Art-Culture-Média
Derrière les deux concepts apparemment méconnus et étranges, se cache l’une des tendances déco les plus en vogue l’année dernière. En adhérant à ce style, on va à contre-courant des modèles artificiels et contemporains.
Le wabi-sabi est l’union de deux principes : wabi (simplicité, nostalgie, nature, irrégularité…) et sabi (l'altération par le temps, la déchéance des choses vieillissantes, l’amour pour les choses hors du commun, etc.).
Cette éthique est apparue à peu près au XIIe siècle. Elle prêche le retour à une simplicité paisible pouvant influencer positivement l'existence, où l'on peut reconnaître et ressentir la beauté des choses imparfaites. Pendant plus d’un quart de siècle, le wabi-sabi a influencé fortement le Japon dans la culture, la gastronomie, la décoration, le design et autres aspects sociaux. Le principe du wabi-sabi peut ... Lire la suite
Le document a été paraphé au siège des Dépêches de Brazzaville, par son directeur général- directeur de publication, Jean- Paul Pigasse, et le directeur général du Centre international des civilisations bantu (Ciciba), le Pr Antoine Manda Tchebwa.
Organisation internationale dont la République du Congo est membre co-fondateur, le Ciciba a aujourd'hui 36 ans d'existence et son siège social est à Lbreville, au Gabon. Il a pour missions, entre autres, la valorisation et la promotion de l’identité bantu. Il s’agit des Bantu d’Afrique et ceux qui sont allés ailleurs. En effet, du XIVe au XVe siècle et même au-delà, à la suite de la traite négrière, une partie de Bantu a été amenée dans les Amériques et un peu partout.
« En allant de l’autre côté, ils ont emporté une partie de nous-mêmes, l’âme africaine. Pour nous, ils restent Bantu comme nous, ... Lire la suite
Le Midem, rendez-vous de la communauté internationale de l’industrie de la musique, lance la deuxième édition de l’African Forum.
Après une tournée 2018 qui l’avait menée de Johannesburg à Brazzaville, en passant par Lagos et Abidjan, l’édition 2019 du Midem fera escale à Dakar, Douala et Lagos pour se clôturer à Cannes début juin. C’est Maleek Berry, phénomène de l’afrobeat, artiste, producteur et fondateur de son propre label Berry’s Room (Nigeria) qui en sera l’ambassadeur.
L’enjeu de cette édition africaine est de taille. Malgré son influence considérable sur les genres musicaux, l’Afrique pèse moins de 2% du marché musical mondial. Avec les technologies digitales, les artistes, labels, et industries musicales associées vont atteindre un nombre croissant de consommateurs sur tout le continent, tout en facilitant l’exportation d’artistes ... Lire la suite
La pièce, tirée de l’œuvre de Gilfery NGamboulou, sera présentée, le 20 avril, aux ateliers Sahm, par l’artiste comédien Boris Mikala, en partenariat avec l’atelier Bobatu.
Jouée pour la première fois en décembre dernier, à Brazzaville, à l'occasion du Festival Mantsina sur scène, " Mourir loin des amours" relate le récit du journaliste écrivain, Pierre Délignas, qui s’est échappé de la mort dans son pays et s’est retrouvé en exil en Occident, parce qu’il avait écrit un article dénonçant la corruption .
« S’étant mis en disgrâce avec les tenants du système dans son pays, Pierre Délignas opte pour le départ. Ecrivain de son état, il se retrouve perdu aux confins d’une agglomération dans un univers carcéral, tenaillé par le remord. Passé en jugement, il espère se justifier devant le président de la cour. Son plaidoyer révèle le ... Lire la suite
Œuvre cinématographique sortie en 2017, "Félicité" est un vibrant hommage que le réalisateur franco-sénégalais, Alain Gomis, a rendu à tous ceux qui se dissocient de la victimisation et des épreuves de la vie pour parvenir à rendre possible le bonheur auquel ils aspirent.
Le film suit pas à pas Félicité, personnage principal incarné par Véro Tshanda Beya, une femme fière et libre, qui chante tous les soirs dans un bar, en plein cœur de Kinshasa, en République démocratique du Congo. Pleine de vie et battante, c’est avec bravoure que Félicité s’occupe d’elle-même et de son fils Samo, un adolescent d’environ 14 ans.
Alors que tout semblait au calme, Félicité voit son monde s’écrouler lorsque son jeune garçon est victime d’un grave accident de moto. Conduit d’urgence à l’hôpital, les médecins révèlent à la jeune dame que son fils doit être ... Lire la suite
Artiste interprète et animatrice TV, Zina Hope s’apprête à plier bagages pour partir à la rencontre des artistes féminines du Congo Brazzaville. Itinéraire d’une jeune fille modèle en quête d’aventures.
