Politique
Au cours d’une conférence de presse animée le 28 mars à Brazzaville, la Convention des partis républicains(Copar) que dirige Nicéphore Fylla de Saint-Eudes a appelé les candidats malheureux à l’élection présidentielle du 20 mars à recourir au juge du contentieux électoral.
Cet appel fait suite au mot d’ordre de ville morte lancé par les candidats: Jean Marie Michel Mokoko, Pascal Tsaty Mabiala, Claudine Munari, André Okombi Salissa et Guy Brice Parfait Kolelas. Le coordonnateur national de la Copar, Nicéphore Fylla de Saint-Eudes a rappelé que sa plateforme politique s’incline devant le verdict des urnes. Elle reconnait la défaite de son candidat, Michel Mboussi Ngouari.
Le coordonnateur national de la Copar a indiqué qu’avec les plateformes de l’opposition radicale IDC-Frocad, ils ont travaillé ensemble pour choisir leurs représentants au niveau de ... Lire la suite
Candidat malheureux à la présidentielle du 20 mars dernier, avec 13% des voix, le général Jean-Marie Michel Mokoko, qui conteste les résultats, a appelé à une ville morte le 29 mars. Suite à cet appel, le Rassemblement du Oui, réuni le 25 mars, a décrié et condamné cette attitude va- t-en guerre, tout en invitant le plaignant à utiliser les voies de recours légales, prévues par la loi.
Le Rassemblement du Oui, qui regroupe trois dynamiques de la majorité présidentielle : Pona Ekolo ; M2NR ; DSSP et l’Œil neuf, pense que la désobéissance civile dont fait recours le candidat malheureux, Jean-Marie Michel Mokoko, est un acte anti-démocratique, répressif, strictement condamné par la nouvelle Constitution et par le code pénal.
« L’article 13 de la Constitution du 6 novembre dispose que toute propagande ou toute incitation à la haine ethnique, à la violence ... Lire la suite
Election présidentielle : « Les résultats provisoires proclamés sont sincères », déclare Henri Bouka
Le président de la Commission nationale électorale indépendante (CNEI), Henri Bouka a, au cours d’une conférence de presse animée le 28 mars à Brazzaville, rejeté toutes les allégations portées sur son institution selon lesquelles, elle aurait fait preuve de partialité dans la proclamation des résultats de l’élection présidentielle du 20 mars dernier.
Répondant à certaines critiques formulées contre son institution, aussi bien au plan national qu’international, ce dernier a déclaré : « Devant le peuple du Congo qui nous écoute on peut dire sans détour que la commission, contrairement à ce qui se dit est impartiale. Elle a travaillé en toute impartialité avec abnégation et esprit de responsabilité. Elle ne s’est pas dérobée de ses responsabilités ».
Dans ses explications, le président de la CNEI a reprécisé le contexte du ... Lire la suite
Au cours d'une réunion de travail avec les représentants des partis et associations politiques affiliés au Pôle de Consensus de Sibiti, le président dudit pôle, Pierre Ngolo, a appelé, le 28 mars à Brazzaville, le peuple Congolais à la vigilance.
Cette déclaration fait suite à la campagne de désinformation menée par les parties de l’opposition sur les médias et réseaux sociaux.
Celui-ci a par ailleurs condamné :« les appels aux attroupements belliqueux, à l’insurrection et à la vulgarisation des contres vérités dans les médias ».
Il a félicité les candidats de l’opposition et les autres acteurs politiques qui ont reconnu la victoire du président Denis Sassou N’Geusso, réélu à l'issue de la présidentielle du 20 mars dernier. Par la même occasion, Pierre Ngolo a encouragé certains acteurs de l’opposition ayant privilégié l’option de ... Lire la suite

Alors que l'opposition parle d'un « non-évènement » et d'un « vote acheté », la majorité revendique quatorze des vingt nouvelles provinces ayant organisé les élections des gouverneurs le 26 mars.
Comme promis, le 26 mars a été marqué par l’organisation des élections dans les différentes assemblées provinciales de nouvelles provinces issues du démembrement. Les députés provinciaux avaient la charge d’élire, conformément à la Constitution, les candidats gouverneurs et vice-gouverneurs dans les vingt et une nouvelles provinces. Ce qui a été fait. Il en ressort de l’évaluation faite par la Céni, quelques heures après la publication des résultats provisoires, que les scrutins se sont déroulés sans anicroches dans les vingt nouvelles provinces concernées, à l'exception du Sud-Ubangi. L’annulation de l’élection du bureau définitif de ... Lire la suite
Annoncée pour le 29 mars, par les candidats malheureux de l’opposition radicale, cette journée de désobéissance civile générale, prévue en contestation des résultats de la présidentielle du 20 mars dernier, est mal appréciée par certains acteurs politiques. Pour Anguios Nganguia Engambé, lui aussi candidat malheureux à cette élection, les Congolais doivent vaquer librement à leurs occupations habituelles ce mardi.
