Art-Culture-Média
Comme prévu, le ballon rond est actuellement au centre des intérêts de bon nombre d’entre nous. Depuis deux jours, une mobilisation très forte s’organise en faveur des différentes sélections en compétition à cette Coupe du Monde qu’accueille le Brésil. Aussi éparpillé qu’il soit à travers la planète, le public sera tenu en haleine un mois durant. Sa passion pour cette merveilleuse compétition fédérera toutes les émotions et les enthousiasmes.
Du plus petit au plus grand, tous vibreront aux rythmes des joies et des déceptions de chaque équipe. Ainsi donc cet engouement montrera à nouveau combien de tous les sports le football sait mobiliser autant de ferveur, faisant oublier à chacun son train-train quotidien.
Pourquoi ne pas finalement montrer ce même engouement pour les rencontres culturelles mises en place çà et là à travers le pays, pour ne parler ... Lire la suite
Bernard Pivot, journaliste littéraire français de renom, a laissé à la postérité un célèbre questionnaire auquel il avait coutume de soumettre les invités de son émission Bouillon de culture. Nous l'avons à peine retouché et les poètes invités au trente-deuxième Marché de la poésie ont accepté de se plier à l'exercice. Les réponses d'Alima Madina, poètesse du Congo…
Votre mot préféré ?
Une expression coranique qui signifie « Gloire à Dieu le très haut ».
Le mot que vous détestez ?
Séparation.
Le son, le bruit que vous aimez ?
Le vent particulier qui souffle au bord du fleuve Congo
Le son, le bruit que vous détestez ?
La cacophonie musicale.
Votre juron, gros mot ou blasphème favori ?
Quelle question ! Un blasphème préféré ! Je n'en ai pas !
La plante, l'arbre ou l'animal dans lequel vous aimeriez être réincarné ?
Je suis musulmane, je ne ... Lire la suite
Bernard Pivot, journaliste littéraire français de renom, a laissé à la postérité un célèbre questionnaire auquel il avait coutume de soumettre les invités de son émission Bouillon de culture. Nous l'avons à peine retouché et les poètes invités au trente-deuxième Marché de la poésie ont accepté de se plier à l'exercice. Les réponses de Toussaint Kafarhire, poète du Congo-Kinshasa…
Votre mot préféré ?
Je ne répondrais pas comme une de mes étudiantes américaines que mon mot préféré de la langue française est parapluie. (Rires). Pour moi, ce serait paradis.
Le mot que vous détestez ?
Le mot haine.
Le son, le bruit que vous aimez ?
Celui de l'eau qui coule, comme le bruit d'un ruisseau, l'eau qui coule sur le toit ou sur les fenêtres. Mais aussi le bruit des chants d'oiseau au petit matin.
Le son, le bruit que vous détestez ?
La musique métal.
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Président de l’association Eseh Music and Project, cet artiste-né a mis en place un centre d’éducation musicale et d’encadrement des jeunes le 9 décembre 2009. Ce centre a pour objectif de procurer aux jeunes une éducation artistique. Situé rue Vindza 150 au Plateau des 15-Ans, ce centre accueille 70 enfants, filles et garçons, dont l’âge varie de 7 à 17 ans
Visionnaire, Fredy Mabandza voyait déjà la nécessité d’encadrer les jeunes à l’éducation artistique. C’est comme s’il avait su par télépathie le projet de l’Organisation des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture (Unesco) de décréter la Semaine de l’éducation artistique. Cela n’a pas pris de temps, car il aura fallu seulement quelque six mois pour que les experts de l’Unesco se retrouvent à Séoul, en Corée du Sud, du 25 au 28 mai 2010, pour aborder cette question. ... Lire la suite
Bernard Pivot, journaliste littéraire français de renom, a laissé à la postérité un célèbre questionnaire auquel il avait coutume de soumettre les invités de son émission Bouillon de culture. Nous l'avons à peine retouché et les poètes invités au trente-deuxième Marché de la poésie ont accepté de se plier à l'exercice. Les réponses d'Omer Massem, poète du Congo…
Votre mot préféré ?
Aimer.
Le mot que vous détestez ?
Je ne déteste aucun mot.
Le son, le bruit que vous aimez ?
Le bruit d'un bon plat qui mijote sur le feu.
Le son, le bruit que vous détestez ?
Le bruit des fusils, des canons.
Votre juron, gros mot ou blasphème favori ?
Je n'ai pas l'habitude de jurer, je me l'interdis.
La plante, l'arbre ou l'animal dans lequel vous aimeriez être réincarné ?
Je ne pense pas à cela, je crois en la résurrection.
