Art-Culture-Média
A travers ses chansons et son répertoire, Bordas Nkounkou, dit Tikulu, moralise la société depuis près de dix ans avec son genre afro tikulu. A chaque prestation, l'artiste qui excelle en rnb suscite le respect et l'admiration du public.
C'est en 2008 que Tinkulu fait ses premières prestations devant le public lors de la compétition ZikStar où il était candidat. Il s'en souvient toujours. « L'accueil enthousiaste du public séduit par ma voix, applaudissant à tout rompre, m’a donné envie de recommencer. C’est ce qui a déclenché en moi une sorte de passion pour ce métier" , se souvient-il . "Pour moi, cela a été la base de ma vie artistique. Deux ans après, j’ai eu la chance de partir pour le Ghana pour mes études. Et dans ce pays, j'ai découvert pour la première fois un studio d’enregistrement. Dès que j’avais posé mon premier son, ... Lire la suite
Le programme Up Courts métrages a annoncé le démarrage de sa cinquième session à travers laquelle la plateforme proposera une formation dédiée aux métiers de l’écriture de scénario, réalisation et production cinématographique et audiovisuelle créative. Le dernier délai de candidatures est fixé au 16 avril.
Initié il y a cinq ans par Cinekap, le label « Up courts métrages » vise à soutenir et promouvoir la création cinématographique et les talents panafricains. A ce jour, plusieurs initiatives issues de ces formations ont pu voir le jour, à savoir "La danse des béquilles" de Yoro Lidel Niang, "Patient 115" de Jules François Preira, "Anonymes" de Fama Réyane Sow, "Taajabone" de Fatoumata Bathily, etc.
S’agissant des conditions de participation, le communiqué aux candidats stipule que pour être éligible à la formation en « Production ... Lire la suite

Présenté par le Pr Henri Kalama, directeur général de l’Académie des beaux-Arts (ABA) de Kinshasa, et son homologue de la VUB, Hans De Wolf, le projet sera réalisé dans le cadre d’un master destiné aux étudiants de l’ABA-Kinshasa et de l’Académie Royale des Beaux-Arts de Bruxelles coachés par les historiens Joseph Ibongo, Amandine Lauro, Benoît Henriet et Kambayi Bwatshia.
En présence du ministre-président de la Région Bruxelles-Capitale, Rudi Vervoort, de la commissaire générale chargé de la Culture et Arts, Médias, Communication et du Numérique, Yvette Tabu Inangoy, et de l’ambassadeur Johan Indekeu, les Prs Henri Kalama et Hans De Wolf ont tenu le projet « Histoires de miroirs » pour un nouveau cadre didactique important. Pensé conjointement, il devrait permettre « un transfert de connaissances » quitte à fournir aux étudiants kinois et ... Lire la suite
Dans le cadre de la tenue du Sommet Russie-Afrique cette année, il est prévu un volet culturel qui inclue la première session de formation du projet « Ecole d’Innopraktika et des saisons russes », un programme de formation ouvert aux peintres et sculpteurs africains en vue de renforcer leurs compétences artistiques. L’appel à candidatures au concours prendra fin le 28 mars.
« Ecole d’Innopraktika et des saisons russes » s’adresse uniquement aux peintres et sculpteurs en céramique des pays africains, dont le Congo. En peinture, il sera question d’enseigner aux participants les règles et techniques en la matière. Le processus de formation comprendra des masters class en composition et une série de cours sur la technique de l’esquisse artistique rapide.
En sculpture, les artistes apprendront la technique du dessin, avec un accent particulier sur la capacité à ... Lire la suite
Le rendez-vous exceptionnel se tiendra en live à partir de 19 h, à l'Institut français du Congo. Thérèsa Honoré Diakanua N’Silu à l'état civil, alias Mwassi Moyindo, est une slameuse, poétesse, actrice, modèle photo et comédienne.
Le public savourera la qualité exceptionnelle des textes et son des dernières sorties musicales de Mwassi Moyindo : « Zala yo » ; « “Ngiena » ; « Luzolo » en hommage à Franklin Boukaka, la mélodie, les paroles, l'ensemble s'assemble à la perfection si mielleuse à l'écoute. Elle est une artiste pluridisciplinaire, originaire des deux Congo. Née à Brazzaville, c’est en 2011 qu’elle assiste à une compétition de slam interscolaire.
