Art-Culture-Média
Dès les premiers épisodes de la nouvelle saison, les téléspectateurs de la série se sont posé la question de savoir où elle est. Halima Gadji, l’actrice maroco-sénégalaise, incarne le rôle de Marieme Dial.
Une publication récente faite sur les réseaux sociaux par l’actrice sous-entend qu’elle n’apparaît pas dans la nouvelle saison de la série en raison d’un désaccord financier entre elle et la maison de production de ladite série. « Si je ne vis pas de mon art autant arrêter. Être une ‘‘star’’ et avoir des problèmes à payer mon loyer ou mes factures, ça sert à quoi ? » s’interrogeait-elle sur le réseau social Facebook.
« À la base, je suis une artiste, j’ai choisi de faire ce métier par amour, par passion… mais aussi pour gagner ma vie », a-t-elle poursuivi. Ainsi, à en croire les propos d’Halima, jouer dans le feuilleton ... Lire la suite
Il est intitulé « Bob Marley et la fille du dictateur » et vient de paraître aux éditions Grasset. Il est l’œuvre d’Anne-Sophie Jahn, une journaliste française.
Leur première rencontre a eu lieu en 1979 à Los Angeles (États-Unis) dans les coulisses d'un concert. Pascaline a 23 ans et Bob 34 ans. La fille du président va à la rencontre du chanteur en se glissant dans sa loge, après un de ses concerts aux États-Unis. Ce jour-là, une multitude de fans et d’admiratrices entoure Bob Marley. Ils tentent désespérément d’attirer son attention, sous le regard attentif de sa femme et choriste, Rita Marley, mais pascale tire son épingle du jeu, Élancée et imposante, elle regarde un instant la superstar droite dans les yeux, avant d’être stupéfiée et d’éclater d’un grand rire.
Premier échange abrupt
« Tu es vilaine », c’est la première phrase ... Lire la suite
Le vernissage de l’exposition-photo multi-artistes a ouvert le bal des activités des rencontres internationales de la photographie d’auteur de Brazzaville, Kokutan’Art qui se tient du 20 au 24 avril, sur le thème: « L’Afrique en face ».
Les écritures photographiques qui sont réunies à Brazzaville dans le cadre de la première édition du festival Kokutan’Art sont le fruit du travail de onze artistes, à savoir : Mirna Kitombo, Pierre-Man’s, Armel Mboumba, Francis Kodia, Robert Nzaou et Arnaud Makalou du Congo-Brazzaville ; Godelive Kasangati de la République démocratique du Congo ; Bunny Claude Massassa du Gabon ; Nathalie Guironnet de la France ; Moussa John Kalapo du Mali et Jacques Do Kokou du Togo.
« C’est une fierté et une grande joie d’être enfin arrivé au jour fatidique de la tenue de Kokutan’Art qui va regrouper durant cinq ... Lire la suite
Romancière et essayiste francophone, Cécilia Dutter est auteure d’une vingtaine d’ouvrages. Elle nous révèle son parcours de femme de lettres.
Les Dépêches du Bassin du Congo (LDBC) : Cécilia Dutter, en dehors du fait d’être écrivaine, qu’est-ce que vous faites d’autres dans la vie ?
Cécilia Dutter (C.D) : Je suis également présidente de l’Association des Amis d’Etty Hillesum, reconnue d’utilité publique, qui compte plus de cinq cents adhérents. Ancienne collaboratrice du Magazine des Livres et de La Revue Littéraire, j’ai tenu durant deux ans une chronique dans l’hebdomadaire La Vie. Je donne à présent des critiques littéraires pour le mensuel Service littéraire et pour le site Le Salon Littéraire.
L.D.B.C. : Comment est née cette passion de l’écriture chez vous ?
C.D. : J’ai toujours adoré lire. Toute petite, j’étais déjà ... Lire la suite
Edité par St Honoré à Paris, ce roman biographique de 222 pages se présente comme un vibrant hommage à Alphonse Yanghat, un des pionniers de l’athlétisme et du football congolais.
« Le plus important dans la vie, c’est l’héritage qu’on laisse pour la postérité ». Pour ne pas perdre la mémoire d’Alphonse Yanghat, ce grand athlète et footballeur qui a marqué son pays la République du Congo, Espérance Victoire Yanghat dont le nom de plume est Evy Yang raconte la vie de celui qui fut son père (mort le 18 avril 2018), une partie de la vie que le grand public ignore.
