Art-Culture-Média
Du 8 au 23 novembre, la Compagnie Plateaux Kimpa Théâtre propose au public parisien la pièce de Kani Kabwé Ogney.
En dix représentations, dont la dernière va être donnée ce 23 novembre, "Le jour où Siméon sortira", mise en scène par Jean Felhyt Kimbirima, connaît un réel succès à en croire l’affluence constatée et les commentaires enthousiasmés des spectateurs à la sortie. L’essentiel de l’œuvre s’inspire d’une annonce du chef de l’Etat ayant décrété l’amnistie pour tous les prisonniers politiques. En scène, les familles s’apprêtent à accueillir les leurs. La pièce, une ode à l’espérance, a été portée talentueusement par quatre grandes comédiennes du théâtre congolais que les spectateurs ont applaudies longuement et chaleureusement.
Créé à Brazzaville par la Compagnie Plateaux Kimpa Théâtre, en 2017, ce projet a été ... Lire la suite
L'illustre personnage congolais fait l’objet d’un ouvrage de Richard Ossoma-Lesmois, avec la collaboration d'Eugène Mungala, et préfacé par le chef de l’Etat, Denis Sassou N’Guesso.
"Antoine Ndinga Oba. Homme de terroir, éducateur, diplomate, africanité au Congo-Brazzaville 1941-2005" a été publié dans la collection de Graveurs de Mémoire de L’Harmattan, dédiée à l’Afrique subsaharienne, notamment au Congo Brazzaville. A en croire l’auteur, cet ouvrage satisfait à un vœu, allègeant une charge morale portée par des enfants héritiers et orphelins du fait de la nature. Grâce aux conservateurs des feuilles frappées par le coup du temps, des lignes honorant la mémoire d’Antoine Ndinga Oba affluent alors rapidement. «Quand je ne serai plus là, il faut que tu rencontres Henriette. Donne-lui ce document. Qu’elle le publie ! », confie le ... Lire la suite
Après la célébration des soixante ans d’existence des Bantous de la capitale, le patriarche de l'orchestre, 86 ans d’âge, dit continuer de chanter jusqu’au dernier jour de sa vie.
Les anciens sociétaires des Bantous de la capitale s’apprêtent à céder le relais à la jeunesse. Cependant, le patriarche Ganga Edo, qui n’est pas prêt à abandonner son micro, se dit être regardant dans la façon de composer de ces jeunes qui vont prendre la relève, et pour lesquels il exige les compositions de haute facture.
« Je continue d'encadrer les jeunes qui sont avec moi, qui m’appellent le Patriarche. Ils me respectent et je les respecte aussi. De temps en temps, quand il y a un concert, que ça soit à l’Institut français du Congo ou à la Détente bar, je suis là et je les encadre. Je respecte le directeur artistique. Je ne l’oblige pas parce que je suis le ... Lire la suite
A l’Institut français du Congo (IFC)
Cinq ans du réseau France Alumni Congo
Rencontre avec le nouvel ambassadeur de France au Congo
Date : vendredi 22 novembre
Heure : 15h 00
Sport : Marche « IFC-Viaduc-Siège »
Date : samedi 23 novembre
Lieu de départ : IFC
Heure : 10h 00
Participation gratuite
Les rendez-vous de la médiathèque
Date : samedi 23 novembre
Samedi des petits lecteurs
Heure : 10h 00
Samedi tout est permis à la médiathèque & l’heure du conte
Heure : 12h 00
Rencontre de scrabble
Heure : 16h 00
Entrée libre
Au resto-bar Massala (25 bis, rue Haoussa / rond-point Poto-Poto)
Djoson philosophe et Super Nkolo Mboka en concert
Date : samedi 23 novembre
Heure : 16h 00
Entrée libre, consommation obligatoire
Chez Sim Aerospace
Balade des amoureux sur simulateur de vol
Dates : vendredi 22 novembre / samedi 23 novembre
Heure : 08h ... Lire la suite

L'homme politique congolais a eu droit à tous les honneurs dus à son rang à l’AfricaMuseum, le 15 novembre, avec comme guide le directeur opérationnel Bruno Verbergt, en compagnie du directeur général, Guido Gryseels, et de la directrice adjointe, Katia Dewulf. A la fin de cette première visite faite avec son épouse et des proches de son parti, il a confié au Courrier de Kinshasa son avis sur la restitution qu’il ne tient pas pour une priorité à ce jour.
Le Courrier de Kinshasa (L.C.K.) : Au sortir de cette première visite du Musée rénové, quel souvenir vous en reste-t-il ?
