Politique

Dans ce document, la formation politique insiste sur le dialogue comme seule voie pouvant permettre au pays de sortir de la situation dans laquelle il se trouve.
Le document signé le 14 mars par le président de l’Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS), Étienne Tshisekedi wa Mulumba, réitère sa proposition au pays et à la communauté internationale pour un règlement rapide et satisfaisant de la crise par le dialogue.
Pour l’UDPS, qui souligne que le contentieux électoral de 2011 se trouve être la cause essentielle de la crise politique actuelle en RDC, ce dialogue à tenir à Kinshasa devra mettre autour d’une table Étienne Tshisekedi et ses alliés (vingt personnes), pour le camp du changement, et Joseph Kabila ainsi que les siens (vingt personnes également), pour le statu quo. Alors que la modération devra être assurée par la communauté ... Lire la suite
Dans le cadre de la formation de ses militants, le Mouvement congolais pour la démocratie et le développement intégral (MCDDI), a initié par le biais de son secrétaire général Guy Brice Parfait Kolelas, un séminaire de formation des « messagers de la démocratie ».
Ce séminaire qui se tient du 17 au 20 mars à Brazzaville, a pour objectif d’outiller les participants à cette rencontre de certains concepts et expressions ayant trait à la démocratie afin qu’à leur tour, ils puissent les véhiculer à la base. À cet effet, plusieurs thématiques y sont développées telles : ce qu'est la démocratie ; la genèse de la démocratie ; les régimes politiques ; les droits et devoirs des citoyens, des dirigeants politiques, des administrations ; la prévention et la gestion des conflits ; la typologie des partis et leurs fonctions etc.
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L’actuel gouverneur de la province cuprifère a décliné l’offre de briguer le poste de gouverneur de la future province du Haut Katanga, tout en annonçant aux notables et chefs coutumiers qui l’ont abordé sa volonté de se retirer pendant un moment de la politique.
Dans sa réponse réservée, le 15 mars, à l’offre de ces notables et chefs coutumiers de ce qui sera prochainement la province du Haut Katanga, l’actuel gouverneur du Katanga, Moïse Katumbi, a annoncé son retrait momentané de la politique- du moins à ce niveau là. Il leur aurait fait comprendre que la politique n‘était pas, pour lui, un métier. « Je ne suis pas d’abord le seul Congolais qui doit diriger cette province. Il faudrait l’alternance. J’étais gouverneur pendant huit ans, c’est beaucoup. Sinon, je vais violer la Constitution. Et je voudrais voir l’après-moïse dans le bon ... Lire la suite

Les services de sécurité reprochent à Me Arao Tempo l’organisation d’une marche qui devrait avoir lieu le 14 mars.
Des sources proches du Mouvement pour la reconnaissance du peuple cabindais et sa souveraineté (MRPCS) ont dénoncé l’arrestation, le 14 mars, à Cabinda, du président du Conseil de barreau, Me Arao Tempo. Ces informations considèrent cette arrestation comme un des aspects de la répression de la marche prévue le même jour à Cabinda.
Cette marche, ont-elles noté, visait la « revendication des droits et libertés totalement privés au peuple cabindais ». Ce mouvement qui avait dénoncé cette arrestation a également exigé la libération de cet avocat qui milite toujours pour les droits de l’Homme et libertés dans cette enclave.
Aux dernières nouvelles, Me Arao Tempo avait été déplacé de son lieu d’arrestation vers la ville afin d’être ... Lire la suite

La formation politique accuse le vice-ministre des Congolais de l’étranger d’usurpation de nationalité.
Les membres et sympathisants du Mouvement pour le Congo (Moco) sont censés battre le pavé, ce 17 mars, en guise de protestation contre la présence au sein du gouvernement d’un sujet français en la personne du ministre en charge des Congolais de l’étranger. Ce dernier, à en croire Tony Bolamba, est détenteur d’un passeport français et, par conséquent, ne peut exercer la politique active en RDC puisque la Constitution le lui interdit. L’incriminé aurait fait fi notamment de l’article 10 de la loi fondamentale qui consacre l’exclusivité de la nationalité congolaise qui reste une et indivisible. En foi de quoi, le président du Moco a pris l’option de porter plainte contre l’incriminé au Tribunal de grande instance de la Gombe pour « escroquerie et ... Lire la suite
La dynamique citoyenne « Po na ekolo-Samu na bwala » lancera, le 1er avril prochain, sa campagne de structuration sur toute l’étendue du territoire national. L’annonce a été faite lors du lancement officiel de ses activités.
Le 14 mars à Brazzaville, la salle des congrès était bondée de monde. Des jeunes venus de tous les arrondissements de la ville capitale ont manifesté leur adhésion à cette dynamique. Dans la salle, on pouvait remarquer la présence des leaders politiques de toute obédience ainsi qu’une représentation de la société civile.
C’est dans une ambiance festive que le coordonnateur général, Elvis Digne Tsalissan Okombi et son adjoint Juste Bernardin Gavet ont circonscrit l’évènement. « Notre conviction à dénoncer, à lutter contre les antivaleurs n’est pas pour nous une façon de faire obstruction au noble combat que chacun de nous ... Lire la suite

