Économie
Nommé en 2018 pour un mandat de quatre ans à la direction générale de la Société nationale des pétroles du Congo (SNPC), Maixent Raoul Ominga a été reconduit dans ses fonctions par un décret présidentiel du 3 mars 2022.
En mars 2018, lors de sa prise de fonction, le directeur général de la SNPC s’était fixé quatre objectifs prioritaires aux fins de redresser l’entreprise publique dans le contexte de la crise économique et financière, ainsi que de la baisse du prix de baril du pétrole sur le marché international.
Il s’agissait d’améliorer les performances financières de la société pour qu’elle contribue mieux au budget de l’Etat, faire progresser l'action de la SNPC dans le domaine de l’exploration et de la production pétrolière, renforcer les capacités du personnel du groupe SNPC, améliorer les conditions d’approvisionnement du pays en ... Lire la suite
Dans le sillage des activités marquant le 25e anniversaire de sa création, en 1998, la Société nationale des pétroles du Congo (SNPC) a lancé, le 26 avril, à Pointe-Noire, les travaux de construction de son siège moderne, en plein cœur du centre-ville, où se développent les principales opérations pétrolières du pays.
Haut de seize étages, l'ouvrage dont le président de la République, Denis Sassou N’Guesso, a posé la première pierre de construction, abritera les bureaux des filiales de la SNPC et l’entité data base qui assurera la sécurité des données pétrolières de l’Etat.
« La pose de cette première pierre est un acte qui épouse, à tous égards, les contours de l’élan imprimé par le chef de l’Etat en tant que géniteur de cette société. La construction de cet édifice va enrichir le décor architectural qui permettra de contribuer ... Lire la suite
Le directoire de la Société nationale des pétroles du Congo (SNPC), qui manageait le groupe, a été remplacé à partir d’octobre 2017 par une direction générale. Cette dernière est assistée d’un secrétaire général et de directeurs centraux, avec un dispositif de contrôle direct du ministère des Hydrocarbures.
La réforme conduite sous le gouvernement de l’ex-Premier ministre, feu Clément Mouamba, visait à améliorer la gouvernance des entreprises publiques, dont la SNPC. Des dysfonctionnements constatés dans l’administration de la compagnie publique, créée en 1998, ainsi que le souci d’en améliorer les performances ont conduit à cette réforme. Dans sa nouvelle configuration, la SNPC comprendra donc un directeur général, assisté d’un secrétaire général et de directeurs centraux en charge des activités Amont, Aval et Finances-comptabilité, ... Lire la suite
La Société nationale des pétroles du Congo (SNPC) est dotée d’un programme « Performance 2025 », avec des projets ambitieux en matière d’exploration et de production pétrolière. L’équipe dirigeante du groupe s’est alors engagée à réévaluer le potentiel des gisements existants, en prolongeant la durée de vie des actifs en cours de maturation, en signant de nouveaux accords de partage de production et en recherchant de nouveaux partenaires pour reprendre les permis potentiels.
Le programme « Performance 2025 », en vigueur depuis l’an dernier, constitue la feuille de route de la SNPC durant les deux prochaines années. Il se résume en quatre axes prioritaires : l’amélioration des performances financières de la société pour mieux contribuer au budget de l’État ; le renforcement de l'action de la compagnie dans le domaine de ... Lire la suite
Un quart de siècle après sa création, en avril 1998, la Société nationale des pétroles du Congo (SNPC) est capable de conduire seule les campagnes de forage sur ses permis d’exploitation. Au cours de ces dernières années, la société a beaucoup investi dans la distribution ou la commercialisation des hydrocarbures.
Le groupe SNPC possède à ce jour six filiales, à savoir la Société de forages pétroliers (SFP) , la Société nationale de recherche et de production (Sonarep), Ilogs (Integrated logistic services), la Congolaise de raffinage (Coraf), la SNPC distribution D et la SNPC Trading. Dotée d’un capital social estimé à plus de 260,8 millions de dollars américains (environ 155 milliards FCFA) détenu à 100% par l’État congolais, la compagnie pétrolière publique dispose d’au moins dix-sept permis d’exploitation et de participation dans plusieurs ... Lire la suite
Le groupe Abu Dhabi (AD) Ports entend renforcer les liens économiques avec la République du Congo à travers la logistique. Une délégation du groupe émirati, conduite par Mohamed Juma Rashed Saeed Al Shamsi, a été reçue le 26 avril, à Pointe-Noire, par le président de la République, Denis Sassou N’Guesso.
