Art-Culture-Média
Paru aux Editions Etée du groupe Tee, « Vivre, est un bonheur » est un récit dans lequel Tanguy N'guenguima partage la valeur de l’existence et la nécessité de profiter de chaque instant qui s’offre à nous, en dépit des aléas qui peuvent survenir dans la vie.
Après sa première parution en 2019 intitulée « L'Africain et le rêve européen », l’entrepreneur et écrivain congolais, Tanguy N'guenguima, vient de signer son deuxième ouvrage, « Vivre, est un Bonheur », inspiré d'observation et de faits réels. A travers ce récit, l'auteur souhaite emporter le lecteur dans un univers de contentement, de gratitude et de quiétude.
A en croire ses propos, vivre c'est déjà être conscient(e) et capable d'accomplir un geste bénin, une quelconque tâche, une responsabilité à assumer ou un devoir citoyen. « Et pour vivre, il faut déjà naître. Car on ne ... Lire la suite
Le maxi single « Salela tango » et le single « Nabolingo » de l’artiste musicien arrangeur, guitariste congolais, Parfait Young, sont disponibles sur les plateformes de téléchargement, spotify, Deezer, streaming...
Son clip intitulé « Fidèle » est sur Facebook, Instagram et sur sa chaîne You tube Parfait Young.
« C’est toujours important de commencer par le digital et après viendra le physique. C’est pendant le confinement que j’avais décidé de sortir ces titres », a signifié l’artiste. Et de lancer un appel de soutien : « Soutenez les artistes en achetant leurs œuvres sur les plates formes de téléchargement, il suffit seulement d’avoir une carte visa pour on n’en procurer », a-t-il dit.
Dans le single « Nabolingo », Parfait Young prône l’amour, la reconnaissance. Le maxi single « Salela tango » est composé de trois titres, à ... Lire la suite
Enseignant à la faculté des lettres, des arts et des sciences humaines (Flash) de l’Université Marien-Ngouabi, Nicaise Léandre Mesmin Ghimbi, a animé une conférence-débat le 17 octobre dernier au mémorial Pierre Savorgnan de Brazza, sur la "problématique de la riposte psychosociale face à la pandémie : cas de Covid-19".
Il a souligné dans sa communication le fait que « nous sommes aujourd’hui dans une situation fortement anxiogène et de stress généralisé où notre psychisme est hanté, à travers les images terrifiantes venant de l’Europe et fortement chargées par l’angoisse de mort face à un danger mortel que produit l’effroi, la peur, le désarroi et qui pourrait, dans des cas extrêmes, provoquer des pathologies associées d’ordre psychosomatique. Toutes les barrières qui canalisent et régulent notre comportement au quotidien tombent et, avec ... Lire la suite
Publié en juillet aux éditions Les impliqués, « Le féticheur, l’alchimie des noms et des nombres » porte sur le monde des médiums, celui des féticheurs et/ou marabouts chez le peuple téké. Au-delà du mysticisme qui entoure leurs travaux, cet ouvrage montre que ce sont des hommes et des femmes qui ont acquis des connaissances, uniquement accessibles aux initiés.
Guidée par la soif d’apprendre et la curiosité incessante à explorer d’autres mondes inconnus, Eugénie Mouayini Opou vient d’enrichir la littérature congolaise avec un ouvrage qui partage les richesses et les valeurs des traditions ancestrales sur ce qui se rapporte à la croyance aux forces « invisibles ». Dans « Le féticheur, l’alchimie des noms et des nombres », l'auteur nous fait découvrir le sens caché de l'un des pans de la culture téké en République du Congo. C'est une ... Lire la suite
Disponible sur toutes les plateformes de téléchargement, le single “Lobi”, un extrait du futur et premier album solo de Noiiz April, est une chanson dont le message est destiné plus à la jeunesse.
Artiste musicien multigenre (rap, zouk, rumba, ndombolo), Noiiz April vient de lancer sur le marché le single “Lobi” (ou Demain en français).
« Nous sommes à la phase promotionnelle de ce single. “Lobi” c’est un message du futur. Je suis parti sur une vision basée sur le social. Je parle des jeunes filles et garçons, en les invitant à être persévérants. Parmi eux, il y en a qui ont été à l’école et d’autres non. Certains d’entre eux travaillent, d’autres ne travaillent pas, d’autres encore sont dans les petits métiers, d’autres ont préféré la voie du banditisme. C’est pourquoi je les invite à s’occuper par un travail pour gagner la vie. ... Lire la suite
Après sept mois de préparation et d’attente, le slameur Gilles Douta va jouer le spectacle « Anatomie lexicale » qui sera diffusé sur Internet en attendant sa présentation sur les tréteaux. L’enregistrement a lieu le 17 octobre dans les locaux de l’Institut français de Pointe-Noire.
