Politique

La tenue probable du dialogue national sur initiative du président de la République, Joseph Kabila, continue de défrayer la chronique politique au plan national. Des groupements et mouvements politiques, ainsi que des acteurs de la Société civile et d’autres structures sociales émettent des avis divers sur leur participation ou pas à ces assises dont l’objectif est d’arriver à l’organisation des futures élections apaisées en 2016. C’est le cas de la formation politique Union pour le développement social et communautaire (Udésc).
Le président de ce nouveau parti politique, Isaac Mwamba Kalondji, a récemment convoqué une réunion extraordinaire du bureau politique. Le parti a au cours de cette rencontre avec la base de Kingasani dans la banlieue de Kinshasa donné sa position au sujet du dialogue national. Après analyse et débat basés essentiellement sur les ... Lire la suite
Les membres du bureau politique du Parti congolais du travail (Pct) se sont réunis le samedi 8 août à Brazaville pour préparer la troisième session extraordinaire qui démarre ce 10 août.
Cette réunion extraordinaire a permis un échange sur les points qui constitueront l' ordre du jour. « C’est pour des besoins d’organisation et pour que nous ayons une forte mobilisation au plan politique que nous avions convoqué cette réunion extraordinaire des membres du bureau politique de notre parti. Cette rencontre prépare notre troisième session extraordinaire qui nous permettra d’élaborer un document clé à soumettre aux membres du comité central du parti », a précisé le secrétaire général du PCT, Pierre Ngolo, tout en souhaitant bénéficier au cours de cette session, d’un apport important de tous les membres du parti afin qu’un bon document ... Lire la suite
La Convention pour l’action, la démocratie et le développement(Cadd) s’est dite le 8 août, au cours d’une conférence de presse organisée à Brazzaville, très préoccupée par la sécurité de ses membres, au regard des menaces et arrestations dont ils sont victimes de la part de la police.
Le coordonnateur national adjoint de ce parti, Augustin Kalakala, a indiqué que l’homme prudent voyant le mal de loin, son parti a tenu à informer la communauté nationale et internationale, à travers la présente conférence de presse, des intimidations et pressions policières subies aussi bien par le député André Okombi Salissa que par tous ceux qui lui sont proches.
Ainsi, il a reprécisé que la Cadd n’est pas une milice moins encore un parti de voyous. « Notre organisation est constituée de cadres intègres et responsables. Notre péché est d’avoir dit haut et ... Lire la suite
Le président par intérim de la majorité présidentielle, Pierre Ngolo, a , au cours d’une assemblée générale tenue le 7 août à Brazzaville, appelé les membres et militants de cette plateforme des partis, associations et personnalités politiques à se mettre en rangs de bataille pour descendre à la base afin de restituer, à la population, les conclusions issues du dialogue national inclusif organisé du 13 au 17 juillet à Sibiti, chef-lieu du département de la Lekoumou.
Au cours de cette première réunion de la majorité présidentielle, après le dialogue de Sibiti, Pierre Ngolo a mis à profit ces retrouvailles pour faire comprendre à ses partenaires que les assises de Sibiti ont constitué une occasion de consolider la démocratie congolaise.
Il a rappelé, par ailleurs, aux participants qu’au cours de la rencontre de Sibiti, une forte majorité ... Lire la suite
L’ancien président du Conseil supérieur de la liberté de communication a annoncé sa démission du Parti congolais du travail (PCT), le 8 août, à Brazzaville. La lettre de démission, faisant mention de ses motivations, a été déposée auprès du secrétaire général, Pierre Ngolo, en date du 4 août.
« J’ai décidé de mettre fin à mon appartenance au PCT, pour être en harmonie avec ma conscience démocratique. Oui la démocratie est respectueuse des lois. Sans pression aucune, en toute responsabilité, les acteurs politiques décidèrent de mettre fin à des présidences à vie. Mieux, ils prirent l’importante décision de ne plus jamais remettre en cause l’alternance politique au Congo. Soudainement, une révélation selon laquelle la Constitution du 20 janvier doit être changée à quelques mois de la fin du deuxième mandat du président de la République. Ce ... Lire la suite

