Art-Culture-Média
Organisée par l'humoriste Mamane avec sa société de production Gondwana-city, la première édition des « Awards du rire africain (ARA) » a pour but de favoriser l’émulation et la motivation au sein du monde de l’humour en Afrique.
Prévue le 11 décembre prochain, à Niamey au Niger, la première édition des ARA alignera ses lauréats dans sept catégories, dont « Humoriste femme de l’année », « Humoriste homme de l’année », « Révélation de l’année », « Prix humoriste web », « Meilleure émission tv/radio », « Prix spécial partenaire officiel », « Prix zamani et Ara d’honneur ».
Le comité du jury est composé de professionnels du monde du spectacle, présidé par Michel Gohou, grand acteur ivoirien qui sera entouré de quatre personnalités culturelles et des médias, dont Etienne Minoungou, Burkinabé, créateur du festival des ... Lire la suite
L’atelier de présentation des résultats issus de la révision de la liste indicative du patrimoine culturel et national a été ouvert, le 15 octobre, par Bernard Eloko, directeur de cabinet du ministre de la Culture et des Arts, Dieudonné Moyongo.
L'atelier a regroupé les experts des différents ministères et institutions et a servi à la production d’une liste indicative enrichie, dans laquelle d’autres biens susceptibles d’être proposés à l’inscription au patrimoine mondial ont été décelés. En effet, le Congo, État membre de l’Unesco, a toujours été soucieux de protéger et de sauvegarder son patrimoine culturel. A cet effet, il s’est engagé depuis plusieurs décennies dans le processus de ratification des conventions, parmi lesquelles la Convention de 1972 portant protection du patrimoine culturel et naturel, ratifiée en 1987, a indiqué ... Lire la suite
Organisé à l’intention des élèves des lycées Pierre-Savorgnan-de-Brazza, Récociliation et Ecole internationale turco-congolaise par Tristell Mouanda Moussoki, responsable du Cercle des amis des écrivains noirs engagés (Cene), le café littéraire tenu le 16 octobre a permis de mettre en exergue l’écrivain ayant remporté le prix "Les Afriques".
Avant d’expliquer à l’auditoire ce que c’est que la Cene littéraire, Tristell Mouanda Moussoki a invité tous les participants à observer une minute de silence en mémoire du professeur- poète Dominique Ngoie-Ngalla et du romancier Julien Ludovic Nkodia.
Créé en 2015 par Flore Agnès Nda Meitz, avocate de nationalité camerounaise résidante en Suisse, la Cene littéraire a pour but de promouvoir et défendre des œuvres littéraires produites par les écrivains afro descendants en mettant en exergue une cause humaine, ... Lire la suite
En toute simplicité, Cédric Leboussi propose un essai, paru aux Éditions Amalthée, en seize chapitres, pour atteindre l’état de joie, de plaisir, de bien-être.
À l’issue de son périple sur les chemins de Compostelle, sans prétendre être un coach de vie concernant le bonheur, l’essayiste Cédric Leboussi s’est inspiré de sa spiritualité pour passer en revue les grands sujets de réflexion afin de permettre au lecteur de vivre sa propre interprétation du bonheur.
Tel un guide universel intemporel, l'ouvrage "Les Petites Clefs du bonheur" aborde des thèmes parmi tant d’autres, tels que la fraternité, la sollicitude, la bienveillance. L’auteur invite le lecteur à repenser des notions essentielles parfois perdues de vue, happées par le quotidien. Et, sans prétention aucune, il présente son ouvrage comme « un livre de chevet qui peut se consulter à tout ... Lire la suite

Inaugurée par l’ambassadeur des États-Unis, Mike Hammer, en présence des ministres de la Culture et du Tourisme, Catherine Furaha et Modero Nsimba, l’exposition collective réalisée autour des superbes clichés de Carol Beckwith, Angela Fisher et Angelo Turconi, un rendu des cultures traditionnelles des quatre coins de la République démocratique du Congo (RDC), tapisse les murs de l’étage du Musée national depuis le 7 octobre.
L’exposition permanente « Le créatif » qui fait désormais partie du patrimoine du nouveau musée national de Kinshasa est une pure merveille. Les photos très colorées, un rendu admirable des paysages captés par des objectifs, on le sent, avides d’images tout aussi magnifiques les unes que les autres. Elles rendent témoignage de la beauté de ce Congo que le Kinois n’a pas toujours à portée de vue et qu’il découvre non sans ... Lire la suite

Comptée avec Ndeye Binta Leye, alias Lalla, parmi les invitées d’honneur à la cinquième édition du Festival cinéma au féminin (Cinef), l’actrice sénégalaise revient sur la série désormais culte de A+ Maîtresse d’un homme marié, où son rôle ne passe pas inaperçu. Au Sénégal, « beaucoup de femmes se sont identifiées au personnage de Djalika » qu’elle y campe, comme elle le dit dans cette interview exclusive avec Le Courrier de Kinshasa. Par-delà, se réjouit-elle, « La série a permis de donner non seulement l’image que l’on voulait de notre pays, mais aussi de notre Afrique ».
