Politique

Mawampanga Mwana Nanga a suscité la colère de l'opposition dans le pays après avoir déclaré, selon les médias publics, que le gouvernement du Zimbabwe a accordé aux citoyens "trop de liberté" au point d'en abuser, indique le site d'informations www.newsday.co.zw.
Mawampanga Mwana-Nanga aurait déclaré, en novembre dernier, à la suite de la chute de l'ancien président Robert Mugabe, que l'environnement au Zimbabwe "se caractérise par trop de liberté". En réaction, le secrétaire général du parti Movement for democratic change (MDC-T), Douglas Mwonzora, a retorqué, le 25 juillet dernier, que les libertés dont jouissait le pays étaient inscrites dans la Constitution. "Nous considérons cela comme une tentative d'inciter le gouvernement zimbabwéen à l'oppression. Ces commentaires sont déplacés et regrettables ", a indiqué Douglas Mwonzora, cité par ... Lire la suite

Le parti de l’opposant Eugène Diomi Ndongala ne va plus participer aux élections du 23 décembre, dénonçant des tares qui gangrènent leur préparation.
Le bureau politique de la Démocratie chrétienne (DC) a publié, le 31 juillet, un message dans lequel il a alerté l’opinion sur la gravité des dysfonctionnements, aussi bien électoraux que politiques, entourant l’actuel processus électoral qu'il dit « vicié » par les agissements de la Commission électorale nationale indépendante (Céni). La DC a également déploré un contexte politique, sécuritaire, diplomatique et économique troublé par la méfiance qui règne entre les acteurs politiques, surtout à cause du caractère « exclusif » de ce processus et la non-application des mesures de confiance qui auraient dû l’encadrer.
Pour la DC, en effet, les causes principales du manque de ... Lire la suite
Par la voix de son président, Clément Mierrassa, la formation politique a vivement condamné, le 31 juillet à Brazzaville, la décision du gouvernement d'écarter certains partis sous-prétexte de respecter les lois et règlements de la République.
Le Parti social démocrate congolais (PSDC), au terme d’une analyse de la décision qui l'exclut de la scène politique nationale, a invité le gouvernement à tirer les conséquences de cette situation tout en relevant le caractère partisan de l’administration publique congolaise qui n'observerait pas la neutralité. Il a recommandé, à l'occasion, l’examen et l’adoption par le parlement du texte d’application sur la déclaration du patrimoine, tel que recommandé par la Constitution.
Le PSDC a constaté, par ailleurs, que plusieurs acteurs et partis politiques ne sont pas en conformité avec la loi et ... Lire la suite
Dans un message lu le 31 juillet à Brazzaville par son représentant, Philippe Ané, l'ancien chef rebelle a demandé aux ex-combattants ninjas de permettre le bon déroulement de l’opération qui va s'effectuer du 7 au 25 août.
Ayant recouvré sa liberté de mouvement suite à l’application des accords de paix du 23 décembre 2017, le pasteur Ntoumi a indiqué qu’il marque sa disponibilité à œuvrer pour la paix jusqu’au parachèvement du processus, dans le respect des engagements découlant de ces accords.
« La libre circulation des personnes et des biens doit fondamentalement être observée et respectée par tous car elle est le baromètre de la paix. Tout ex-combattant est appelé à se rendre dans le centre de collecte pour procéder à l’opération de ramassage des armes sans qu’il ne soit inquiété ni qu’il ne subisse une quelconque chasse aux ... Lire la suite

Alors que d'autres noms étaient avancés comme éventuels dauphins, plusieurs composantes de la plate-forme électorale que chapeaute l'actuel chef de l'Etat ont plutôt jeté leur dévolu sur sa personne pour être leur candidat au prochain scrutin présidentiel.
À une semaine de la fin de l’opération d’enregistrement des candidatures à la présidence de la République, les potentiels candidats, tant de la majorité présidentielle que de l’opposition, continuent à traîner les pieds. Une nonchalance qui tranche nettement avec la célérité ayant caractérisé l’annonce avec pompe de leur candidature. A présent que le moment est venu de matérialiser cette ambition en faisant acte de candidature auprès du Bureau de réception et de traitement de candidatures (BRTC), plusieurs se rebiffent. Le jeune Seth Kikuni qui a postulé en indépendant, il y a quelques jours, ... Lire la suite

