Société

La Fondation Bill-Clinton pour la paix (FBCP) a dénoncé les tracasseries contre son directeur, empêché d'accomplir sa mission alors que toutes les formalités d'usage auraient été respectées.
Dans un communiqué du 21 mai, la FBCP a dénoncé l’interpellation, la veille, à la prison militaire de Ndolo, à Kinshasa, de son directeur, Emmanuel Cole, par un militaire en service dans ce centre pénitentiaire. Il s’y était rendu pour y rencontrer Janai Kagofero qui serait détenu sans jugement dans cette prison depuis le 11 mars 2017 et dont l’état de santé dégradé avait été relevé dans un communiqué de cette même ONG, le 3 mai.
La FBCP note qu’Emmanuel Cole, détenteur de la carte de visiteur d’une validité d’une année achetée uniquement pour rendre visite à Janai Kagofero, avait rempli toutes les formalités permettant d’accéder à ce détenu. Mais, a ... Lire la suite
Durant quatre heures, l'établissement public a été assaini à l’intérieur et à l’extérieur, le 19 mai, dans le cadre de l'opération "No litter day" ou journée sans déchets, célébrée chaque 16 mai par les membres du club.
La "No litter day" vise l’éradication de la saleté en éliminant tout ce qui jonche le sol, pollue les mers et les océans. Cette journée contribue à l’assainissement des lieux publics, à travers le travail en équipe.
Le choix de la bibliothèque nationale n’est pas fortuit car, ce lieu mythique est très important du fait qu’il regorge l’histoire de l’humanité. Selon les initiateurs, ce genre de programmes permet de réunir les enfants autour des activités du développement durable.
« C’est un son de cloche que nous lançons à d’autres organismes car, nos lieux historiques doivent être assainis afin ... Lire la suite
Inculpé d’atteinte à la sécurité intérieure de l’Etat, l’ancien inspecteur général des Forces armées congolaises et de la gendarmerie nationale a été reconnu coupable par la Cour criminelle de Brazzaville des faits mis à sa charge et condamné à cinq ans d'emprisonnement ferme.
Selon le verdict rendu au soir du 19 mai par le président de la Cour d’appel de Brazzaville, Christian Oba, le général de deuxième section Norbert Dabira a été reconnu coupable d’atteinte à l’intégrité physique du président de la République, en rapport de la proposition faite mais non agréée, selon la Cour, par le général de brigade Nianga Ngatsé-Mbouala. Des faits prévus et punis par les dispositions de l’article 89, alinéa 89, du Code de procédure pénale. « (…) Par ces motifs, statuant publiquement, contradictoirement en matière criminelle, en premier et ... Lire la suite
Décédée le 8 mai, l’ancienne gloire des Diables rouges handball a été conduite à sa dernière demeure le 19 mai, après le dernier hommage rendu par la Fédération congolaise de la discipline, les Ligues et ses anciennes coéquipières de l'équipe nationale ainsi que les journalistes sportifs, au Complexe sportif de Pointe-Noire.
C’est dans la douleur que l’ancienne gardienne de but des Diables rouges a été accompagnée dans sa dernière demeure, au cimetière de Ngoyo. L’oraison funèbre a été prononcée par le 3e vice-président de la Fédération congolaise de handball, Daniel Moutouakoula, qui a souligné que l’illustre disparue a été une héroïne du handball congolais pour avoir permis à l’image du Congo de rayonner au niveau continental et international.
En effet, Madeleine Mitsotso a fait ses premiers pas au handball en 1969, dans l’équipe de ... Lire la suite
Après avoir défait les scellés et présenté leur contenu au public, la Cour criminelle a été édifiée par le ministre de l’Intérieur et de la décentralisation, Raymond Zéphirin Mboulou, qui a répondu, par écrit, à toutes les questions qui lui ont été posées sur les échanges qu’il avait eus avec les généraux Norbert Dabira et Nianga Ngatsé- Mbouala, au sujet d’un présumé coup d’Etat que les deux frères d’arme étaient en train de préparer.
De leur côté, l’accusé Norbert Dabira et le témoin Nianga Ngatsé-Mbouala ont reconnu leurs voix dans les communications téléphoniques interceptées par les services de sécurité, ainsi que dans l’entretien audio entre le ministre de l’intérieur, le directeur général de la surveillance du territoire, le général Philippe Obara, et les deux généraux, au cabinet du ministre.
A travers le jeu de ... Lire la suite