Ce camp militaire situé dans le territoire de Moanda, dans la province du Bas-Congo, a connu le 13 mars une agitation à la suite d’un soulèvement des ex-combattants protestant contre la mort de leur collègue puni par la hiérarchie militaire locale.
La tension était vive le 13 mars à la base militaire de Kitona où plus de deux mille ex-combattants sont encore en attente de leur démobilisation. Des coups de feu ont été entendus dans la matinée faisant quelques blessés avec, en prime, la destruction du dispensaire militaire criblée des balles. Les pensionnaires de ce camp militaire seraient eux-mêmes à la base de cette déconvenue après qu’ils ont récupéré des armes et qu’ils se sont mis à tirer dans tous les sens.
Qu’est-ce qui a motivé cette attitude pour le moins inattendue de la part de ces ex-combattants issus d’anciens groupes armés ? ... Lire la suite
Le 13 mars 1977, le président Marien Ngouabi s'était adressé aux femmes de l’Union révolutionnaire des femmes du Congo (URFC). 38 ans après, ce message reste gravé dans la mémoire de la femme congolaise actuelle. Réunies autour de l'Organisation des femmes du Congo (OFC), née des cendres de l'URFC, les femmes ont organisé une conférence-débat, le vendredi dernier.
Deux thèmes ont été développés à cette occasion : « vie politique et militantisme où sont les femmes ? » et « Femmes congolaises, impliquons-nous pour la sauvegarde de la paix ». Plusieurs intervenants ont pris la parole à cette occasion parmi lesquels : l’ancien ministre de l’Éducation, Jean-Pierre Ngombé, proche collaborateur du président Marien Ngouab. Il a basé son intervention la vie du président du Congo de 1698 à 1977 en mettant en exergue ses qualités d’homme d’État. Le ... Lire la suite
À l’issue de l’audience, le 13 mars à Brazzaville, avec le secrétaire général du Parti congolais du travail (PCT), Pierre Ngolo, l’Ambassadeur des États-Unis d’Amérique au Congo, Stéphanie Sullivan a indiqué que son pays milite pour la stabilité institutionnelle et constitutionnelle des pays africains. Ceci, pour ne pas décourager, a-t-elle précisé, les investisseurs étrangers.
« Ce qui est plus important c’est que les Congolais devraient se parlent entre eux pour consolider la démocratie, instaurer la paix dans le but de faire avancer positivement leur pays sur la voie du développement. Ce que je dois leur dire n’est pas plus important que cette orientation. En effet, en partenariat avec le Congo, les États-Unis d’Amérique multiplient les initiatives pour appuyer la sécurité régionale, le développement économique durable et le processus ... Lire la suite

Une intense discussion est en cours entre l’exécutif national et le Conseil de sécurité des Nations unies sur le renouvellement du mandat de la Monusco qui prend fin le 31 mars courant conformément à la résolution 2147.
Les relations entre le gouvernement congolais et l’Onu via sa mission en RDC restent toujours tendues. D’autres nouveaux faits sont venus exacerber la situation qui, à ce stade, est au bord de la rupture. Dans un document publié le 11 mars et remis au Conseil de sécurité, la Monusco a incriminé sept officiers de la police et des Fardc sur les 124 passés en revue. Les officiers en question ne rempliraient pas, d’après elle, les critères des Nations unies en matière des droits de l'Homme. Non seulement qu’eux-mêmes et les unités en leur charge ne recevront plus le soutien de la Monusco pour ce qui est du transport, du carburant ou de la ... Lire la suite