Nouvelle République : vers la création d’une nouvelle plateforme dénommée « La rupture »

Lundi 18 Avril 2016 - 18:00

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Dans une déclaration rendue publique le 18 avril à Brazzaville, la  Dynamique spéciale Sassou pour l’unité et la Paix (Dssup) de Urbain Okiéri et Po na ékolo de Digne Elvis Tsalissan Okombi envisagent de créer dans les mois à venir, une nouvelle plateforme dénommée « la rupture. »

Celle-ci entend rassembler,  autour de la volonté de rupture exprimée par le président de la République, les cadres et mouvements associatifs autour d’une mouvance présidentielle plus disciplinée, dynamique, mieux structurée et plus compétitive en vue des futures batailles. « A l’instar du chef de l’Etat, nous réaffirmons ce jour, que le nouveau mandat doit être celui de la rupture et du changement. Ainsi, nous lançons une fois de plus un appel aux Congolais à s’impliquer activement pour dénoncer et refuser  tout élan tendant à remettre en cause l’ordre du chef de l’Etat. Que le commerçant, le syndicaliste, le fonctionnaire, l’opérateur économique, le policier, l’étudiant, l’universitaire ; chacun dans son domaine soit l’ambassadeur de la rupture », souligne la déclaration lue par Claude Mokoulabéka de la Dssup.

Ces deux forces politiques estiment en outre qu’il ne peut y avoir de véritable rupture sans une dynamique politique légitime et judiciaire.

 

 

 

 

 

 

Jean Jacques Koubemba

Légendes et crédits photo : 

Dans une déclaration rendue publique le 18 avril à Brazzaville et lue par le membre de la commission politique de la DSSUP, Claude Mokoulabéka, deux forces de la vie politique de notre pays à savoir la Dynamique Spéciale Sassou pour l’Unité et la Paix (DSSUP) de Urbain Okiéri et PO NA EKOLO du coordonnateur Digne Elvis Tsalissan Okombi envisagent de créer dans les mois à venir, une nouvelle plate-forme dénommée « la rupture. » Celle-ci entend rassembler autour de la volonté de rupture du président de la République, les cadres et mouvements associatifs autour d’une mouvance présidentielle plus disciplinée, dynamique, mieux structurée et plus compétitive en vue des futures batailles. « A l’instar du chef de l’Etat, nous réaffirmons ce jour, que le mandat du chef de l’Etat doit être le mandat de la rupture et du changement. Ainsi, nous lançons une fois de plus un appel aux congolais de s’impliquer activement pour dénoncer et refuser tout élan tendant à remettre en cause l’ordre du chef de l’Etat. Que le commerçant, le syndicaliste, le fonctionnaire, l’opérateur économique, le policier, l’étudiant, l’universitaire ; chacun dans son domaine soit l’ambassadeur de la rupture » a déclaré Claude Mokoulabéka. Ces deux forces politiques estiment qu’il ne peut y avoir de véritable rupture sans une dynamique politique légitime et judiciaire. Photo : Claude Mokoulabéka à gauche lisant la déclaration

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