Vie des partis : Donald Kenzo élu secrétaire général de JSDC

Lundi 30 Septembre 2013 - 17:41

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La présentation des nouvelles instances dirigeantes de la Jeunesse socialiste démocrate congolaise (JSDC) a eu lieu le 28 septembre à Brazzaville, au cours d’une assemblée générale

À l’issue de cette assemblée générale, qui s'est tenue sous le patronage du président national du parti, Clément Miérassa, un bureau exécutif national de 15 membres, une commission nationale d’évaluation et des comptes de 10 membres ainsi qu'un secrétariat exécutif fédéral de 14 membres, ont été installés.

En ce qui concerne le secrétariat exécutif national, Donald Kenzo a été nommé secrétaire général chargé de l’orientation et de la coordination, suivi d’Elvis Ebéa, qui lui, préside aux destinées du secrétariat chargé de l’organisation et de la mobilisation. Chanel Nzoula pour sa part, occupe le poste de secrétaire chargé de la communication, des nouvelles technologies de l’information et porte-parole au niveau de ce secrétariat.

La commission nationale d’évaluation et des comptes a été confiée à Cherry Mougar Ellion, appuyé par Ely Ndongo. Quant au secrétariat exécutif fédéral, le choix a été porté sur Jules Binkindou Malonga, qui occupe le poste de secrétaire général chargé de l’orientation et de la coordination, suivi de Wilfrid Ouendébé Kiba, qui a brigué le secrétariat chargé de l’organisation et de la mobilisation.

Donnant des orientations aux jeunes, Clément Miérassa a saisi l’occasion de cette assemblée générale pour fustiger, comme de coutume, le pouvoir en place. Ainsi, dans un discours fleuve de dix pages, lu pendant près de 40 minutes, Clément Miérassa a donné son opinion sur les questions d’actualité nationale et internationale. Il s’agit notamment au niveau national, du recensement administratif spécial en cours. Il dénonce l’implication directe des préfets, maires, secrétaires généraux, sous-préfets, chefs de quartiers et de villages.

Enfin, Clément Miérassa est revenu également sur l’affaire des biens mal acquis, sur le procès du 4 mars 2012, mais aussi sur le présumé remaniement en vue de la constitution de janvier 2002, avant d'insister sur la tenue inconditionnelle des états généraux de la nation.

Firmin Oyé