Art-Culture-Média
Brétigny-sur-Orge. Concert : Le groupe Paris-Kinshasa Express clôturera le festival L’Escale à Brétigny-sur-Orge le samedi 30 août. Paris-Kinshasa Express, c’est de la musique congolaise made in Paris : des rythmes chaloupés, des textes en français et en lingala et de vieux loups de la musique congolaise réunis à l’initiative du musicien Patrick Mundélé et de la danseuse Mama Cécilia. Le groupe revisitera les musiques du Bassin du Congo sur les traces de l'OK Jazz de Franco, de Zao ou encore de Zaïko Langa Langa. 21h, Esplanade de L'Escale, Pelouse de la piscine, rue Henri-Douard (91), entrée libre (en cas de mauvais temps, les festivités seront transférées à l’École de musique). Plus d’info sur www.pariskinshasaexpress.com
Saint-Denis. Concert : Comme chaque année, la ville de Saint-Denis organise un pique-nique concert le samedi 30 août sur le parvis ... Lire la suite
Le coordonnateur de la fédération syndicale congolaise des artistes musiciens (Fésycam), Djoson philosophe The Winner, réunira le 30 août prochain en matinée, les artistes musiciens au musée-galerie du Bassin du Congo pour rendre un hommage mérité au grand défenseur des arts, le président fondateur de la Centrale syndicale congolaise des artistes (Cesyca), Me Jeany Ibela-Ibel, décédé le 24 août 2011 à Brazzaville.
La famille syndicale et musicale s’est souvenue le 24 août dernier de maître Jeany Ibela-Ibel, président-fondateur de la Cesyca. Cette centrale syndicale qui regorgeait beaucoup de corporation avait également en son sein, la Fésycam que coordonne l’artiste musicien Djoson philosophe The Winner. Comme s’il savait sa mort proche, Me Jeany Ibela-Ibel avait demandé à Djoson philosophe, de prendre la responsabilité de toute la centrale parce que la ... Lire la suite

L’album du dessinateur Asimba Bathy paru sous son label personnel, Les éditions du Crayon noir, met les projecteurs sur le comportement fâcheux des habitants de la capitale qui sont passés maîtres dans leur capacité à créer la psychose générale à partir de rien et à s’en accommoder.
À un peu moins de deux mois de la présentation de Panique à Kinshasa qu’il prévoit en octobre, l’auteur de la bande dessinée (BD) s’est permis un commentaire sur son contenu. En effet, il ne faudrait pas mieux pour susciter l’envie de la lire comme le laisse pressentir son discours entamé de la sorte : « Le Kinois est fort en fiction ». Comme un peu pris d’admiration pour ce « talent » particulier qu’il reconnaît à ses concitoyens kinois mais rendu sur le ton d’un reproche, il explique : « Le Kinois est ingénieux, fort dans l’invention de faits qui ... Lire la suite