Vaincre aujourd'hui l'épidémie qui sévit dans la province de l’Équateur n’est pas le seul apanage du ministère de la Santé publique. Une implication multisectorielle et multidisciplinaire permettra de coordonner les interventions sur le terrain pour arrêter sa propagation.
L’information et la sensibilisation jouent un grand rôle dans la lutte contre la maladie à virus Ébola pour couper court aux rumeurs et comportements à risque. C’est dans ce cadre que le programme de la communication et de la promotion de la santé du ministère de la Santé publique a organisé, le 18 mai, avec l’appui de l’Unicef, un atelier de renforcement des capacités des journalistes sur la maladie à virus d’Ébola, dans la salle de conférence du lycée Shaumba. « Nous voulons mettre en place un réseau des journalistes spécialisés en question de santé mais plus exactement ... Lire la suite
Le geste a été fait, le 18 mai, par l'Association les amis des enfants (AAE), que préside Ciani Quevai Yoka, accompagnée d’une équipe des agents de la direction de la réinsertion et de l’action sociale judiciaire.
Le généreux don a été essentiellement composé du pain fabriqué à base de la farine de blé, jus de fruits, biscuits, l’eau minérale, boîtes de sardines, pain de manioc, sucre, etc. L’initiative fait partie des activités d’humanisme et d’éducation juvénile que mène l’AAE depuis dix années d’existence. Elle intègre également l’accompagnement psychosocial des enfants en milieu carcéral.
En effet, l’éducation parentale et celle venant des organisations associatives constituent un enjeu majeur dans la prévention de la délinquance des enfants que l'AAE entend protéger d’un monde de séduction à la bêtise humaine.
Ainsi donc, ... Lire la suite

La situation épidémiologique de la maladie révèle, au 17 mai, que quarante-cinq cas de fièvre hémorragique ont été rapportés dont dix suspects, vingt et un probables et quatorze confirmés. Deux cas suspects ont été notifiés à Wangata (Mbandaka) dont un confirmé. Le nombre total de décès est passé de vingt-trois à vingt-cinq. Aucune nouvelle contamination n’ a été signalée chez le personnel de santé.
Pour ce qui est des personnes contacts, les données du ministère de la Santé publique indiquent que depuis le début de l’épidémie, la province a enregistré cinq cent trente-deux contacts d'Ébola. La zone de santé de Bikoro, l’épicentre de l’épidémie, a notifié un grand nombre de contacts qui est de trois cent trente, cent vingt à Iboko, cinquante-deux à Wangata et trente à Ntondo.
Aujourd’hui, l’épidémie de la maladie à virus ... Lire la suite
Dorgelin Moukala et Aristote Miankanguila viennent de mettre « Kiéssé mingui », un coulis à base de maïs, sur le marché bioalimentaire national.
L'objectif des deux entrepreneurs est d’aider les plus jeunes, en particulier, et les adultes, en général, à consommer des aliments nutritionnels bio de bonne qualité. D’après le feedback que les deux jeunes reçoivent quotidiennement de leurs clients, il semble que le meilleur reste à venir pour ce produit « Nos produits fonctionnent correctement. Jusqu’à présent, on n’a pas encore reçu des messages négatifs, à part le fait que les clients veulent qu’on diversifie la taille de nos produits, en proposant des prix les plus bas. Nos produits sont disponibles partout à Brazzaville, grâce aux vendeurs ambulants et, à travers nos agences de Moukoundzi Ngouaka, Diata et Poto-Poto », ont- ils dit.
Chaque produit ... Lire la suite
Pour se déplacer en ville, les Congolais ont trois grands moyens que sont la voiture personnelle, le taxi et le bus en commun. S’y ajoute la moto « Jakarta » venue de l’Indonésie.
Au Congo, à Brazzaville notamment, le statut des individus se lit aussi à travers le moyen de déplacement qu’il utilise. Naturellement, ceux qui disposent des voitures sont considérés, ici, comme les « riches » ou vus comme tels même si cela semble exagéré. Les preneurs de taxis, sauf exception, font partie de la classe moyenne. Et ceux qui montent dans le bus, évidemment, sont perçus comme ne disposant pas d’assez de ressources.
Tel est le décor, bien que caricatural. Mais en ces temps de crise, on assiste peu à peu à un glissement de comportements : certains, sans complexe, passent d’un statut à un autre. Des preneurs de taxis qui n’hésitent plus de monter dans des bus ... Lire la suite

