Du haut de ses 23 ans, Zina Hope s’était fait remarquer, entre autres titres, par le succès de "Chez moi j’ai des bananes", sorte de photographie de la vie quotidienne des parcelles de Pointe-Noire, une chanson soufflant comme un vent de fraîcheur dans le paysage musical congolais pour cette jeune artiste interprète, prompte à briser les codes des musiques actuelles. Bénéficiant d’un contrat de partenariat avec TNT Africa Congo, en soutien de son développement d’artiste, Zina Hope s’est lancée l’année dernière dans le grand bain de la télévision, animant mensuellement l’émission de musique et divertissements « Villa Tchimbamba », entre ... Lire la suite
Au Palais des congrès
Election Miss émergence
Date : vendredi 12 avril
Heure : 18h 00
Ticket : 5 000/10 000 FCFA
A l’Institut français du Congo
Théâtre : La révérence, Mai 68, de Gaulle et moi…
Date : vendredi 12 avril
Heure : 10 h (scolaires et étudiants) / 19h
Entrée libre
L’heure du conte
Date : samedi 13 avril
Heure : 14h 00
Entrée libre
Rencontre de scrabble
Date : samedi 13 avril
Heure : 16h 00
Entrée libre
Samedi tout est permis à la médiathèque
Date : samedi 13 avril
Heure : à partir de 12h 00
Entrée libre
Les Bantous de la capitale en résidence
Date : dimanche 14 avril
Heure : 17h30
Ticket : 1 000 FCFA
Chez Sim Aerospace
Baptême de l’air
Date : samedi 13 avril
Heure : 15h-20h 00
Lieu : hall de l’aéroport Maya-Maya de Brazzaville
Ticket : 5000 FCFA
Dimanche 14 avril
Heure : 14h00-20h 00
Lieu : hall de ... Lire la suite
De retour du Burkina Faso où il a représenté le Congo au 50e anniversaire du Festival panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou (Fespaco), le cinéaste a reçu un hommage mérité dans la ville océane, au cours de deux soirées ponctuées par des projections de ses films sur l’initiative de l’Institut français du Congo (IFC).
La retrospective sur Sébastien Kamba a commencé le 9 avril à l’IFC et a pris fin le lendemain au Centre culturel Jean-Baptiste-Tati-Loutard à Mpita. Les projections de films ont été suivies d’échange avec le public. Un feed-back qui a édifié plus d'un cinéphile.
Près de dix films courts et longs métrages, documentaires ont été projetés pour le plus grand bonheur du public jeune et adulte présent.
Sébastien Kamba qui a représenté le Congo à Ouagadougou, a fait un triomphe au pays des hommes intègres. En ... Lire la suite

Quelques heures après l’annonce de la mort du fondateur de Bana OK, le 30 mars à 15h 40, le maître plasticien exprimait sa peine dans un message adressé à « toute la famille biologique et artistique », accompagné d’une photo souvenir. Ironie du sort, il tirera lui aussi sa révérence deux jours après, le 1er avril, en Autriche.
C’était par l’évocation d’un événement heureux que feu Me Liyolo Limbe commencait son message. Il y a d’abord eu cette photo qui le ramenait à un grand événement passé cinq ans plus tôt : le cinquantenaire de sa carrière professionnelle qui avait donné lieu à la « Semaine culturelle Liyolo » organisée à l’Académie des Beaux-arts en 2013. Postée sur Facebook, le cliché est accompagné de cette légende du sculpteur qui laisse deviner son émotion du moment : « Lorsque Simaro nous faisait danser .... ici à la ... Lire la suite
Le nombre 13 est depuis longtemps lié à la peur et à la malédiction. Il existe même un terme technique pour qualifier cette peur. C’est la triskaidékaphobie ! L’origine de cette phobie est religieuse.
Cette superstition vient du fait que Jésus et ses apôtres étaient treize à table, le soir de la Cène (le dernier repas du Christ présenté par Philippe Champaigne). Ce soir-là, Judas, le treizième convive à s’assoir à table, trahit Jésus qui fut arrêté par les Romains. Le lendemain, un vendredi (le « vendredi saint »), Jésus fut jugé et crucifié. Mais Les nombreuses incidences du nombre 13 dans divers domaines temporels, historiques ou mathématiques semblent expliquer le caractère mystérieux et les superstitions entourant ce nombre : Les calendriers mayas et aztèques, par exemple, comportaient vingt mois à treize jours : ces sociétés ont disparu des ... Lire la suite