Art-Culture-Média
La 4e édition du Festival de théâtre scolaire (FTS) s’est achevée le 29 mars à Pointe-Noire, après trois jours de spectacles offerts par de jeunes comédiens en devenir qui ont, une fois de plus, démontré que le talent artistique vit dans les établissements scolaires
Sept établissements scolaires (collège et lycée) de Pointe-Noire ont pris part à cette édition au cours de laquelle ont été jouées onze représentations théâtrales à l’Institut français de Pointe-Noire et au Centre culturel Jean Baptiste Taty Loutard.
" La culture, facteur d'unité des peuples" a été le thème central de cette édition organisée par le Cercle des jeunes artistes créateurs en partenariat avec l'Institut français du Congo à Pointe-Noire et le Centre culturel Jean Baptiste Taty Loutard.
Unique en son genre, le FTS est aussi un prétexte d’émulation de la jeunesse scolaire ... Lire la suite
De Simaro Lutumba en passant par Pépé Felly Manuaku, Maïka Munan, Seck Bidens, Souzy Kasseya jusqu’à Papa Wemba, les hôtes de la grande première de la « Pièce Tshimangologie guitare » prévue pour le 5 avril à la Halle de la Gombe se comptent parmi les grands de la chanson congolaise
Arrivé à Kinshasa en décembre dernier avec la grande ambition d’y emmener « un concept jamais vu, dont on a jamais entendu parlé », c’est de la sorte qu’a germée l’idée de créer la « Pièce Tshimangologie guitare » avec soixante guitaristes sur scène. Du reste, Olivier Tshimanga dit avoir trouvé là la meilleure manière de restituer au guitariste congolais une place qui lui revient de droit. Aussi l’on comprend mieux qu’il veuille aussi associer à cet évènement ceux qu’il tient pour des figures emblématiques qui, à un moment ou un autre de sa carrière, ... Lire la suite
La coordination de Rencontres des arts et des musiques chrétiennes (RAMC) a lancé, le 1er avril, la campagne de communication de ce festival dans la salle de conférences du mémorial Pierre-Savorgnan-de-Brazza
La deuxième édition de ce festival, qui se tiendra à Brazzaville du 26 au 28 septembre 2014, aura pour thème : « Chantons et dansons sans le sida, pour la gloire de Dieu ». La première édition avait eu lieu en septembre 2012, sur le thème : « L’unité dans la diversité en Christ ».
« Les Rencontres des arts et des musiques chrétiennes […] sont fondamentalement une idée fédératrice et innovante qui vise la promotion de la culture et des valeurs chrétiennes à travers diverses manifestations. Faire des sujets de divergence des facteurs de la diversité ; produire dans la foi chrétienne la fécondité intellectuelle par le débat à la place de la ... Lire la suite
Invité au Salon de caricatures et de bandes dessinées appelé festival Bulle d’Encre, le bédéiste et caricaturiste Kash Thembo a fait part de son expertise animant des ateliers en faveur des élèves guinéens et étudiants de l’école des arts locale en marge du salon organisé du 25 au 27 février.
L’expérience s’est révélée de toute importance pour le bédéiste kinois accompagné de Lassane Zohoré (Côte d’Ivoire), Tonakpa (Bénin) et de Jul Berjeaut (France). Avec grand enthousiasme, il en a fait part aux Dépêches de Brazzaville à son retour en ces termes : « Tous quatre, nous avons discuté avec les étudiants décidés à embrasser le métier d’illustrateur et de bédéiste. Au travers de leurs questions, ils se sont montrés très intéressés par nos travaux respectifs ».
Plus particulièrement, Kash nous a confié qu’il devait sa présence à ... Lire la suite
Dans le cercle assez fermé des poètes, un genre littéraire par lequel de nombreux écrivains ont fait leurs premiers pas en littérature, Léo Bvegadzi s’affirme en publiant chez Lulu.com son septième recueil de poèmes intitulé De l’aurore au crépuscule
Passionné de musique et de sculpture dès son jeune âge, Léo Bvegadzi s’est lancé dans la poésie il y a sept ans déjà. Installé en France depuis des années, il a écrit les poèmes de son septième recueil en 2005 et 2012. Celui-ci débute par le poème De l’aurore au crépuscule, où il fait parler la nature.
Composés d’une vingtaine de poèmes tous écrits à Épinay-sur-Seine, ce recueil se clôture par la mort, crépuscule d’une vie, comme pour mieux mettre en image le titre, qui symbolise la beauté et la vie. Dans ses poèmes, l’auteur peint les situations et les expériences de la vie quotidienne.