Les personnes interrogées favoriseraient l’ex-gouverneur du Katanga (28%) à la présidentielle, suivi du leader de l'Union pour la démocratie sociale (26%) et du Mouvement de libération du Congo (20%).
Tous les prétendants au fauteuil présidentiel affichent un réel optimisme par rapport à leur ambition légitime de briguer cette fonction par le biais des élections. A l’opposition où aucune candidature consensuelle n’est toujours pas dégagée, les différents leaders présidentiables tentent, chacun en ce qui le concerne, de se donner les moyens de ses ambitions. Toutefois, trois candidatures sortent du lot en raison du poids politique que représentent les personnalités qui en sont porteuses. Il s’agit de Moïse Katumbi, Félix Tshisekedi et Jean-Pierre Bemba qui tiennent le haut du pavé parmi les opposants candidats à la présidence de la République.
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Le comité exécutif du Forum des parlements de la Conférence internationale sur la région des Grands Lacs (FP-CIRGL) a ouvert, le 31 juillet à Brazzaville, les travaux de sa dix-huitième session ordinaire. La recherche d’une paix durable dans cette zone communautaire figure parmi les points saillants à l’ordre du jour.
Jusqu’au 1er août, les délégués des parlements des douze pays membres de la CIRGL vont examiner plusieurs points qui entravent la paix, la sécurité et le développement économique dans la sous-région.
Prioritairement, ils vont statuer sur la paix et la sécurité dans les pays membres. Il s’agira notamment d’élaborer et/ou de proposer de nouvelles stratégies pouvant permettre de trouver des solutions idoines et définitives aux crises socio-politiques qui sévissent depuis bien des années en République démocratique du Congo, en République ... Lire la suite

Un communiqué de la plate-forme, qui soutient la candidature à la présidentielle de l’ex-gouverneur du Katanga indique qu'il rentre au pays par Lubumbashi, cette ville qu’il a dirigée pendant plusieurs années.
Moïse Katumbi Chapwe, candidat déclaré à la présidentielle du 23 décembre, rentre en République démocratique du Congo (RDC) par l'aéroport de Loano, dans la ville de Lubumbashi, a annoncé le secrétariat général de la plate-forme politique Ensemble pour le changement.
Selon ce regroupement politique, son président revient en RDC en vue de déposer sa candidature pour l'élection présidentielle prévue pour le 23 décembre. En attendant, la plate-forme lance une invitation à l’ensemble de la population congolaise en vue de réserver un accueil chaleureux « au digne fils du pays, Moïse Katumbi Chapwe, qui rentre au pays de ses ancêtres ». Dans ... Lire la suite
La plate-forme que dirige Pascal Tsaty Mabiala s’est exprimée sur la question, le 30 juillet à Brazzaville, à l’issue du conseil extraordinaire des présidents.
L’opposition politique congolaise s’est dit consternée par la tragédie qui a causé la mort à treize jeunes, dans la nuit du 22 au 23 juillet, au commissariat de Chacona, dans le quartier Mpila (sixième arrondissement). Elle a invité le gouvernement à mettre en place une commission mixte d’enquête indépendante en vue de faire la lumière sur cette affaire . Ainsi, en vertu de l’article 8, alinéa1 de la Constitution du 25 octobre 2015 qui stipule « la personne humaine est sacrée et a le droit à la vie », cette famille politique tient à ce que lumière soit faite dans cette affaire afin que les responsabilités soient établies.
« Le conseil des présidents des partis de ... Lire la suite

Le ministère de la Santé publique confirme que l’échantillon prélevé dans la ville a été envoyé en urgence à Kinshasa pour être examiné.
Alors que le pays venait de déclarer récemment la fin de l’épidémie d’Ébola dans la province de l’Equateur, où elle a fait trente-trois morts sur quelque cinquante-quatre cas confirmés, une autre maladie, cette fois-ci d’origine inconnue, vient de se manifester au Nord-Kivu, à environ 30 km au sud-ouest de la ville de Beni. Diarrhée, fièvre, hémorragie nasale et vomissements, tels sont les grands traits caractéristiques de cette maladie que certains esprits superstitieux ont vite fait d’imputer à la sorcellerie. Mais face à sa persistance car elle a déjà tué plusieurs personnes, la population de Beni, Goma et d’ailleurs a crié son désarroi et appelé à une assistance urgente.
Quinze morts ont été ... Lire la suite