Ce spectacle est une exaltation vers la magnificence et l’apologie de la beauté des mots à travers des rimes envoûtants et enivrants.
Anatomie lexicale transporte les amoureux de la parole libre à l’appropriation des mots vers une sublimation intellectuelle et culturelle.
« Imaginez combien la vie aurait été maussade si l’on avait pas d’yeux.
Comment pourrions-nous contempler la beauté de la nature » ?
« Innocente, la peau suscite autant d’admiration que de pleurs. Elle est source d’amour, mais aussi de haine. C’est peut-être parce qu’après la mort elle ... Lire la suite

Porté par le duo Mukenge/Schellhammer, le projet à découvrir en ligne, le 17 octobre à 17h10, sera lancé www.facebook.com/labkontempo à partir de la salle d’exposition de l’Académie des beaux-arts de Kinshasa.
Expérimentale, l’exposition porte essentiellement sur le travail fouillé de onze artistes visuels et plasticiens congolais, y compris les porteurs du projet sur les traces de l’époque coloniale dans le quotidien kinois. Pour cela, il a été précédé d’une résidence d’un mois. Réalisée dans l’esprit de création de synergies artistiques, l'exposition Laboratoire Kontempo a permis de mettre à contribution l’expertise de chercheurs et intellectuels locaux mais aussi internationaux dans une approche transdisciplinaire visant à explorer des possibilités artistiques qui s’offrent aujourd’hui. Il y est fait un lien entre la conception kinoise de ... Lire la suite
En séjour à Brazzaville pour accompagner un projet cinématographique, le réalisateur, acteur et producteur congolais basé à Pointe-Noire, Richi Mbebele, a accordé un entretien aux Dépêches de Brazzaville au cours duquel il exprime sa satisfaction en lien avec la nomination de son film « Grave erreur 2 » au festival Ecrans Noirs.
Les Dépêches de Brazzaville (L.D.B.) : Dites-nous, en bref, la raison de votre séjour à Brazzaville.
Richi Mbebele (R.M.) : A l’issue d’un concours de pitch organisé lors des Kamba’s Awards 2020, j’avais fait la rencontre d’un jeune réalisateur congolais en herbe qui me paraissait être pétris de talent. A cet effet, je lui avais promis de lui apporter mon expertise lorsqu’il sera à pied d’œuvre de son projet, et c’est cette collaboration qui explique ma présence à Brazzaville pour quelques semaines.
L.D.B. : Votre ... Lire la suite

Parti de Kinshasa le mardi 13 octobre pour trois jours, la star congolaise va assister aux obsèques de sa mère prévues ce vendredi 16 octobre au cimetière privé de Tremblay en France.
Le patron de Quartier Latin a posté une petite vidéo de son arrivée à Paris jeudi où jouait en musique de fond un extrait d’une des deux chansons qu’il a dédiées à la défunte Aminata Angélique Muyonge, sa mère, disparue le 3 octobre. Ces hommages posthumes, intitulés Requiem et Mama Amy, a fait savoir Koffi « seront disponibles ce vendredi 16 octobre à 16h20 ». Savoir que selon l’annonce qu’il avait faite lundi, avant son départ de Kinshasa, à ses amis domiciliés en France, l’illustre disparue serait conduite « vers 16 heures au cimetière de Tremblay ». Ce, à la suite d’un office religieux où il les avait convié en ces termes : « Je compte sur vous qui ... Lire la suite
Les tableaux « Puisqu’il faut vivre » font partie de la série « Utopicus » de la présente exposition à l’Institut français du Congo (Ifc) de l’artiste Jordy Kissy Moussa. Les deux œuvres mettent en exergue l’effroi suscité par le non-respect du port du masque plus que la contamination au Covid-19.
Dans le but de stopper la propagation du coronavirus au Congo, le port du masque obligatoire était l’une des mesures barrières prescrites à tous les citoyens. Et quiconque ne s’y inclinerait pas devrait payer une amende. Malheureusement, cette loi était devenue sujet à controverse entre la police et la population à cause de certaines violences observées dans la société. Et c’est bel et bien cette réalité que traduit les toiles « Puisqu’il faut vivre ». Dessins réalisés au crayon et à l’encre de Chine sur du papier, ces tableaux exhibent une ... Lire la suite