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Le salon des musiques d’Afrique et du Moyen-Orient qui se tiendra à Rabat au Maroc, du 12 au 15 novembre 2014.
Pour cette première édition, indiquent les organisateurs, Visa for Music (VFM) lance un appel à candidature d’artistes pour la programmation de showcases. À cet effet, apprend-on, vingt-quatre artistes seront retenus pour se produire devant un jury d’exception, avec des possibilités d’aides et de récompenses. Les showcases se dérouleront les 13, 14 et 15 novembre sur trois sites : le théâtre Mohamed V (Scène musiques du monde), la salle Renaissance (Scène musiques actuelles), et la salle Bahnini (Scène jazz et musiques expérimentales). Le dossier de candidature doit contenir un formulaire d’inscription dûment rempli, deux CD (album) de l’artistes ou du groupe (une démo est acceptée en supplément) ; un dossier de presse (texte de ... Lire la suite
Le manager exécutif des Tam-Tams d’or, Médard Milandou, a remis le 2 avril au maire de la ville de Brazzaville, Hugues Ngouélondélé, le trophée décerné le 22 mars dans la catégorie « homme culturel de l'année », lors la dixième édition de la manifestation à Pointe-Noire
En raison de la désignation, en 2013, de Brazzaville comme première ville créative africaine de musique et eu égard à tout ce qui se fait en matière culturelle dans la ville capitale, le jury a estimé légitime de décerner un Tam-Tam d’or à la ville et au maire central, Hugues Ngouélondélé, pour les efforts fournis. « Le maire de la ville avait réuni autour de lui les gens qui ont fourni du travail. Le dossier a été accepté par l’Unesco qui a déclaré Brazzaville première ville créative de musique en Afrique. Nous sommes venus honorer la ville de Brazzaville et son maire ... Lire la suite
Pour les Kikwitois, la tenue de ce festival est un motif de fierté et de consolation surtout après avoir raté d’enterrer leur digne fils dans leur fief contre sa propre volonté mainte fois exprimée.
La célébration du quarantième jour du décès de King Kester Émeneya, synonyme de la levée du deuil, sera célébrée à Kikwit. Cet évènement servira de prétexte au lancement du festival « King Kester Émeneya Forever » projeté pour les 25, 26 et 27 avril. Les préparatifs vont bon train. Des informations recueillies auprès du comité d’organisation font état du feu vert que lui a accordé la famille de l’illustre disparu pour la tenue de ce grand évènement. La famille Mubiala, à en croire des sources, aurait acquiescé à l’idée d’organiser ce festival et pourrait y être représentée par deux de ses membres dont le chanteur Joly Mubiala. Une lettre ... Lire la suite
A l’issue de la 34e édition du Salon du livre de Paris fin mars, Franck Cana et Yvon Mougani, respectivement président et secrétaire-adjoint chargé de la communication du Cercle des écrivains et artistes des Afriques (CE2A), ont été reçus à l’ambassade du Congo en France par Henri Lopes
« Au nom des écrivains, des artistes membres de CE2A, nous étions venus l'informer de vive voix de l’existence de notre organisation. La démarche a été saluée et encouragée par celui qui représente à la fois notre pays et le dynamisme de la littérature francophone », a confié Franck Cana. Et de continuer : « Auprès de l’ambassadeur-écrivain, nous avons émis le vœu de voir les écrivains et artistes du cercle être associés, dans la mesure du possible, aux évènements littéraires et artistiques futurs pour lesquels l’ambassade servirait d’interface. »
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Le sujet est au centre de la pièce Être, la dernière création de Bua wewa Compagnie présentée en grande première en marge de la célébration de la Journée internationale de la femme, le 29 mars, au Centre culturel M’Eko.
Il ne pouvait avoir de tableau plus expressif de la douleur que celui offert par les vingt-cinq premières minutes d’Être. L’on pouvait alors imaginer, au travers de l’effort physique qu’exigeait la posture inconfortable de la chorégraphe, une somme d’affliction d’ailleurs rendue par sa mine contrite.
Suspendue à des chaînes pendant plus de la moitié de la durée du spectacle jambes et bras écartés, la tête effectuant de fréquents balancements penchée tantôt vers la droite tantôt vers la gauche, Lydie Muanji avait l’air pitoyable. Le tableau ne pouvait inspirer que pitié à l’instar de la crucifixion du Christ qu’elle ... Lire la suite
