Société
~~Lors de son message de vœux à l’occasion du Nouvel an, le président de la République, Denis Sassou N’Guesso, avait annoncé la création cette année, d’une « société publique de transport urbain », afin de mettre un terme à l’épineux problème du déplacement des populations dans les deux principales villes du Congo.
~~Depuis plus d’une vingtaine d’années, en effet, se procurer un moyen de transport à Brazzaville et Pointe-Noire est vécu comme un véritable calvaire. Ceci, même quand vous disposez de quoi payer votre ticket de transport dans un bus ou d’emprunter un taxi pour aller d’un point de la ville à un autre. Il s’est créé chez les propriétaires des taxis et bus, une telle cupidité que les règles de transport ont totalement été changées par le phénomène dit de demi-terrains, qui consiste à écouter les distances pour gagner ... Lire la suite

Dressant le bilan de l’année 2014, à l’occasion de la présentation des vœux pour celle qui commence, cette ONG a exhorté à la conjugaison d’efforts en vue de l’amélioration de la situation des droits fondamentaux dans le pays.
Dans cette sorte d’état de la situation des droits de l’Homme dans le pays, l’ONG a relevé, à travers tout le pays, l’insécurité récurrente, des exactions contre les populations civiles, des exécutions extrajudiciaires, des disparitions forcées, des massacres, des enlèvements, des arrestations et détentions arbitraires, la torture, des meurtres, des atteintes à la liberté de presse, d’expression et d’opinion, la fermeture des médias, la restriction de liberté de mouvement et de circulation, des viols de femmes et jeunes filles, le pillage des ressources naturelles, la corruption et détournements des deniers publics, des ... Lire la suite
Hier pygmées, aujourd’hui peuples autochtones, cela témoigne bien l’avancée significative de la communauté internationale dans les mécanismes d’intégration socioéconomique et sociopolitique de ce peuple. La République du Congo n’étant pas restée en marge de cette logique a ainsi adopté et promulgué la Loi n°5-2011 du 25 février 2011 portant promotion et protection des droits des populations autochtones.
La loi qui vise l’épanouissement et le bien être des populations autochtones est structurée en neuf titres et condensée sur un document de 25 pages. Elle mérite ainsi d’être connue à la fois par le bantou et l’autochtone lui-même, d’où l’intérêt pour sa vulgarisation par des autorités habiletés sur toute l’étendue du territoire national, car les populations autochtones sont présentes dans la quasi-totalité des départements. Dans son ... Lire la suite
Dans un communiqué parvenu à notre rédaction, le Collectif des habitants du quartier Jacques-Opangault, dans le 9e arrondissement de Brazzaville, Djiri, dénonce l'utilisation illicite du courant de la Société nationale d’électricité (SNE) par certains inciviques. « Certaines personnes prennent le courant d’une manière illicite. La journée les ampoules sont allumées, ce qui entraîne la baisse de tension dans le transformateur », a fustigé Rodrigue Koumou, président du collectif.
En effet, pour trouver des solutions durables à cette situation, il a, au nom de la population de ce quartier, l’un des plus enclavés de la ville, sollicité l’apport de la SNE et de la police pour remédier à cette situation de plus en plus récurrente, à Brazzaville. Le but principal de cette opération étant de décéler et démenteler ces branchements pirates qui ne contribuent ... Lire la suite