Si Dieu existe, qu'aimeriez-vous, ... Lire la suite
Bernard Pivot, journaliste littéraire français de renom, a laissé à la postérité un célèbre questionnaire auquel il avait coutume de soumettre les invités de son émission Bouillon de culture. Nous l'avons à peine retouché et les poètes invités au trente-deuxième Marché de la poésie ont accepté de se plier à l'exercice. Les réponses de Gabriel Mwènè Okoundji, poète du Congo…
Votre mot préféré ?
Atmosphère.
Le mot que vous détestez ?
Pitié : si j'en avais la possibilité, je l'excluerai des dictionnaires.
Le son, le bruit que vous aimez ?
Le vent qui éclot de la frondaison des arbres.
Le son, le bruit que vous détestez ?
Le vacarme des salons du livre.
Votre juron, gros mot ou blasphème favori ?
Merde.
La plante, l'arbre ou l'animal dans lequel vous aimeriez être réincarné ?
Le nénuphar. Il a la possibilité de planter ses racines au fond de ... Lire la suite
Gypsie la Tigresse, ancienne sociétaire du groupe SOS Salsa, mettra sur le marché du disque à partir du 21 juin un maxi single de deux titres, marquant le début de sa carrière solo, avant la sortie de Mon péché sucré
« Après avoir répété que l’album était déjà en boîte, lancé des appels pour trouver des producteurs et un manager pour m’aider à le sortir, j’ai changé de stratégie. » Gypsie la Tigresse est une artiste indépendante qui, avec l’aide de son partenaire Horizon Group, annonce la sortie officielle de ses maxi singles.
Glad Ggy et Totam sont les deux titres de ces maxi singles, qui présentent quatre titres extraits de l’album à venir intitulé Mon péché sucré.
« J’ai choisi la date du 21 juin parce que c’est la fête de la musique. Cette date est symbolique pour moi vu que je vais me produire au restaurant-bar Chez Valentine pour ... Lire la suite
Bernard Pivot, journaliste littéraire français de renom, a laissé à la postérité un célèbre questionnaire auquel il avait coutume de soumettre les invités de son émission Bouillon de culture. Nous l'avons à peine retouché et les poètes invités au trente-deuxième Marché de la poésie ont accepté de se plier à l'exercice. Les réponses d'Eric Joël Bekale, poète du Gabon…
Votre mot préféré ?
Amour. Toutes les grandes avancées de l'humanité se sont accomplis grâce à l'Amour. C'est aussi par l'Amour du prochain que nous saurons instaurer un monde de Paix et de Fraternité.
Le mot que vous détestez ?
La haine. Tous les mots qui sont contraires à l'Amour...
Le son, le bruit que vous aimez ?
La musique, d'ou qu'elle vienne et quelque soit le genre.
Le son, le bruit que vous détestez ?
Tout ce qui n'est pas musical...
Votre juron, gros mot ou blasphème ... Lire la suite
La clôture de la première édition lancée mardi à la Halle de la Gombe est prévue autour de Kisita, fiction de la Kinoise Carole Maloba et du documentaire Notre étrangère de la Franco-Burkinabée Sarah Bouyain
Ce samedi 14 juin s’achève le festival Cinéma au féminin (Cinef), un pari que s’était donné l’Association des femmes cinéastes du Congo à moins d’un an de sa création. En coordonnatrice consciencieuse, Clarisse Muvuba tenait à faire en sorte que l’événement traduise l’ambition de la nouvelle génération de cinéastes qui ne cesse d’afficher sa volonté de sortir de l’ombre.
Le coup d’essai de la première édition n’a pas manqué de buter contre certaines difficultés, à considérer telles des expériences qui forcent à tirer des leçons dans l’espoir de mieux faire la prochaine fois. C'est donc dans cet ordre des choses qu’il faut ... Lire la suite
Pour valoriser les arts visuels dans leur pays, en premier lieu la photographie, cinq jeunes photographes décident un jour de créer l’espace culturel Génération Elili, qui regroupe aujourd’hui dix-sept artistes photographes chevronnés et passionnés. Cette année, une projection gratuite des matchs du Mondial Brésil 2014 est ouverte au public au sein de leur galerie
Cela remonte à 2003, après un stage sur l’orientation photographique à Brazzaville et à Pointe-Noire dont bénéficient dix jeunes photographes brazzavillois et ponténegrins, grâce à un programme de soutien aux arts plastiques initié par l’Union européenne. La professionnalisation de la photographie au Congo en était le but. Bénéficiant de cette formation, deux collectifs se sont créés. Le Collège des collectifs photographes de Pointe-Noire, qui n’existe plus, ayant pour figure de proue Sita ... Lire la suite