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Éditorial

Etats généraux

17-04-2024 19:15

La réclamation faite par le président de l’Assemblée nationale congolais au cours d’une séance plénière consacrée aux questions orales avec débats sur l’organisation des états généraux du football vise à faire avancer les réflexions sur ce qui freine vraiment le décollage des équipes nationales.

Echanger avec l’ensemble des parties prenantes s’impose aujourd’hui comme une nécessité devant permettre aux sélections congolaises de retrouver la place qui était la leur sur l’échiquier continental. Attendu que le sport en général et le football en particulier demeure un puissant vecteur de développement et de rayonnement du pays sous d’autres cieux.

La thèse selon laquelle le développement du sport relève d’une volonté politique établit clairement le rôle que doit jouer l’Etat dans l’amélioration des performances des joueurs. De ce point de vue, réclamer la tenue de ces assises pour une meilleure relance du secteur est une démarche salutaire. Mais encore faut- il que les recommandations qui en émaneront soient appliquées à la lettre.

En mars 2022, le ministère des Sports avait pris la même initiative sur le thème « Quelle stratégie pour un football performant en République du Congo ? ». Trois jours de débats avaient abouti à des recommandations. Hélas! le constat qui se dégage deux ans après est loin de satisfaire les attentes. C’est donc un éternel recommencement ?

Faire du football une affaire nationale est une piste parmi d’autres mais une option serait d’élargir les assises aux autres disciplines qui jadis faisaient la fierté du pays et qui traversent également une crise de résultats pour les mêmes raisons liées à l’impréparation et au manque de financement. Dans ces conditions, les états généraux du sport congolais seraient les bienvenus.

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XVème Sommet de la Francophonie, Dakar 29-30 Novembre

Lundi 24 Novembre 2014 - 23:00

Rose-Marie Bouboutou

Légendes et crédits photo :

©ADIAC

Mohamed Ben Abdallah Dionne (à droite), premier ministre du Sénégal et Moussa Mara (à gauche), premier ministre du Mali inaugurent le village de la Francophonie

Situé à un trentaine de kilomètres de Dakar, le Centre International de Conférence de Diamniadio va accueillir le XVème sommet de la Francophonie

Les couleurs du Congo flottent dans l'allée au drapeau au Centre International de Conférence de Diamniadio qui va accueillir le XVème sommet de la Francophonie

Divin Diakouika, créateur d'objets en papier, représente le Congo au village de la Francophonie à Dakar

L'ambassadeur Henri Lopes au grand théâtre de Dakar au milieu des jeunes collégiens et lycéens sénégalais

L'ambassadeur Henri Lopes prononce son discours d'acceptation de son Prix

L'ambassadeur Henri Lopes brandit son Prix décerné par le réseau des Clubs de Littérature d'Art et de Philosophie (RESACLAP)

L'ambassadeur Henri Lopes heureux de recevoir son diplôme d'honneur décerné par le réseau des Clubs de Littérature d'Art et de Philosophie (RESACLAP)

L'ambassadeur Henri Lopes interviewé par la presse sénégalaise

L'ambassadeur Henri Lopes signe des autographes aux jeunes collégiens et lycéens sénégalais

L'ambassadeur Henri Lopes visite le stand du Congo au village de la Francophonie

L'ambassadeur Henri Lopes avec le numéro spécial des Dépêches de Brazzaville consacré au sommet de la Francophonie

De gauche à droite : Henri Lopes, Basile Ikouebe et Pierre-Michel Nguimbi célèbrent la journée de la République à Dakar ©ADIAC

L'ambassadeur Pierre-Michel Nguimbi s'adresse à sa colonie ©ADIAC

Le ministre Basile Ikouebe s'adresse à la diaspora congolaise du Sénégal ©ADIAC

Les frères Mayitoukou se produisent sur le stand du Congo au village de la Francophonie à Dakar ©ADIAC

Un groupe de jeunes musiciens de la diaspora du Sénégal reprend les standards de la musique congolaise sur le stand du Congo au village de la Francophonie à Dakar ©ADIAC

Les officiels français dévorent l'édition spéciale des Dépêches de Brazzaville consacrée au sommet de la Francophonie ©ADIAC

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Le Groupe Bassin du Congo-SA

Créé en 1997, le groupe Bassin du Congo-SA rassemble 200 collaborateurs répartis entre le siège à Brazzaville et ses bureaux de Kinshasa, Pointe-Noire, Dolisie, Bruxelles, Paris et Rome. Le groupe Bassin du Congo-SA intervient au travers de ses filiales dans les différents secteurs liés à la culture et à l’information : agence de presse, quotidien, librairie, galerie, musée, imprimerie, maison d’édition, centre d’études stratégiques.
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