Le Courrier de Kinshasa (L.C.K.) : Quelle place a Maîtresse d’un homme marié dans vos dix ans de carrière au cinéma ?
Ndiaye Ciré Ba (N.C.B.) : Le cinéma, je le pratiquais depuis quelques années bien avant, mais ce n’était qu’à l’étranger et peut-être ... Lire la suite
Les Kimbanguistes ont célébré, le 12 octobre, un double événement marquant à la fois la mort de Simon Kimbangu et la naissance de son petit-fils Simon Kimbangu Kiangani. A Brazzaville, la célébration a eu lieu au centre d’accueil kimbanguiste du Plateau de 15 ans.
Le révérend Firmin Nkazi, personnel d’appoint au secrétariat exécutif national de l’Eglise kimbanguiste, qui a dit la messe placée sous l’autorité du révérend Sébastien Elion, représentant légal, deuxième suppléant chargé de la presse information kimbanguiste, président délégué du collège exécutif national par intérim, a souligné que lorsqu’ils disent la naissance du petit-fils, c’est par réflexion humaine, mais spirituellement parlant, il s’agit de Simon Kimbangu lui-même. Il a appuyé ses propos en disant qu’en 1951 lorsque Simon Kimbangu était en prison à Lubumbashi, il ... Lire la suite
Le groupe Brazza Band, ensemble de cuivre des jeunes de Brazzaville, a donné un concert de musique classique au Centre culturel russe (CCR/ Maison russe). Il a suffi de l’interprétation de treize chansons par ce groupe pour mettre tout le monde d’accord.
Le concert donné par le groupe Brazza Band au CCR /Maison russe s’inscrit dans le cadre de la promotion du travail qu'il a effectué pendant six mois et celle du partenariat entre ce groupe et cette maison. En effet, six mois seulement après sa création par Armonie Serault Massamba, son chef d’orchestre, le groupe Brazza Band, constitué de vingt-trois jeunes musiciens brazzavillois dont l’âge varie entre 10 et 25 ans, a donné un concert classique dignement apprécié par les spectateurs hybrides (les Blancs, les expatriés, les Congolais, …).
C’est par l’exécution de l'hymne national de la Fédération de ... Lire la suite
L’orchestre Bantous de la capitale fut créé le 15 août 1959 et sa sortie officielle eut lieu chez Faignond, bar construit en 1948, dans la rue Mbaka à Poto-Poto, Brazzaville. Il fut à l’époque le plus haut lieu de la vie, du plaisir, de la danse et où les mardis, jeudis et dimanches furent des journées de grandes retrouvailles pour les ambianceurs.
Appelé au départ ‘’Orchestre Bantous’’, ses co-fondateurs optèrent pour la dénomination ‘’Bantous de la capitale’’ à la faveur de la sortie, en 1962, de la chanson de Célestin Nkouka intitulée "Bantou de la capitale".
Jean Serge Essous, Ganga Edo, Nkouka Célestin, Daniel Loubelo de la lune et Pandi Saturnin en sont les co-fondateurs. Ils seront rejoints plus tard, en 1960, par Dieudonné Nino Malapet (saxophoniste), Nedoule dit papa Noël (guitariste) et Bukassa Jojo dit Jojo le beau gars (chanteur) ... Lire la suite
Le disque fait partie des chansons phares de l'auteur. Sorti en Côte d’Ivoire, en 1981, aux éditions Maikano, sous la référence Mai LP 1029, ce titre explosif a provoqué un séisme dans l’écosystème musical africain.
L’ampleur du succès de " doublé doublé" avait atteint des proportions considérables qu’une seconde production apparaît sous les auspices des éditions Celluloïd, avec la référence CEL 6624, en 1982. Cette chanson évoque les plaintes d’un amoureux qui réclame l’attention et l’affection de sa dulcinée du nom de Yomat. Dans son lyrisme vocal, l’auteur commence par « Tika ngai na benda nzoto na lembi komona bapasi ya boye mama », autrement dit, « Laisse-moi m’en aller car j’en ai marre de vivre ce genre de souffrances ».
Dans la deuxième section chant, l’artiste insiste qu’on lui fasse la bise deux fois, d’où ... Lire la suite