Le candidat du Parti pour l’Action et la République Mâ (PAR), Anguios Nganguia Engambé, s’est exprimé sur ce sujet qui continue d’alimenter les débats, le 28 mars, au cours d’une conférence de presse. Donnant ainsi son point de vue sur cette question, le candidat du PAR a été clair, en s’opposant catégoriquement à la démarche entreprise par les cinq candidats malheureux de l’opposition radicale, visant à mettre les Congolais dans la ... Lire la suite
Dans un message adressé au président de la République, Denis Sassou N’Guesso, le président de l’Association congolaise d’amitié entre les peuples (ACAP), Vital Balla, a salué la réélection du président sortant.
« L’ACAP, messager de paix des Nations unies salue dans la joie l’élection du président Denis Sassou N’Guesso, apôtre de la paix à l’issue du scrutin présidentiel du 20 mars 2016. Le peuple congolais vous a, de nouveau, renouvelé sa confiance pour un Congo uni, fort, pacifique et prospère», peut-on lire.
Selon cette ONG, en reconduisant Denis Sassou N’Guesso à la tête du pays, la majorité de la population congolaise a vu ce qu’elle a commencé ensemble avec le président sortant. Il s’agit notamment du programme de développement du Congo dans la paix et la concorde nationale. Elle a, par ailleurs, appelé le peuple Congolais à unir ... Lire la suite
Après s’être réjoui de cette « brillante victoire », le Mouvement congolais pour la démocratie et le développement intégral (MCDDI) entend soutenir le président élu durant son quinquennat.
« Après une campagne électorale apaisée, le peuple congolais a voté dans le calme et élu largement, le candidat du MCDDI et ses alliés, Denis Sassou N’Guesso, premier président de la nouvelle République à un peu plus de 60% parmi les neuf candidats déclarés », a noté avec satisfaction le bureau politique national, le 28 mars à Brazzaville.
Pour cette instance du parti, l’élection de Denis Sassou N’Guesso à la magistrature suprême est la victoire du peuple congolais. Ainsi, ce parti de la majorité présidentielle entend accompagner le président du Congo dans l’exercice de cette haute fonction que vient de lui confier à nouveau le peuple. « Le MCDDI ... Lire la suite
Le fait même pour cinq candidats qui auraient pu propulser un des leurs pour les représenter, et d’aller à un scrutin présidentiel en signant « une charte de l’opposition pour la victoire » recèle trop d’arrière-pensées.
Refuser tout dialogue : telle est la voie choisie par cinq des neuf candidats à l’élection présidentielle du 20 mars, dont les résultats proclamés par le ministre de l’Intérieur et de la Décentralisation donnent vainqueur le président sortant, Denis Sassou N’Guesso, avec 60,39%. En attendant leur validation par la Cour constitutionnelle, juge du contentieux électoral, les cinq candidats malheureux, tous membres de l’IDC-FROCAD rejettent en bloc ces résultats et appellent à la désobéissance civile.
Si l’on voit bien, l’opposition radicale poursuit la ligne qu’elle s’était tracée depuis l’enclenchement du processus ... Lire la suite
Dans un communiqué de presse datant du 26 mars, le Parti congolais du travail (PCT) dit avoir accueilli avec stupéfaction la déclaration du Parti socialiste français à la suite de l’élection présidentielle du 20 mars sanctionnée par la victoire de Denis Sassou N’Guesso.
Le PCT relève que « si le Parti socialiste français était préoccupé par le déroulement de l’élection présidentielle au Congo, il aurait dû envoyer ses observateurs sur le terrain pour prendre la vraie mesure des dispositions arrêtées en vue de l’organisation d’un scrutin objectif et transparent au lieu de privilégier les sources d’information non crédibles de l’opposition radicale déterminée à créer absolument une situation de crise au Congo ».
Le PCT porte à la connaissance du monde, notamment du Parti socialiste français, que le Congo n’est pas un pays en crise et que ... Lire la suite