« Nous avons parlé de la possibilité de renforcer les relations économiques entre nos deux pays en s’appuyant sur la logistique. Le groupe Abu Dhabi Ports joue un grand rôle en matière de logistique. Nous sommes présents dans plusieurs pays et nous voulons investir ici à Pointe-Noire », a déclaré Mohamed Juma Rashed Saeed Al Shamsi.
En mars dernier, le gouvernement congolais et le groupe émirati avaient signé à Abu Dhabi, aux Emirats arabes unis, un protocole d’accord en vue de la construction d’un terminal polyvalent dans la capitale économique ... Lire la suite
Le symposium « Mwana web » sur la protection des enfants en ligne, organisé le 26 avril, à Brazzaville, a permis d’alerter sur les conséquences scolaires, sociales et psychologiques de l’internet. L’association Enf’neuriat et le Fonds des Nations unies pour l'enfance (Unicef), co-organisateurs du symposium, entendent mobiliser les pouvoirs publics, les entreprises, la société civile et les parents autour de la problématique.
La plateforme associative Enf’neuriat, « Mwana entrepreneur », est l’une des rares organisations de la société civile (OSC) locales qui militent pour un meilleur contrôle des contenus destinés aux mineurs. Initié en marge de la septième édition du Salon international de la tech et de l'innovation de l'Afrique centrale (Osiane), le symposium « Mwana web » a servi de tribune aux parties prenantes d’explorer les pistes de ... Lire la suite
Créée par la loi n°7-2012 du 4 avril 2012, l’Agence de régulation de transferts de fonds (ARTF) est un établissement public à caractère administratif qui oriente et contrôle des activités en matière de transferts de fonds aussi bien à l’intérieur qu’à l’extérieur du pays. Entretien.
Les Dépêches du Bassin du Congo (L.D.B.C) : Quelles sont les missions, sinon les besoins auxquels l’ARTF répond ici au Congo Brazzaville ?
Cedrick André Atsouaya (C.A.A) : l’ARTF a pour mission de suivre la constitution et la liquidation des investissements directs étrangers, d’étudier et de mettre en œuvre les mesures visant à stimuler et à mieux réguler le secteur des transferts de fonds et de contribuer à la lutte contre le blanchiment des capitaux et le financement du terrorisme
L.D.B.C: Quels sont les principaux établissements qui sont concernés par ce ... Lire la suite
Le Groupe de la Banque africaine de développement (BAD) a lancé, le 25 avril, une campagne de six mois pour sensibiliser ses parties prenantes, internes et externes, à sa nouvelle politique de dénonciation, approuvée par les Conseils d’administration, le 19 janvier 2023.
La campagne repose sur la politique de dénonciation et de traitement des plaintes du Groupe de la Banque de 2007, qui, à l’époque, était considérée comme l’une des politiques les plus progressistes qui exprime l’importance que l’institution accorde aux contributions des lanceurs d’alerte à ses processus de lutte contre la corruption et sa tolérance zéro à l’égard de toute mesure de représailles à leur encontre.
La nouvelle politique de dénonciation fixe des normes supplémentaires : les membres des conseils d’administration et les représentants élus de la banque tombent désormais ... Lire la suite
En marge des nouvelles sessions de formation organisées dans le cadre du programme Yali, un appel à candidatures est ouvert aux jeunes leaders d’Afrique de l’Est et du centre. La date limite pour postuler est fixée au 5 mai.
Pour ses cohortes 52, 53 et 54, le programme Yali cible quatorze pays d’Afrique centrale et de l’Est. Il s’agit précisément du Congo, du Burundi, de la République centrafricaine, de la République démocratique du Congo, de Djibouti, de l’Erythrée, de l’Ethiopie, du Kenya, du Rwanda, de la Somalie, du Soudan du Sud, du Soudan, de la Tanzanie et enfin de l’Ouganda.
Selon les organisateurs, le présent appel à candidatures concerne trois sessions de formation, notamment dans les domaines de l’entrepreneuriat, du leadership civique et de la gestion publique. La formation permettra également aux participants d’acquérir des compétences ... Lire la suite