Martin Fayulu (M.F.) : Je pars avec ce souvenir que quand les hommes veulent faire quelque chose, décident d’immortaliser l’histoire, ils peuvent le faire. J’ai été content de voir l’histoire de mon pays racontée à travers ses œuvres. Je suis ravi d’avoir effectué cette ... Lire la suite
Le concours est destiné à tout candidat, âgé entre 16 et 26 ans, ayant une grande passion pour l’écriture et qui rêve d’être lu et publié à travers le monde.
Le Prix du jeune écrivain (PJE) récompense des œuvres de fiction (nouvelles, contes ou récits) écrites en langue française, en prose, par de jeunes auteurs de toutes nationalités. A l’exception des premiers prix, les anciens lauréats peuvent participer une nouvelle fois, s’ils remplissent les conditions.
En s’inscrivant au concours, chaque participant garantit l’originalité du texte dont il est l’auteur. Tout emprunt à des textes déjà publiés, y compris dans des journaux ou des magazines, ou diffusés sur internet, doit être expressément signalé. Et, au moment de l’inscription, le texte doit n'avoir jamais été soumis au PJE ni primé par un autre jury ; car les décisions du ... Lire la suite
La slameuse congolaise a été invitée pour représenter son pays à l'événement qui a réuni sept des treize pays africains et européens attendus à N'Djamena, au Tchad, du 6 au 11 novembre.
L’artiste congolaise a presté à l’ouverture du festival, à l’Institut français du Tchad (IFT), ainsi qu’au deuxième jour, et s'est produite aussi à Sélésao. Formatrice des nouveaux talents dans cet art dans son pays, Mariusca Moukengue a été sollicitée par les organisateurs pour faire bénéficier son expérience aux collégiens et lycéens tchadiens, en animant des ateliers slam.
La Congolaise a été, par ailleurs, présidente du jury d'une compétition mettant aux prises quinze écoles. Outre cela, elle a été choisie aussi comme paneliste dans une conférence-débat portant sur la question des « Codes du féminisme », tenue à l’IFT. Elle avait à ses ... Lire la suite
L'activité a eu lieu, le 16 novembre, au Centre culturel Jean-Baptiste-Tati-Loutard, à l’inititiative de la direction départementale du Livre et de la lecture publique de Pointe-Noire, en partenariat avec la direction départementale de l’Enseignement primaire, secondaire et de l’alphabétisation.
La Journée internationale de l’écrivain africain a été célébrée cette année sur le thème "Littérature: citoyenneté et environnement". Cette vingt-sixième édition a réuni de nombreux hommes de lettres, des amoureux et friands de la lecture qui ont échangé sur ce thème, développé par Alphonse Chardin Kala, écrivain et critique d’art. Pour sa part, Hugues Eta a fait un aperçu sur " La littérature congolaise de 1953 à nos jours" et Huguette Ganga Massanga a entretenu le public sur "L’édition : un enjeu, un défi".
C'est depuis 1992 que cette ... Lire la suite
L’exposition «d’Afrique et d’ailleurs », ouverte le 7 novembre à Brazzaville, permet à l’artiste peintre de présenter son œuvre et de donner au public l'occasion de l’apprécier jusqu’au 23 novembre.
La peintre Hayat Rihan Bitar propose à la vente des pièces à travers lesquelles l'on retrouve une empreinte africaine. Des dizaines de toiles développent des thèmes comme l’esclavage, le braconnage, le voilage, la nature, l’Afrique et les émotions : l’amour, la souffrance ainsi que la colère. «C’est dans la vie simple, dans la découverte de soi-même et autres, dans le déroulement de ce qui m’entoure, dans mon écoute insatiable, mon échange constant, mes doutes mais aussi ma joie de vivre et d’espoir, ma folie parfois, que je puise ma capacité de création », a déclaré Hayat Rihan Bitar.
Les tableaux de l'artiste expriment aussi l’art ... Lire la suite
Le troisième vice-président du bureau exécutif des Pen d’Afrique francophone, président du Pen Congo, a pris part à la vingt-septième édition de la Journée internationale de l’écrivain africain, tenue du 7 au 11 novembre à Dakar, au Sénégal, au cours de laquelle il y a eu la présentation de l’anthologie de la poésie sénégalo- congolaise. De retour au pays, l'écrivain a fait savoir, dans un entretien avec Les Dépêches de Brazzaville, que l’activité littéraire du Congo a été hautement applaudie.
Les Dépêches de Brazzaville (L.D.B.) : Quel commentaire faites-vous sur la vingt-septième édition de la Journée internationale de l’écrivain africain?
Florent Sogni Zaou (F.S.Z.) : Cette journée internationale, dont le parrain est l’écrivain dramaturge congolais, Henri Djombo, et non un Sénégalais, a été aussi l’occasion de la tenue de ... Lire la suite