Alphonse Yanghat est né un dimanche 4 mai 1947 à Bétou au village Mokakémbé. De parents paysans qu’il a quittés à l’âge de 7 ans pour suivre une meilleure scolarité ailleurs. C’est à cet âge même qu’il perdit son père. Ainsi l’orphelin qu’il était, coupé très tôt ... Lire la suite

Composé de Béniciel Labakh Omega, Sarepta Fete Kama et Sarah Galekwa, le trio féminin vainqueur nommé « La persévérance » a décroché la première place du podium à la fin d’une journée intense d’épreuve organisée le 16 avril, de 9h à 18h, par le Campus numérique francophone de Kinshasa (CNF).
Les gagnantes ont, en plus de leurs trophées, empoché un chèque de 1 500$ américains. Plutôt rodées à la faveur de leur première participation après avoir raté le podium à l’édition précédente, quatrième en 2019, les trois étudiantes de l’Institut supérieur pédagogique de la Gombe (ISP/Gombe) s’étaient jurées d’améliorer leur score et elles ont relevé le défi. « La fois passée, étant quatrièmes, nous étions sélectionnées parmi les cinq équipes devant participer à l’édition programmée pour Brazzaville. Elle n’a pas eu lieu à ... Lire la suite
Paru aux éditions L’Harmattan Congo-Brazzaville, « Le Savoir, secteur zéro de l’économie » a été dédicacé le 17 avril au cours d’une conférence-débat organisée au Palais des congrès de Brazzaville.
« Le Savoir, secteur zéro de l’économie » comporte 197 pages, quatre parties, cinq chapitres. Contenant deux chapitres (les théories des savoirs dans la littérature économique ; savoirs et niveau de développement), la première partie porte sur le lien entre savoirs et développement économique. Dans cette première partie, Serges Ikiemi évoque des économistes qui ont eu une vision économique avant lui.
La deuxième partie porte sur les chaînons à forger pour accélérer le développement économique. Elle comporte un chapitre intitulé : Comment améliorer les savoirs en matière de gouvernance ? En effet, cette deuxième partie parle de la ... Lire la suite

Mercredi 21 avril, jour de son anniversaire, le chanteur congolais de renommée internationale invite les mélomanes à se rendre sur sa chaîne YouTube lokuakanzaofficiel afin d’y découvrir le morceau intitulé "Y a des jours comme ça."
"Y a des jours comme ça" est le titre du nouveau single de Lokua Kanza et non pas "Tout va bien," comme l’annonce "Est fait" depuis quelques jours dans plusieurs médias locaux. Henry-Noël Mbuta Vokia, l’attaché de presse de l’artiste en RDC, l’a dit et reconfirmé au Courrier de Kinshasa le 17 avril, à quelques petits jours de sa sortie prévue pour le 21 avril. Par ailleurs, l’on tient de Sahutiafrica.net, annonçant fin novembre 2020, le tournage du clip du morceau à venir, que ledit titre est la phrase introductive du single attendu. « “Il y a des jours comme ça. Tu ne sais pas pourquoi, mais tout va bien “, peut-on ... Lire la suite
La pièce de théâtre a été présentée au public le 17 avril à Brazzaville, lors d’une cérémonie de dédicace. Elle relate l’histoire d’un jeune africain qui, après ses études en Europe, a ramené au pays une femme blanche à qui les parents ont refusé la légitimité.
Le ‘’Poids du passé’’ est une pièce de théâtre. Dans cette œuvre littéraire de 128 pages, préfacée par le professeur Omer Massoumou, l’auteur, Jean-Romuald Mambou, présente l'aventure d’un mariage mixte entre Médard, un jeune africain, et une blanche nommée Mireille, sans le consentement de ses parents au village.
L’auteur relate que Médard avait bénéficié d’une bourse d’études en France où il s’était marié. Après avoir achevé ses études, il décide de rentrer au pays avec son épouse pour la présenter à ses parents.
Arrivés au village, son père appelé ... Lire la suite
Fruit de la campagne « Tosala », initiée par l’Institut français du Congo (Ifc) au mois de mars en vue de dénoncer les violences faites aux femmes et encourager le leadership féminin, le court-métrage documentaire de 12 min, accompagné du concert live de 27 min, met en scène la slameuse congolaise Mariusca Moukengue.
Le documentaire et le concert live « Des maux aux mots » sont une coréalisation d’Ori Huchi Kozia Kayser, Flore Onissah et Big Kloz, produite par l’Ifc. A travers ces œuvres, on découvre une Mariusca Moukengue plus affranchie et mature, par rapport à ses débuts en tant qu’artiste. Effectivement, elle a fait du chemin et partage à cœur ouvert la façon dont le slam l’a aidée à se relever après des violences subies physiquement.
« Je voulais écrire, mais tout était noir. Je voulais juste slamer, mais tout était noir. Je voulais salir ... Lire la suite