Djemba Djeis s’est résolu à réaliser un film d’animation autour du sacré personnage popularisé depuis quelques années par les caricatures qui mettent un point final aux éditions quotidiennes du renommé bulletin d’information.
Des extraits du nouveau dessin animé congolais qui a pour acteurs principaux Koko Ntiri Ntiri et son inséparable « Petit ya casquette » seront diffusés au début du mois prochain. Ce sera au cours du premier salon des biens et services congolais Made in RDC qu’abritera le parking du Grand Hôtel du 4 au 6 septembre. L’évènement organisé dans le but de la promotion des entreprises et initiatives locales entend servir d’avant-première à la production de l’ASBL Kin Label coordonnée par le bédéiste Asimba Bathy.
À l’annonce faite aux Dépêches de Brazzaville par le dessinateur susmentionné, l’auteur Djemba Djeis, membre ... Lire la suite
Dans l’armée camerounaise où elle puise sa source, « waka waka » ou « zangaléwa » est le cri de douleur des nouvelles recrues face à la vie pénible de l’armée
Lorsque les jeunes soldats de la garde républicaine camerounaise se plaignaient des rigueurs de la vie militaire, leurs chefs leur posaient cette question : « Za anga loé wa ? », que l'on peut traduire par « Qui t’a appelé (ou obligé) à rentrer dans l'armée ? »
Les gendarmes de la garde présidentielle avaient créé cette chanson pour encourager les troupes. Son rythme entraînant les propulsait dans leur marche de soldat. En anglais (This Time for Africa), cette chanson est traduite en langue fang, répandue au Gabon, au sud du Cameroun, en Guinée équatoriale et un peu à l'ouest de la Centrafrique.
Des années après, elle fait toujours partie des tubes les plus actuels des années 1980. Elle ... Lire la suite
Talentueuse et discrète, Ékia Badou est une journaliste-reporter et animatrice originaire d’Afrique. Elle a travaillé pour de nombreux médias et agences de presse. Exerçant actuellement à Africa N°1, elle nous fait part de son expérience dans un entretien à cœur ouvert
Les Dépêches de Brazzaville : Pour nos lecteurs qui vous découvrent, pouvez-vous présenter ?
Ékia Badou : Mboté na bino. Na sépili mingui na ndengué bopesi nga li loba, kombo na ngai Ekia. (Sourire) Je viens d’essayer de vous saluer en lingala. Pour faire court, je dis souvent être camerounaise, mais la réalité est plus complexe. Ce qui est sûr, c’est que je suis née et que j’ai grandi en France. En fait, j’ai bien du sang camerounais par l’une de mes grand-mères (l’autre est une Ivoirienne d’origine ghanéenne). Du côté grands-pères, l'un des deux est un ancien diplomate ... Lire la suite
Le livre de Joseph Okania a fait l’objet de débats, vendredi, chez les littéraires lors de la traditionnelle rencontre des arts et des lettres organisée par l’Union nationale des écrivains, artistes et artisans du Congo (Unéac) à la préfecture de Brazzaville.
Publié aux éditions Société des écrivains, Les Amours emprisonnées de « l’homme de Dieu », sont un condensé de la vie de Joseph Okania. « J’ai relaté ma marche à moi dans ce siècle... Mon témoignage repose donc sur ma vie, la vie de l’homme qui a été en dents de scie ; c’est-à-dire avec des hauts et des bas. » En effet, à travers son parcours atypique et une saga familiale très mouvementée car émaillée de rencontres singulières, Joseph Okania livre un "bouillon de cultures" où l'humanité est décrite dans sa diversité.
Cette chronique surprenante débouche par son ... Lire la suite

Sorti en juillet dernier et en vente à la boutique Mezalina bordant l’avenue des Huileries, les mélomanes peuvent aussi se procurer le premier opus de la chanteuse gospel Glorytha en ligne via Itunes, amazon et deezer.com.
Vivre par la foi comporte sept titres chantés en anglais, français lingala et swahili. De l’usage des deux langues locales, Glorytha dit avoir choisi de la sorte pour rappeler en quelque sorte ses origines congolaises. À ce commentaire livré dans une interview accordée à Radio Okapi, la chantre ajoute que son œuvre est porteuse d’un message d’espérance et de foi. Elle estime, en effet, qu’il faut « savoir s’encourager soi-même, s’armer de courage et aller de l’avant ». L’artiste venue de Lubumbashi a ainsi fait là allusion au temps mis pour la sortie de l’opus annoncé depuis l’an dernier.
Ayant de la prédilection pour le ... Lire la suite

Le réalisateur et producteur congolais a obtenu le prix argent du meilleur film, grâce à son film « Chinatown », lors du Grand prix africain du cinéma, de la télévision et des Tics (Gpact) qui a eu lieu à Abidjan au mois de juin dernier.
Didier Ndenga est le réalisateur de la série « Aimé malgré lui » récemment diffusée sur TV5 Afrique. La série télévisée de quarante-deux épisodes sera également diffusée sur Canal plus en septembre prochain. Son goût prononcé pour l’image dès le bas-âge a conduit naturellement Didier Ndenga à s’orienter vers des études de cinéma. Après l’obtention de son bac électronique à Evreux en France, où il a effectué ses études en intègrant l’école de cinéma Louis-Lumières à Paris. Il y suit une formation en réalisation, spécialisation cadrage et montage. Il y obtiendra un diplôme ... Lire la suite
Ce festival s’inscrit dans le cadre de la journée internationale de l’alphabétisation prévue cette année du 6 au 8 septembre prochain à Brazzaville. Il est organisé par l’association « Enfants du Congo- Enfants du Monde » que préside Jean Paul Wabotaï.
L'objectif visé à travers cette idée est d’accompagner la politique du chef de l’État congolais, Denis Sassou N’Guesso, qui a décrété les années 2013- 2014 "Années de l’éducation pour tous". Pendant trois jours, c’est-à-dire du 6 au 8 septembre prochain, le festival Alphabet Africa proposera des animations, spectacles et jeux éducatifs gratuits autour de l’alphabet avec la mobilisation des enseignants, artistes, associations et médias. Le tout se passera au Centre Culturel Sony Labou Tansi de Brazzaville. Ce premier festival choisit de s’appuyer en particulier sur la marelle Alphabet ... Lire la suite