Style et Art de vivre
On connaît le terme « enfants de rue ». On sait ce qu’il désigne : ces enfants abandonnés, sans abris, orphelins pour certains et évadés des toits familiaux pour d’autres, qui dorment à la belle étoile, le long des artères principales des villes ou ailleurs dans nos agglomérations.
Et « animaux de rue » alors ? Ce terme n’existant pas, on peut le créer par analogie avec le phénomène ci-haut décrit et décrié. En effet, allusion est ici faite à ces divers animaux qui peuplent nos cités. Au Congo, bien de gens affectionnent la compagnie des animaux domestiques que sont les chiens et les chats.
Comme il faut se nourrir, volaille et ovins ont ainsi leur place dans les habitations congolaises. En passant, les Congolais qui n’ont pas une tradition pastorale ou d’éleveurs se passionnent à élever les coqs, les poules, les canards, les pigeons, les ... Lire la suite
Avec la pollution atmosphérique, les transports en commun vont devoir rapidement se mettre aux nouvelles normes. Il est plus que question d’adopter des véhicules propres qui utilisent les énergies renouvelables.
Depuis peu, les transports en commun se convertissent de plus en plus au tout électrique. Loin des clichés occidentaux d’une Afrique en retard, Brazzaville et Pointe-Noire mettent en circulation des bus et taxis nouvelle génération de BlueCongo du français Bolloré. Même si l’énergie consommée dans le secteur des transports est à majeure partie issue de produits pétroliers contre une portion congrue pour l'électricité, le Congo se doit de régler la question pour des besoins d’équilibre.
Passer le cap des énergies fossiles, reste une étape décisive pour le pays. Les principales villes rencontrent des problèmes de pollution aux particules fines qui ... Lire la suite
La rareté de l’eau est un phénomène à la fois naturel et d'origine humaine. Bien qu’il y ait suffisamment d’eau douce sur la planète pour la population mondiale, cette ressource est inégalement répartie dans le temps et dans l’espace et une grande partie est gaspillée, polluée et gérée de façon non durable.
Il n’y a pas à proprement parler de pénurie d’eau à l’échelle planétaire, mais un certain nombre de lieux et de régions en manquent du fait qu’au niveau mondial, son utilisation a augmenté plus de deux fois plus vite que la population au cours du siècle dernier. Sur les 6 milliards d’habitants que compte le monde, un cinquième environ vit dans des régions où l’eau fait physiquement défaut et un quart est confronté à une pénurie d’eau de type économique due au manque d’infrastructures nécessaires pour extraire l’eau des ... Lire la suite
On fait le ménage pour être bien ! Mais gare aux produits d'entretien ménagers bien plus dangereux pour la santé qu'on ne le pense.
Vous êtes probablement familiarisés avec les symboles de danger qui apparaissent sur certains produits d'entretien accompagnés de mots tels que « poison », « corrosif » et « irritant ». Ces symboles de danger avertissent les consommateurs des risques aigus pour la santé, ceux-ci étant associés à une exposition unique ou à court terme aux ingrédients chimiques présents dans le produit d'entretien.
La question de la pollution de l’air intérieur et de l’impact sur la santé humaine est d’autant plus d’actualité. Ce n’est pas la première fois que la toxicité des produits d’entretien fait l’objet d’une étude, mais les derniers résultats présentés sont particulièrement parlants. L’association 60 millions de ... Lire la suite
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Depuis quelques mois les ménages congolais souffrent d’une hausse de prix des sources d’énergie à usage domestique. Face à la pénurie du gaz butane, aux délestages de courant… plus de 80% des ménages optent pour le bois comme source d’énergie.
À Brazzaville, il n’est pas sans difficulté de se procurer une bonbonne de gaz butane, du bois de chauffe, d’avoir de l’électricité en permanence, pire du charbon de bois, alors que la journée internationale des forêts a été célébrée cette année sur le thème « Les forêts et l’énergie ».
