Économie
Le montant de la contribution du gouvernement congolais s’élève à 200 millions FCFA et celui de l’Agence intergouvernementale panafricaine Eau et assainissement pour l’Afrique (EAA) à 8,5 milliards FCFA. Les départements bénéficiaires de ce système d’adduction d’eau potable simplifié sont la Cuvette, les Plateaux, le Pool et le Niari
Pour établir un plan de travail en vue de mettre en œuvre ce projet, un atelier national a été ouvert le 30 octobre à Brazzaville. L’Agence nationale de l’hydraulique rurale, des cadres du ministère de l'Énergie et de l’Hydraulique ainsi que d’EAA, venus de Ouagadougou, participent aux travaux, dont la clôture est prévue le 31 octobre.
Cette rencontre est l’occasion pour les participants de fixer le cadre institutionnel du projet et de préciser les différentes parties prenantes sur les documents administratifs ... Lire la suite

Les acteurs de la gestion et gouvernance forestières d’Afrique centrale vont s’informer et discuter des récentes évolutions en matière de gouvernance forestière et d’échanges commerciaux du bois.
En marge du forum de la gouvernance forestière, le Cifor (Centre de recherche forestière international), organise ce 31 octobre un séminaire pour faire connaître et promouvoir le projet Forafama, ses activités et ses résultats; faire connaître le projet pilote Redd+ Lukénie, RDC et discuter de l’impact du régime Redd+ sur les politiques de gestion durable des forêts en Afrique centrale.
Cette rencontre d’une demi-journée constitue une occasion pour les différents acteurs impliqués de discuter et d’échanger sur les résultats du projet pilote Redd+ dans la Lukénie, dans la province du Bandundu, en RDC.
En effet, le projet Redd+ Forafama (Appui à la gestion ... Lire la suite

Les opérateurs miniers sous l’impulsion de la Chambre des mines de la Fédération des entreprises du Congo (FEC) se réunissent du 29 au 30 octobre au Grand Hôtel dans le cadre du troisième forum consacré à cette importante réforme, après la remise par le gouvernement au secteur privé de l’avant-projet du Code minier d’octobre 2013.
Durant les deux jours, les participants à cet atelier très technique devront aboutir à un document unique, dégager une marge de manœuvre acceptable et concevoir une démarche stratégique post-atelier tripartite. Par rapport à cet avant-projet de Code minier, quatre commissions formées dès le premier jour des travaux vont aborder de manière spécifique les points relatifs à la fiscalité, l’administration, l’environnement et le droit minier. En ce qui concerne cette circonstance importante pour les milieux des affaires, la ... Lire la suite

Le bond tant espéré dans ce classement des États suivant les opportunités et facilités d’affaires offertes aux investisseurs n’a pas eu lieu, mais le pays garde malgré tout sa 183e place sur 189 économies, comme en 2013, dans le dernier rapport intitulé « Doing Business 2014 : comprendre les réglementations pour les petites et moyennes entreprises ».
Dans les milieux des experts, l’on a fait état du coup dur porté par la baisse de trente-quatre places de l’indicateur « création d’entreprise ». Ainsi l’on n’exclut pas que les enquêteurs de la Banque mondiale (BM) n’ont pas eu l’opportunité de réunir les informations nécessaires sur les réformes touchant spécifiquement cet indicateur dont la plus importante serait à n’en point douter la création d’un guichet unique de création d’entreprise pour réduire les formalités et baisser les ... Lire la suite
Le directeur entrant de l’Agence nationale de l’aviation civile (Anac) place son mandat sous le signe du strict respect des exigences de l’Organisation internationale de l’aviation civile (OACI) en matière de sûreté et de sécurité
Serge Florent Dzoto s’est exprimé le 29 octobre à la suite de son installation au rang de directeur général, en remplacement de Jean-Louis Osso. Il a souligné que l’image du Congo commençait à changer à l’OACI.
« Hier, nous figurions sur le site de sécurité de l’OACI ; aujourd’hui, le Congo en est sorti. L’aviation civile n’est pas uniquement une question congolaise, car plusieurs compagnies atterrissent sur le sol congolais. Nous sommes arrimés aux exigences de l’OACI. Tout est cadré en aviation ; on ne peut rien faire sans l’OACI », a-t-il indiqué.
Pour rappel, au début du mois en cours, le ministre des ... Lire la suite
L’échec du projet privé Fri El Green Power pour la reprise de l’ex-Sangha Palm n’a pas compromis le redéploiement de cette activité agro-industrielle pour laquelle le gouvernement de la République du Congo a choisi Eco-Oil Énergie SA
Le ministre de l’Agriculture et de l’Élevage, Rigobert Maboundou, s’est dit soulagé de la reprise officielle des activités économiques du palmier à huile à Mokéko, dans le département de la Sangha, et à Etoumbi, dans la Cuvette-Ouest.
« Je sais jusqu’à quel point […] les indécis, les frileux et les pessimistes ont donné de la voix pour exploiter mesquinement les difficultés de parcours qui sont pourtant inhérentes à tout projet de l’économie réelle », a souligné Rigobert Maboundou.
La société italienne Fri El Green Power Spa, qui avait été présentée aux autorités et populations de ces localités en ... Lire la suite