En 2012, elle se lance aux côtés du collectif Style Oblique pour assouvir sa passion. Mwassi Moyindo enrichit son stock de textes qu'elle expose sur les scènes où elle passe, entre ... Lire la suite
En hommage à Bob Marley, l’Institut français du Congo (IFC) organisera, le 22 avril, une compétition Tremplin reggae, dans le cadre de la quatrième édition du Festival Mboté Bob qui se tiendra le 11mai prochain.
Pour l'occasion, un appel à candidatures a été lancé afin de permettre aux artistes de prendre part à ce concours. Artistes et groupes de reggae sont invités à participer à ce grand rendez-vous culturel pour commémorer la disparition de Bob Marley. Les artistes intéressés peuvent déposer leurs candidatures au bureau de la communication de l’IFC de Brazzaville. Ce concours aura pour jury international Ras Kaya (artiste), Conquering lions (groupe de reggae), Renaud Nziengui (Radio Mucodec), Alain Bassek (IFC).
Les tremplins donnent la possibilité aux artistes sélectionnés d’acquérir des compétences à travers des formations dans ce secteur ... Lire la suite
« Nimi A Lukemi, roi du royaume Kôngo », livre de 224 pages édité chez Paari, retrace la vie d’un roi forgeron, personnage qui a marqué son temps car considéré par son peuple comme un mythe et une légende. La forme romancée du livre pousse le lecteur à se questionner, à se repositionner par rapport à l'histoire du royaume Kongo, et même de l'Afrique très souvent édulcorée. Zoom sur cet ouvrage qui donne la possibilité au Congolais de se réconcilier avec son passé, son histoire. Entretien avec l'auteur Bruce Mateso.
Les Dépêches du Bassin du Congo (LDBC) : Votre actualité en ce moment porte sur votre ouvrage "Nimi a Lukeni", roi forgeron du royaume Kongo. Pouvez-vous nous parler de ce mystérieux personnage considéré comme un mythe et une légende ?
Bruce Mateso (B.M) : Nimi a Lukeni (parfois appelé Lukeni lua Nimi ou Nimi a Lukeni lua Nzinga) est le ... Lire la suite
Le concours de beauté dénommé « Miss africaine culture top model » sera organisé sous peu à Brazzaville, en vue de permettre aux jeunes africaines, en général, et congolaises, en particulier, de faire découvrir au monde la richesse de leur patrimoine culturel.
Pendant la messe de la beauté, les entrepreneurs congolais auront la possibilité d’interagir avec leurs collègues en provenance de l’étranger. Ils auront l’opportunité non seulement d’enrichir leurs carnets d’adresses mais aussi de trouver de nouveaux investisseurs et partenaires.
Au sujet des critères de présélection, les différentes candidates devraient être âgées de 20 à 28 ans, mesurer au moins 1,65m et avoir une bonne culture générale.
Lancée en 2021, la première édition de « Miss africaine culture top model » a eu pour gagnante, à la finale de Brazzaville, Grace Zebendou. A ... Lire la suite
Des officiers militaires nigérians en formation à l’Ecole de guerre du Cameroun, en séjour d’études à Brazzaville, ont visité le week-end dernier quelques sites touristiques de la place. Au terme de la ronde, ils ont dit avoir été impressionnés par la qualité des infrastructures touristiques.
Quarante officiers militaires nigérians dont quatre femmes ont participé à l’excursion spéciale organisée par l’Office de promotion de l’industrie touristique, dans le cadre de l’initiative « Tour de ville ». Ils ont amorcé la ronde par le rond-point de la Coupole où ils ont contemplé de passage quelques espaces et édifices publics emblématiques, en premier le nouveau palais du Parlement. En route pour Madibou, le guide touristique Brice Djamboult a montré aux militaires nigérians l’espace Bernard-Kolélas, leur faisant savoir que cet endroit fut le ... Lire la suite
Elle a le verbe franc, le ton juste et le succès à ses trousses. L’auteure franco-sénégalaise a encore frappé dans le mille avec son récent livre « Marianne face aux faussaires », un roman utile pour combattre les inégalités d’autant plus pernicieuses qu’elles s’inscrivent dans le cours normal des choses.
Que ce soit dans ses romans ou dans ses prises de paroles publiques, Fatou s’exprime sans filtre. L’écrivaine dit ce qu’elle pense et écrit comme elle parle. Sa poigne, sa perspicacité, son courage et sa sensibilité face aux problèmes qui minent l’humanité ont fait d’elle une des personnalités les plus inspirantes de la jeunesse africaine.
La vie de Fatou Diome commence en 1968 à Niodior, au sud-ouest du Sénégal. Elle est élevée par sa grand-mère qu’elle considère comme sa première héroïne. Passionnée par la littérature francophone ... Lire la suite