Art-Culture-Média
Paru aux Éditions LMI, l'ouvrage "J’ai vécu à Bacongo" est un assemblage des faits, récits et anecdotes vécus par l’auteur dans ce quartier qui l’a vu naître.
En 263 pages, l’auteur relate comme un récit les faits par moment émouvants, épatants, pathétiques, rocambolesques et drôles vécus par le jeune adolescent dans ce quartier aux moult tumultes dans la période anté et post indépendance. C’est un condensé de belles histoires drôles, dramatiques et amusantes que l’auteur narre dans un style simple et captivant. La musique, la sape, le matswanisme, la religion, le football sont abordés dans cet ouvrage, fruit d’un travail de recherche hors du commun que la mémoire d’éléphant de l’auteur a ressuscité.
Natif de la rue Surcouf au quartier Dahomey qui jouxte la Case de Gaulle, Kazis comme tout jeune de son âge a partagé sa vie entre ... Lire la suite
Paru en juillet aux éditions L'Harmattan, section Congo-Brazzaville, le roman de cent soixante-dix pages est une œuvre littéraire qui tente de dresser un pont entre les traditions anciennes et contemporaines au sujet des situations familiales, tel l’héritage, l’unité familiale, etc.
« L'ouvrage est une œuvre romanesque dans laquelle l’auteur raconte l’histoire d’un conflit familial. En effet, Mbeeri est le frère d’un homme décédé et qui, depuis la mort de ce dernier, assure la gestion de ses biens, puisque les enfants étaient encore très jeunes pour le faire. Mais, aujourd’hui qu’ils ont grandi, ils ne l’acceptent plus et veulent de la transparence.
« Et tout ça sans nous associer. M. Mbeeri fait tout, tout seul, alors qu’il n’était que le frère de notre père. Quand on lui a demandé de gérer, nous étions petits. Maintenant, nous avons ... Lire la suite
Disponible depuis le 18 juin dernier chez les libraires, le livre de Ferréol Gassackys a été présenté et dédicacé à la librairie Les Manguiers des Dépêches de Brazzaville.
La présentation de ce roman de cent vingt-huit pages, publié aux Editions L’Harmattan Congo-Brazzaville, a été faite tour à tour par le Pr Patient Bokiba et l’écrivain et critique Ngakosso Obambé. Cet ouvrage est composé de vingt-deux titres, que sont : Carnet de voyage ; Caresses d’enfance ; Retour aux sources ; Les années collège et lycée ; Passage à vide ; Paris, ville des tentations ; So British ; Le Mur de Berlin, un profond enseignement ; L’enfer, ce n’est pas que les autres ; La chute du Vieux mur ; L’espoir fait vivre ; La musique adoucit les mœurs ; L’autruche ; Le Pélican ; Son âme sœur ; Les années de plomb ; L’homme providentiel ; La ... Lire la suite
Innovation numérique et plastique tels sont les ingrédients qui composent l’œuvre de l’artiste Yvanovich Mbaya. Une œuvre certes jeune mais néanmoins dense où (l’être humain occupe une place capitale) l’artiste aborde la dualité du visible et de l’invisible et invite, par conséquent, l’homme à la rétrospection.
Tel un caméléon, Yvanovich Mbaya, (artiste qui utilise à la fois, peinture, vidéo, photographie, installation et performance) intègre définitivement les multimédias dans son tout dernier travail, (sculpture des corps au millimètre près, carrés, cercles, gribouillage bien circonscrit sur encre de chine sur papier). Il associe formes humaines exécutées sur ordinateur et une touche de peinture qu’il laisse couler délibérément sur les croquis au gré de son humeur. Les dessins sont, de ce fait, réfléchis, précis et délimités. Les ... Lire la suite
Plus de cinq mille œuvres d’art africain classique et contemporain, entre autres, statuettes, masques, tissus traditionnels, peinture, photos et vidéos, sont exposées du 28 juin au 6 octobre 2019, au palais des beaux-arts, à Bruxelles. Le but de l’exposition ‘’incarnation’’ est de changer le regard européen sur l’art africain.
Incarnation est une exposition conçue par l’artiste sud-africain Kendell Geers en dialogue avec le collectionneur congolais Sindika Dokolo, une initiative passionnante et inspirante qui reflète la diversité des patrimoines asthéniques africains, débarrassés de tout prisme européocentriste, incluant l’influence des diasporas, des itinéraires des esclaves, du colonialisme ou des mouvements des indépendances. « L’Afrique n’a pas besoin d’être sauvée, elle a juste besoin de changer les préjugés et les générations qui ... Lire la suite
Les artistes musiciens, danseurs et humoristes africains peuvent postuler à ce festival qui se tiendra à Porto-Novo (Bénin), du 19 au 22 décembre 2019.