La dépendance vis-à-vis du charbon dans les ménages congolais est le reflet de plusieurs facteurs. L’un d’entre eux est la pauvreté : les formes « modernes » d’énergie - l’électricité, les bouteilles de gaz, ne sont toujours pas à la portée de tous. Le manque de règlementation de ce secteur pose ... Lire la suite
Dessaler l’eau de mer par distillation ou osmose inverse est actuellement très couteux en énergie. Une puce électronique vient alors en aide aux usines de dessalement d’eau de mer.
Alors que de plus en plus de pays souffrent en pénurie d’eau potable, les usines de dessalement d’eau de mer fleurissent un peu partout dans le monde : les capacités ont augmenté de 57% ces cinq dernières années, selon l’association mondiale de désalinisation. Problème, les procédés actuels (distillation et osmose inverse) sont extrêmement couteux en énergie.
Okeanos, une start-up créée en 2010, espère avoir trouvé la solution, grâce à une micropuce générant un champ électrique qui sépare le sel et l’eau. Montées en série dans des cartouches, ces puces pourraient être utilisées à grande échelle. Mais elles seraient aussi utilisables dans des dispositifs portables ... Lire la suite
L’impact du changement climatique sur la production alimentaire pourrait causer 534 000 décès supplémentaires dans le monde en 2050. Ce phénomène risque de rendre encore plus difficile l’accès des plus pauvres à la nourriture.
Les effets du réchauffement de la planète sur l’équilibre des régimes alimentaires et la santé des individus sont bien palpables. De nombreux travaux ont montré que les dérèglements climatiques menaçaient la sécurité alimentaire, en entraînant une baisse des rendements agricoles susceptible d’accroître le niveau et la volatilité des prix des denrées, et de rendre encore plus difficile l’accès des plus pauvres à la nourriture.
Sans mesures immédiates de réduction des gaz à effet de serre, le changement climatique pourrait entraîner, en moyenne, selon les chercheurs, une baisse de la disponibilité alimentaire de 3,2 % par ... Lire la suite
Après l’inauguration la veille à Oyo (N’Gol’odoua) d’un musée dédié au Kiebe-Kiebe, des intellectuels et chercheurs se sont penchés, le 10 mars, sur l’origine et l’avenir de cette danse. Un débat alimenté par deux exposés des historiens Abraham Ndinga Mbo et Yvon Norbert Gambeg s’en est suivi, qui a permis aux profanes de lever le voile sur la profondeur et les splendeurs de ce qui va bien au-delà du folklore.
Organisé autour de deux sous-thèmes orientés, l’un sur les différentes expressions du Kiebe-Kiebe et l’autre sur son anthropologie sociale et culturelle, le débat placé sous la modération de Camille Bongo, personne-ressource, a eu le mérite de montrer les défis de cette danse initiatique face à un monde de plus en plus ouvert.
Ce, d’autant plus que les communications présentées ce jour au musée de N’Gol’odoua et le débat qui ... Lire la suite
De plus en plus de mères chefs de ménage dirigent une structure monoparentale. Ces mères veuves, mariées et séparées, accumulent profession, travaux ménagers, et la prise en charge totale de leurs enfants. Une tâche rude qui contraint bon nombre de femmes à se comporter en extraordinaires mères.
En Afrique, plusieurs femmes ont réussi à briser le plafond de verre en accédant à des fonctions telles que présidente de la République, Vice-présidente et Premier ministre. D'autres ont pu accéder à des fonctions exécutives au sein de grandes organisations comme l'ONU, la CPI et la FIFA. Mais qu’en est-il de ces femmes, pour qui on parle peu.
Ces femmes, « exceptionnelle » pourvoient toutes seules à l'économie de la cellule familiale. Un rythme accéléré de vie que ne mesure souvent pas le commun de mortel à telle enseigne que ce courage est rentré dans ... Lire la suite