Si la RDC a réussi à mettre fin pour la septième fois à la maladie à virus Ébola qui s’était déclarée dans le village de Djera dans le territoire de Boende dans la province de l’Équateur, en Afrique de l’Ouest par contre précisément en Guinée, au Liberia et en Sierra-Leone, cette maladie dangereuse continue à faire parler d’elle. On estime déjà à plus de six mille personnes décédées.
Les enfants ne sont pas épargnés par cette maladie. Selon l’Unicef, les enfants perdent leurs parents à cause de cette épidémie. Le nombre d’enfants rendus orphelins par le virus Ébola, révèle l’Unicef, est monté en flèche au cours des dernières semaines et va probablement doubler.
Le fait de perdre les parents rend des enfants plus vulnérables surtout quand ils sont atteints par Ébola, non seulement qu’ils n’ont pas accès aux soins de qualité ... Lire la suite
Le drame s’est passé dans une auberge le 4 janvier aux environs de 13 h dans la rue Oboli à Mikalou, dans le 6e arrondissement de Brazzaville, Talangaï
En effet, selon les témoins, c’est par inattention que le jeune ouvrier de 18 ans révolus a trouvé la mort. L’infortuné aurait glissé alors qu’il s’apprêtait à vider de façon artisanale le puisard en compagnie de son élève qui a alerté les gens. Tous les efforts des voisins en vue de sauver la victime à l’aide d’une échelle se sont révélés infructueux.
C’est finalement la brigade d’intervention des sapeurs-pompiers de la Tsiémé qui est venue extirper le cadavre du puisard. Ceci au grand dam de la population qui fondait en larmes.
Rappelons que les éléments du commissariat de police de la Tsiémé qui sont arrivés dans l’immédiat pour sécuriser les lieux ont pris le gérant de l’auberge ... Lire la suite
Franck Noumazalay a offert, le 3 janvier, des vivres au Centre d’accueil Béthanie à Moungali où sont hébergés des enfants abandonnés, et au Centre Petites sœurs des pauvres, située à la cathédrale sacré cœur où sont logées des personnes de 3e âge. L’objectif étant de contribuer au bien-être de ces personnes démunies et abandonnées.
Au Centre d’accueil des enfants abandonnés Béthanie, situé au quartier 10 maisons, dans le quatrième arrondissement Moungali, où il a visité en premier lieu, le bienfaiteur a remis un lot de vivres.
Il s’agit notamment des vivres et de quelques produits de première nécessité, à savoir des bidons d’huile, des sacs de riz, des cartons de lait et de cuisses de poulets.
A travers ce geste humanitaire, Franck Noumazalay veut bien contribuer au bon fonctionnement de cette structure d’accueil, qui héberge à ce jour 57 ... Lire la suite
Pour célébrer la Saint Sylvestre en beauté, la direction départementale des affaires sociales de Pointe-Noire a organisé le 3 janvier dans le 5e arrondissement Mongo Mpoukou un repas convivial qui a regroupé les agents en service et ceux retraités qui ont œuvré pendant des années au sein de ce département.
Ce repas a été organisé pour rendre hommage aux anciens des affaires sociales pour leurs loyaux et fiers services rendus à la population défavorisée pendant leur vie active « Nous avons décidé de passer ces moments de bonheur avec les anciens des affaires sociales aujourd’hui retraités. C’est avec une grande émotion et un bonheur infini qu’on a retrouvé nos anciens qui ont été là avant nous. Nombreux sont décédés, d’autres ne se voyaient pratiquement plus, et d’autres encore affectés par la maladie, mais ont tenu à être présents. ... Lire la suite
Dans le but d’aider les plus petits à participer aux fêtes de Noël et de fin d’année, le chef du quartier 66 Talangaï, Igor Gunénolé Ongangna, a offert un don de jouets aux enfants de la maternité de l'école de la Liberté, située dans le 6è arrondissement de Brazzaville.
Ce don composé des ballons, pompés, piano, jeux vidéo et kits scolaire a été réceptionné par la directrice de l'établissement, en présence du représentant de la mairie du 6e arrondissement de Brazzaville, Talangaï, des chefs de quartiers. Elle a naturellement remercié le donateur. Car ce geste d'amour reste le premier du genre, depuis que cette école publique existe. Ancien élève de l’école de la Liberté, le chef du quartier 66 a rappelé qu’il a voulu, à travers cette action, partager sa joie à celle des enfants. « L’objectif est de rendre heureux les enfants, en ... Lire la suite

Deux ans après avoir apporté son assistance médicale aux déplacés du camp de Bulengo dans la province du Nord-Kivu, l’ONG Médecins sans frontières (MSF) compte mettre un terme à sa présence dans ce site parce que la phase d’urgence aiguë est révolue et que les conditions sanitaires se sont améliorées dans ledit site.
MSF fait savoir qu' au-delà des besoins médicaux, les populations qui se sont réfugiées à Bulengo et dans les autres camps autour de Goma restent extrêmement vulnérables et les besoins d’assistance sont toujours immenses.
C’est dans un contexte d’urgence grave que l’intervention de Bulengo a débuté, suite aux affrontements dans différentes parties du Nord-Kivu, principalement dans le Masisi et le Rutshuru. En deux ans de présence à Bulengo, l’équipe de MSF aura pris en charge plus de soixante-quatre mille patients, ... Lire la suite