Initié par l’Association culture et développement d’Ici et d’ailleurs (CDIA), ce grand moment vise le rayonnement de la culture africaine, à travers le rassemblement culturel. Le Festival Couleurs d'Afrique permet d’accompagner le développement et la professionnalisation de la culture africaine par le biais des formations, des rencontres professionnelles et d’échanges.
Ce festival ambitionne la facilitation du brassage culturel et le développement du réseau régional entre les artistes et les professionnels de l’industrie musicale et des arts de la rue. Festival Couleurs d'Afrique permet aussi de promouvoir le métissage musical et artistique entre les pays du Sud et ceux du Nord et favoriser ... Lire la suite
Il s’est tenu du 25 au 29 juillet à Boko, dans le Pool, la deuxième édition de Bimoko, fruit de l’Association Minawa-Art de l’artiste pluridisciplinaire et écrivaine Leslynna Bery, plus connue sous le nom de Lyna de Pepito. Ce festival international, qui vise la revalorisation des cultures ancestrales oubliées, a laissé un goût d’impatience générale, en vue de la réalisation d’une prochaine édition.
C’est autour du feu que les prémices du festival Bimoko ont été vécues, dans la nuit du 25 juillet, dans la bourgade de Mbami à Singa Banana, à environ 4 km de Boko Poste. Une maison y a été aménagée pour la circonstance, décorée aux insignes de Bimoko. L’heure était celle des contes, des devinettes et des chants traditionnels agrémentés au rythme du tam-tam devant une foule venue des hameaux voisins, Lukengo, Tenta, Manionzi, Fueneba et autres. ... Lire la suite
Ce titre est une métaphore. Par-là, la nouvelliste exprime une situation difficile aux conséquences dramatiques, dont le héros en est lui-même l’auteur. Il s’agit des pratiques avec effets de boomerang.
À travers cinq nouvelles, de longueur inégale, écrites dans un vocabulaire accéssible, l’auteure dénonce certains vices comme le tribalisme, le meurtre, l’infidélité, la haine, la malhonnêteté, etc. Elle fait aussi la description de certains personnages en mettant en valeur leur caractère, leur rigueur, fruit de leur triomphe dans une société traditionnelle bien organisée mais qui connait un déclin avec la mort de son chef, remplacé par son neveu polygame et inefficace. Par ces êtres de papiers, Gigi Love veut toucher plusieurs lecteurs pour les instruire afin que l’assertion cartésienne « la lecture de tous les bons livres est comme une conversation ... Lire la suite
Tozo beta Mbonda est le tout dernier single de Embeudah Musik, un ensemble de Congo Brazzaville que dirige Diamon Boy. Un groupe qui fait parler de lui depuis 2014 grâce à l’album mythique Loubout1.
Régulièrement diffusé sur Trace Tv, Tozo beta Mbonda est un single chanté dans un style de musique actuel, l’afro-ndombolo qui est un mélange du ndombolo et de l’afrobeat. Il est également sur starter de Trace kitoko, c’est-à-dire qu’il est le meilleur des deux Congo.
Le message qu’apporte ce single est très instructif et éducatif car il appelle les citoyens à combattre les antivaleurs. Conscient de ce que les canaux traditionnels de distribution de disc ne rassurent plus sur la vente, il promeut ainsi le produit à travers des réseaux sociaux.
« Nous comptons sur les réseaux sociaux et les gens de l’extérieur pour gagner quelque chose. La vente en ... Lire la suite
L’artiste congolais vient de sortir un dernier single, « Mosala », déjà en bonne pisition sur Trace Kitoko. Grâce Maléla dit Biz Ice, qui annonce son prochain album pour bientôt, estime que le Hip-hop est en train de faire la gloire de la musique congolaise ailleurs.
« Mosala est un single que j’ai sorti pour annoncer mon prochain album dont je tais encore le titre. Ce single est déjà sur Trace Kitoko, sur ma chaîne youtube avec plus de 5000 vues et sur Trace Urban dans le Top 10 de Hip-hop africain », a indiqué Biz Ice.
Le choix du titre de ce single s’explique par le fait que l’homme est lié au travail. Et la musique c’est aussi un travail qui nécessite beaucoup d’efforts de la part des musiciens. Biz Ice a voulu illustrer cela dans une chanson en gardant bien sûr son identité Hip-hop. Aujourd’hui, il se dit satisfait de l’apport de la musique ... Lire la suite