Art-Culture-Média
Disponible sur toutes les plateformes de téléchargement, le single “Lobi”, un extrait du futur et premier album solo de Noiiz April, est une chanson dont le message est destiné plus à la jeunesse.
Artiste musicien multigenre (rap, zouk, rumba, ndombolo), Noiiz April vient de lancer sur le marché le single “Lobi” (ou Demain en français).
« Nous sommes à la phase promotionnelle de ce single. “Lobi” c’est un message du futur. Je suis parti sur une vision basée sur le social. Je parle des jeunes filles et garçons, en les invitant à être persévérants. Parmi eux, il y en a qui ont été à l’école et d’autres non. Certains d’entre eux travaillent, d’autres ne travaillent pas, d’autres encore sont dans les petits métiers, d’autres ont préféré la voie du banditisme. C’est pourquoi je les invite à s’occuper par un travail pour gagner la vie. ... Lire la suite
Après sept mois de préparation et d’attente, le slameur Gilles Douta va jouer le spectacle « Anatomie lexicale » qui sera diffusé sur Internet en attendant sa présentation sur les tréteaux. L’enregistrement a lieu le 17 octobre dans les locaux de l’Institut français de Pointe-Noire.
Ce spectacle est une exaltation vers la magnificence et l’apologie de la beauté des mots à travers des rimes envoûtants et enivrants.
Anatomie lexicale transporte les amoureux de la parole libre à l’appropriation des mots vers une sublimation intellectuelle et culturelle.
« Imaginez combien la vie aurait été maussade si l’on avait pas d’yeux.
Comment pourrions-nous contempler la beauté de la nature » ?
« Innocente, la peau suscite autant d’admiration que de pleurs. Elle est source d’amour, mais aussi de haine. C’est peut-être parce qu’après la mort elle ... Lire la suite

Porté par le duo Mukenge/Schellhammer, le projet à découvrir en ligne, le 17 octobre à 17h10, sera lancé www.facebook.com/labkontempo à partir de la salle d’exposition de l’Académie des beaux-arts de Kinshasa.
Expérimentale, l’exposition porte essentiellement sur le travail fouillé de onze artistes visuels et plasticiens congolais, y compris les porteurs du projet sur les traces de l’époque coloniale dans le quotidien kinois. Pour cela, il a été précédé d’une résidence d’un mois. Réalisée dans l’esprit de création de synergies artistiques, l'exposition Laboratoire Kontempo a permis de mettre à contribution l’expertise de chercheurs et intellectuels locaux mais aussi internationaux dans une approche transdisciplinaire visant à explorer des possibilités artistiques qui s’offrent aujourd’hui. Il y est fait un lien entre la conception kinoise de ... Lire la suite
En séjour à Brazzaville pour accompagner un projet cinématographique, le réalisateur, acteur et producteur congolais basé à Pointe-Noire, Richi Mbebele, a accordé un entretien aux Dépêches de Brazzaville au cours duquel il exprime sa satisfaction en lien avec la nomination de son film « Grave erreur 2 » au festival Ecrans Noirs.
Les Dépêches de Brazzaville (L.D.B.) : Dites-nous, en bref, la raison de votre séjour à Brazzaville.
Richi Mbebele (R.M.) : A l’issue d’un concours de pitch organisé lors des Kamba’s Awards 2020, j’avais fait la rencontre d’un jeune réalisateur congolais en herbe qui me paraissait être pétris de talent. A cet effet, je lui avais promis de lui apporter mon expertise lorsqu’il sera à pied d’œuvre de son projet, et c’est cette collaboration qui explique ma présence à Brazzaville pour quelques semaines.
L.D.B. : Votre ... Lire la suite

Parti de Kinshasa le mardi 13 octobre pour trois jours, la star congolaise va assister aux obsèques de sa mère prévues ce vendredi 16 octobre au cimetière privé de Tremblay en France.
Le patron de Quartier Latin a posté une petite vidéo de son arrivée à Paris jeudi où jouait en musique de fond un extrait d’une des deux chansons qu’il a dédiées à la défunte Aminata Angélique Muyonge, sa mère, disparue le 3 octobre. Ces hommages posthumes, intitulés Requiem et Mama Amy, a fait savoir Koffi « seront disponibles ce vendredi 16 octobre à 16h20 ». Savoir que selon l’annonce qu’il avait faite lundi, avant son départ de Kinshasa, à ses amis domiciliés en France, l’illustre disparue serait conduite « vers 16 heures au cimetière de Tremblay ». Ce, à la suite d’un office religieux où il les avait convié en ces termes : « Je compte sur vous qui ... Lire la suite
Les tableaux « Puisqu’il faut vivre » font partie de la série « Utopicus » de la présente exposition à l’Institut français du Congo (Ifc) de l’artiste Jordy Kissy Moussa. Les deux œuvres mettent en exergue l’effroi suscité par le non-respect du port du masque plus que la contamination au Covid-19.
