Société
Causée par les pluies diluviennes qui sont tombées sur Pointe-Noire, il y a quelque temps, la fissure de la voie, précisément au niveau du rond-point Faubourg-station X-Oil (arrondisement 5, Mongo Mpoukou), inquiète déjà par son évolution.
La cassure de la Route nationale n°5 (RN5) date d’au moins deux mois et prend de l’ampleur au vu et au su de tous. Un usager de la route a expliqué: «Les pluies ont emporté une partie de la terre à ce niveau, laissant un trou entre la voie et la bordure du rond-point. La chaussée ainsi exposée a commencé à céder petit à petit et maintenant, le trou est en train d'évoluer. Heureusement qu’il n y a pas eu de grande pluie ces derniers temps, sinon cela serait pire aujourd'hui ».
Bien qu’il y ait absence de pluies, le trou évolue du fait que les usagers de la route (surtout les gros vehicules) se disputant ... Lire la suite
L’atelier de revue de décès maternels, néonatals et infanto-juvéniles du premier trimestre à l’hôpital général Adolphe-Sicé de Pointe-Noire s'est achevé, le 20 avril, sur une série de recommandations visant l’amélioration de l’accessibilité, de la qualité des soins et des services au cours de la grossesse, de l’accouchement et dans le post-partum en vue de réduire les taux de mortalité.
Pendant deux jours, les médecins chefs de service, le personnel évoluant dans les services de gynéco-obstétrique et de pédiatrie ainsi que les autres acteurs concernés par l’activité ont échangé sur la revue, le processus d’auto-évaluation interne et de remise en cause permanente. L'atelier a eu pour but, entre autres, de favoriser l’évaluation continue de la qualité des soins au regard des standards ou protocole de référence de prise en charge, de ... Lire la suite
Le phénomène s’observe de plus en plus dans le département en général et dans le district de Madingou en particulier, où la partie qui recouvre la surface arrière du téléphone, sert à manger. Une pratique qui peut s’avérer dangereuse pour la santé, d'après certaines personnes.
Selon des témoignages recueillis dans la commune urbaine de Bouansa, c’est depuis l’année dernière que le phénomène est constaté surtout dans les veillées mortuaires. «Quand il y a des veillées, les familles reçoivent beaucoup de gens. Devant l’insuffisance des couverts, ceux-ci ont souvent recours à d’autres moyens pour manger. Avant, on utilisait les feuilles de manguier ou de manioc, une pratique qu’on appelle ici le kisundi», a expliqué un jeune de la localité.
Mais à la place du kisundi, une pratique qu’on qualifierait de «bio», les gens ont trouvé, ... Lire la suite

La réhabilitation des signaux lumineux à travers Kinshasa semble avoir sonné le glas du dispositif de régulation actuelle, trouvaille d’une femme congolaise, qui a prouvé son utilité dans certains endroits de la ville.
Le président de la Commission nationale de prévention routière (CNPR), Jean-Remy Yanga, a envisagé, dans une interview accordée le 22 avril à Radiookapi.net, la possibilité de déplacer les robots-roulages des carrefours de Kinshasa. Indiquant que les références de la CNPR étaient le code de la route, Jean-Remy Yanga n’écarte pas la possibilité d’affecter ces robots-roulages à d’autres usages, au cas où ces dispositifs gêneraient la circulation. « Notre bible, c’est le code de la route. Et dans le code de la route, le robot n’était pas prévu », a-t-il expliqué.
Le président de la CNPR fait, par ailleurs, constater que ces ... Lire la suite
L’évaluation faite récemment à Pointe-Noire a permis aux directeurs municipaux, aux chefs de quartier et aux acteurs du projet d’avoir des informations sur les changements à apporter.
L'activité avait pour objectif de dresser la situation de référence du périmètre d’intervention et des groupes cibles du Projet de développement urbain et de restructuration des quartiers précaires (Durquap), de manière à pouvoir mesurer et apprécier les réalisations et les changements générés par ce projet.
Au cours de celle-ci, quelques résultats saillants de l’évaluation de base ont été relevés, par exemple, 40,6 % des habitants des quartiers ciblés n’ont pas accès à une voie praticable dans un rayon de 500 m; 56 % des ménages disposent d’un branchement/abonnement de La Congolaise des eaux, cependant 30% de ceux-ci ne sont pas fonctionnels. Aussi, ... Lire la suite
Les travailleurs de la Société de transports publics (STPU) ont manifesté, le 23 avril à Brazzaville, dans l’enceinte du ministère de l’Economie, de l’industrie et du portefeuille public, pour réclamer vingt et un mois de salaires impayés.
« Après deux mois de négociations, il n’y a pas de suite favorable. Nous sommes obligés de faire des sit-in », a expliqué un des travailleurs de la STPU. Le concert de casseroles, rythmé de ‘’vuvuzela’’, a été donc le moyen par lequel ces travailleurs ont exprimé leur ras-le-bol, sans jet de pierre ou autre acte d’incivisme sur les biens publics. Ils ont choisi le ministère de l’Economie, de l’industrie et du portefeuille public parce que c’est la tutelle, selon leurs dires. La manifestation n’a eu pour réponse que l’écho du vacarme produit par ce concert de casseroles.
Depuis 2017, la STPU a ... Lire la suite