Entre 2011 et 2012, le Trésor public a enregistré un manque à gagner énorme représentant 90% dans le secteur de l’exploitation forestière industrielle.
Les chiffres ont été rendus publics dans un rapport publié par l’ONG britannique Global Witness sous le titre : ‘‘ Les forêts de la RDC victimes d’une grande braderie, évasion fiscale, arrangement illégaux : 90% des taxes absentes des caisses publiques’’. À en croire ce rapport, la RDC n’aurait perçu que 10% des taxes en 2012 de la part des compagnies spécialisées dans le commerce et l’exploitation forestière sur son sol.
Pourtant, la loi congolaise prévoit le versement par les compagnies forestières d’une taxe sur la superficie fixée à 0,50% par hectare. Dans ce rapport, il est clairement repris que ce montant, faible soit-il, demeure non payé par les exploitants forestiers. Car la ... Lire la suite
Le projet a été présenté au président de la République, Denis Sassou N'Guesso, le 27 octobre à Brazzaville
Le président a reçu une délégation d'hommes d'affaires français venus lui présenter ce projet dont la date de lancement des travaux n’est pas encore connue.
Le choix porté sur la République du Congo s’explique par la bonne santé économique du pays qui attire de plus en plus d’investisseurs. Le vice-président du Conseil national des centres commerciaux français, Bertrand Boullé, qui conduisait la délégation, s’est expliqué en ces termes : « Il s’agit pour nous d’implanter sur le territoire du Congo de nouveaux lieux de consommation qu’on qualifie souvent de centres commerciaux ou familiaux. Ils permettront, à terme, à un maximum de Congolais d’accéder à des produits de qualité à moindre coût. »

L'institution bancaire plaide pour une transition progressive vers la croissance verte. C’était à l’occasion de la conférence annuelle sur les changements climatiques et le développement en Afrique.
Du 21 au 23 octobre à Addis-Abeba, des responsables gouvernementaux, des décideurs, des universitaires, des scientifiques, des chercheurs, des représentants de la société civile, les médias et les agriculteurs ont pris part à la conférence annuelle sur les changements climatiques et le développement en Afrique, rapporte un communiqué de l’Organisation de la presse africaine.
Placée sur le thème « L'Afrique a le vent en poupe : le continent pourra-t-il profiter des opportunités liées au changement climatique pour accélérer sa transformation ? », cette grande rencontre de l’Afrique a exploré les moyens de renforcer la capacité de l'Afrique à saisir les ... Lire la suite

L’organisation britannique Global Witness a publié, le 28 octobre, une nouvelle enquête faisant état des « pertes massives causées par l’évasion fiscale et la pléthore d’arrangements fiscaux illégaux ».
Dans son rapport intitulé « Les forêts de RDC victimes d’une grande braderie; évasion fiscale arrangements illégaux : 90% des taxes absentes des caisses publiques », l’organisation a fait état de pertes de l’ordre de 90% en 2012. Cette estimation est tirée des dispositions de la loi en vigueur en RDC, a-t-elle confirmé. Au regard de la loi congolaise, Global Witness a rappelé l’obligation faite aux compagnies forestières de s’acquitter d’une taxe sur la superficie fixée à 0,50 dollars américains par hectare. Selon elle, il faut comprendre qu’il s'agit déjà d’un montant « extrêmement faible et malgré cela, non acquitté ».
Cette ... Lire la suite