Dans le but de stopper la propagation du coronavirus au Congo, le port du masque obligatoire était l’une des mesures barrières prescrites à tous les citoyens. Et quiconque ne s’y inclinerait pas devrait payer une amende. Malheureusement, cette loi était devenue sujet à controverse entre la police et la population à cause de certaines violences observées dans la société. Et c’est bel et bien cette réalité que traduit les toiles « Puisqu’il faut vivre ». Dessins réalisés au crayon et à l’encre de Chine sur du papier, ces tableaux exhibent une ... Lire la suite
Les lampions de la quatrième édition de la Rentrée littéraire du Congo (Relico) se sont éteints le week-end dernier à l’auditorium du ministère des Affaires étrangères et de la Coopération. La cérémonie a été marquée par la remise solennelle du Grand prix Jean Malonga dans ses versions « Mécénat » et « Création ».
Organisée sur le thème « Littérature, legs et mémoire », la quatrième édition de la Relico a été sanctionnée par la remise officielle du Grand prix Jean-Malonga "Mécénat" à la fondation Mfumu que préside Donald Mfumu. Quant au Grand prix littéraire Jean-Malonga version "Création", il a été décerné à Alphonse Chardin Nkala, romancier, poète, et acteur culturel.
Le président du PEN Centre Congo, Florent Sogni Zaou, a précisé dans son mot de remerciement que le Grand prix dans sa version « Création » récompense ... Lire la suite
Chanteur et excellent compositeur de l’orchestre « Les Techniciens », Mwana Zama a connu la gloire avec plusieurs titres dont l’inaltérable « Chanta Bouita».
En 1973, quand sort cette chanson, l’écosystème musical du Congo Brazzaville est en pleine mutation. D’une part, on assiste à des dislocations d’orchestres et, de l’autre, à des créations de nouvelles formations musicales comme les Guérilleros, Sékami Staighen, Super Ntémbessa, Super Kwala Kwa, etc. Malgré la prolifération de ces ensembles, « Chanta Bouita » ferra bouger le Congo et le Zaïre.
«To késéni bikolo, to koki té kolingana. Lisumu nyonso wana na bolingo na biso éh Bouita. Chanta Bouita éh, ba komi ndé koméka bolingo na ékolo. Na ko banga, ba yébi été na lingaka yo. Motéma pé molémbi na makambo. Chanti pésa bolingo, na yoka nzoto, Chanta Bouita éh, na lingui yo. Kéba ... Lire la suite
L’ouvrage « Surmonter le découragement » est la première œuvre littéraire de Henrienne Wongudi dans laquelle elle relate la manière dont le jeune d'aujourd'hui voit les difficultés de la vie, et comment il envisage de les surmonter. Plusieurs facteurs, à savoir l’ambition, la peur, les risques, le courage et bien d’autres y sont évoqués.
Paru en octobre 2020 aux éditions Edilivre, le livre « surmonter le découragement » est une sorte de guide pour toute personne qui traverse des moments difficiles, un mode d’emploi pour celle qui n’en a pas encore rencontrés et un rappel pour celle qui en a déjà traversés.
Ce roman est couronné par l’histoire complexe d’une jeune fille congolaise étant passée par différentes épreuves et faisant de cette partie du livre une sorte de témoignage. Son histoire est un résumé vivant et le meilleur ... Lire la suite
Le jury du prix des cinq continents de la Francophonie, qui récompense chaque année un texte de fiction narratif (roman, récit et recueil de nouvelles) original d’expression française, vient de publier les dix titres finalistes de l’édition 2020. Dix ouvrages représentant huit pays, dont voici la liste :
C’est beau la guerre de Youssouf Amine Elalamy, (Maroc) éditions Le Fennec (Maroc), coédité avec Le diable Vauvert.
Les Jours viennent et passent de Hemley Boum (Cameroun-France) - éditions Gallimard (France).
Nafar de Mathilde Chapuis (France) - éditions Liana Levi (France).
Otages de Nina Bouraoui (Algérie-France) - éditions Lattès (France).
Rivage de la colère de Caroline Laurent (Maurice-France) - éditions les Escales (France).
Rouge impératrice de Léonora Miano (Cameroun-France) - éditions Grasset & Fasquelle (France).
Soie et métal de Tuyet Nga ... Lire la suite