Le don est destiné particulièrement aux établissements scolaires de la ville de Kikwit qui ont inscrit des enfants des déplacés du Kasaï. La campagne de distribution a été lancée récemment par le maire de cette ville, Léonard Mutangu Katonga.
Au total, mille huit cent bancs seront distribués aux soixante-treize écoles primaires de quatre sous-divisions de la ville de Kikwit.
« D’après des dispositions prises par le donateur, les écoles qui ont reçu plus de cent élèves vont recevoir, chacune, cinquante bancs », a expliqué Jean Robert Kalandula Kitambwe, chef de la sous-division de Kikwit 1, point focal des urgences d'Unicef dans la province éducationnelle de Kwilu 2 et 3. Le maire de la ville, qui a salué cette dotation, a invité les autres partenaires à emboîter le pas à cette agence de l’ONU pour aider les enfants déplacés à vivre dans des ... Lire la suite
Le phénomène environnemental modifie la configuration de la circulation routière par des « demi-terrains » et des détours quasi impraticables, dans les quartiers nord de la capitale notamment. Ainsi, les automobilistes s’arrêtent à mi-parcours, obligeant les passagers à poursuivre le trajet à pied pour rallier l’autre bout et trouver un autre moyen de transport.
L’érosion de Ngamakosso est la plus importante de Brazzaville et sa périphérie, en dehors des cent huit têtes d’érosions révélées récemment par une étude américaine dans la zone. Elle ronge les habitations et les routes au point de reconfigurer le circuit de transport en commun inter-quartiers, notamment dans la zone nord de la capitale.
Un lourd béton érigé dans les entrailles de l’érosion, une présence d’engins et parfois des travailleurs pour l’endiguer n’empêchent pas de ... Lire la suite

La situation épidémiologique du 22 avril indique que depuis le début de l’épidémie, le 1er août 2018, huit cent soixante-quatorze décès ont été notifiés, dont huit cent huit confirmés et soixante-six probables. Le tout sur un cumul de mille trois cent quarante cas enregistrés parmi lesquels mille deux cent soixante-quatorze confirmés et soixante-six probables.
Sur le cumul de mille trois cent quarante cas, trois cent quatre-vingt-sept ont été guéris et ont pu quitter le centre de traitement Ebola pour être réinsérés dans la société.
Pour ce qui est de la vaccination, le cap de cent mille personnes vaccinées a été atteint. A la date du 22 avril, le ministère de la Santé note que depuis le début de l'opération, le 8 août 2018, cent quatre mille cinq cent quarante-quatre personnes ont été vaccinées, dont plus de vingt-huit mille à Katwa, plus de ... Lire la suite

Le calendrier 2018-2019 prévoit, pour ce temps qui reste avant la fin de l’année scolaire, cent quatre-vingt-onze jours ouvrables d’études pour les élèves de la maternelle et deux cent vingt jours pour ceux du primaire, secondaire et professionnel.
Après deux semaines de vacances de Pâques, les élèves ont renoué avec le chemin de l’école, le 22 avril, à travers toute la République, comme fixé par le calendrier scolaire 2018-209. Il s’agit du dernier trimestre qui vient de débuter et qui les conduira jusqu’aux examens de fin d’année. « Nos activités pédagogiques ont déjà repris. Nous demandons aux parents qui continuent de garder leurs enfants à la maison de les envoyer à l’école afin qu’ils soient sur le même point d’égalité que les autres », a déclaré un enseignant du complexe scolaire la Borne, à Kinshasa.
Pendant cette ... Lire la suite