l’Etat congolais.
La cérémonie de présentation-dédicace du livre, « Denis Sassou N’Guesso, artisan de la gouvernance intergénérationnelle » de Bersol Exaucé Ngambili Ibam, a réuni un parterre d’hommes et femmes de lettres, ainsi que quelques membres du gouvernement et la jeunesse, maillon essentiel dans la naissance de cet ouvrage de 111 pages.
Préfacé par Anatole Collinet Makosso, ancien ministre de la Jeunesse ... Lire la suite