En cas de résistance, ce mouvement associatif n’exclut pas la possibilité de recourir à des formes de pression plus contraignantes pour pousser l’actuel vice-ministre des Congolais de l’Étranger à rendre le tablier.
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Une scène inhabituelle a eu lieu, le 7 août, devant le bâtiment abritant le siège du ministère des Affaires étrangères situé en plein cœur de la commune de la Gombe, à quelques encablures de l’hôtel du gouvernement. Des jeunes gens, une cinquantaine au total, drapés dans des T-shirts blancs frappés du logo du Mouvement pour le Congo (Moco) ont fait sensation dans la matinée en s’affichant avec des banderoles et calicots sur lesquels ont pouvait lire : « La RDC n’est pas une forêt », « Vous êtes citoyen français », « Démissionnez », etc. Des messages clairs adressés à l’actuel vice-ministre des Congolais de ... Lire la suite

Le Dr Makpolo Gebanga Gaston a été désigné à ce poste sur une décision du président national datée du 27 juillet et sur pied des articles 15, 41 et 43 des statuts du parti.
La Dynamique pour la démocratie au Congo (DDC) vient d’avoir un nouveau secrétaire général en la personne du Dr Makpolo Gebanga Gaston. L‘heureux promu remplace à ce poste Me Ngangu Mbanza à la suite de la démission de ce dernier pour des raisons de santé. Comme il a eu à le préciser dans sa lettre du 2 juillet adressée au président national du parti, Ingele Ifoto, l’ancien secrétaire général a indiqué ne plus être en mesure de continuer à assumer ses fonctions au sein du parti eu égard aux restrictions qu’imposait son état de santé. Après neuf ans de bons et loyaux services rendus au sein de la DDC, Me Ngangu Mbanza a cru que le moment était venu de passer le relai à ... Lire la suite
Au cours d'une conférence de presse animée le 7 août à Brazzaville, et faisant le point du dialogue alternatif qu'ils ont recemment tenu à Diata (premier arrondissement de Brazzaville), les partis de l'opposition, ont insisté sur la recommandation relative à une élection présidentielle "libre et transparente" en 2016.
Lesdits partis, signataires de la déclaration de 2012 ont à cet effet souligné l'urgente nécessité de refonder le système électoral actuel qu’il ont qualifié de « frauduleux ». Ils ont ainsi opté pour un renouveau du système électoral congolais.
L’élaboration et l’adoption d'accord-partie d’une nouvelle loi électorale impartiale et impersonnelle, la réalisation d’un vrai recensement administratif spécial suivi d’un nouveau découpage électoral impartial, articulé sur les standards internationaux, sont parmi les ... Lire la suite

Cette expression découle de la conférence de presse que le président du Parti pour l’action de la République mâ (PAR) a animé le 7 août à Brazzaville. Il a été question de faire le point du dialogue national de Sibiti et d’ébaucher la problématique de la gestion gouvernementale.
« A Sibiti il n’y a pas eu de consensus », tel a été l’essentiel de son message. L’orateur est revenu sur les trois points de vue exprimés lors de ces assises à savoir : le changement de la Constitution du 20 janvier 2002, la révision de la Constitution et, in fine le statu quo. Il s’est également exprimé sur les forces et faiblesses des conclusions du dialogue national inclusif, avant de se pencher sur la question du référendum constitutionnel.
« Le dialogue est une force politique en démocratie. Dans le respect des lois et des règlements de la République du Congo, ... Lire la suite

Les adoptants italiens de quelque 150 petits Congolais demandent des explications à leur gouvernement sur 22 mois de blocage.
Au cours de la séance des questions orales à l’Assemblée nationale italienne le mercredi dernier, des familles d’adoptants de petits Congolais sont venus interpeller leurs députés sur les raisons du blocage des dossiers. « Il y a une absence de communication entre le gouvernement italien et les familles : en 22 mois, nous n’avons eu qu’une seule rencontre avec la Commission internationale des adoptions et reçu un seul mail, dans lequel on nous invitait à patienter », ont dénoncé les familles italiennes.
Depuis novembre 2013, les familles italiennes s’en tiennent aux indications du gouvernement de Kinshasa de procéder à l’examen au cas par cas, après la découverte d’irrégularités dans ces dossiers. Des adoptants, notamment ... Lire la suite

















