Art-Culture-Média
Des artistes congolais animeront des ateliers lors de la 5ème édition de l’événement qui se déroulera à l’Athénée royal de de la commune Ixelles à Bruxelles.
Les grandes lignes du déroulement de la journée ont été rendues publiques le vendredi 15 avril au cours d’une conférence de presse animée par Laurette Onkelinx, présidente du parti socialiste bruxellois et Marie Arena, députée européenne et membre du parti socialiste. « A chaque fois, c’est l’occasion de passer ensemble un moment agréable, mais aussi d’avancer sur des questions qui concernent particulièrement la communauté d’origine subsaharienne. En cinq années, je crois pouvoir affirmer que, avec l’ensemble des mandataires socialistes bruxellois, nous avons démontré notre souci de réserver un suivi rigoureux aux besoins identifiés à l’occasion de ces journées. De véritables ... Lire la suite
Préfacé par Clément Ossinondé, avec postface de Pierre Eboundit, « Franklin, L’insoumis » est un ouvrage collectif, d’après une idée de Marien Fauney Ngombé, édité chez La Doxa en 2016.
Après « Escales », un recueil de nouvelles édité aux éditions Elikia en 2012 ; « Le Bâtiment A », un recueil de nouvelles édité en 2014 chez TheBookEdition ; et « Sous mes paupières. Extérieur vies », un ouvrage collectif édité chez L’Harmattan en 2015 ; Marien Fauney Ngombé vient de publier courant cette année 2016 chez La Doxa, « Franklin, L'insoumis ».
C’est un ouvrage collectif qui regorge de textes de Ramsès Bongolo, Amzat Boukari, Dibakana Mankessi, Myril Nadia Eteno, Aurore Foukissa, Obambé Gakosso, Ndeye Fatou Kane, Patrick Kouoh, Glad Amod Lemra, Aset Malanda, Anthony Mouyoungui, Marien Fauney Ngombé, Grace Youlou Nkouelolo, Arian Samba.
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La comédie a été un succès public, la Halle a bien ri, elle a réagi spontanément aux blagues distillées par les acteurs, spécialement le trio Mohamed, Ali et Toto, des cousins de rigolos sans moralité. Plusieurs se sont dits contents d’avoir assisté à sa première kinoise organisée, le 8 avril, à l’Institut français de Kinshasa.
Dans le genre petit plaisantin au naturel déjà, Arsène Kamango n’a apparemment eu aucun mal à se mettre dans la peau de Mohammed, le plus coquin des trois cousins. Il part d’un grand rire lorsque Les Dépêches de Brazzaville lui demandent s’il a aimé le rôle. « Ouais, disons que c’est une nature. Dans la vie, il n'y a pas mieux qu’être soi-même quoi ! C’est tout. Voilà, je suis comme ça, je ne fais pas semblant. Et, bien voilà quoi, vous avez eu le résultat sur grand écran, ça donne Villa Matata », répond-il ... Lire la suite
Nike : Des Air Max inspirés de l’art africain
La marque s’associe à l'artiste nigérian Laolu Senbanjo pour créer des chaussures Air Max inspirées de l'art africain. Musicien talentueux et diplômé en droit, avec une expérience dans le droit de l'Homme, Laolu Senbanjo possède un riche repertoire de thèmes à dessiner.
Embauché en tant que " Master of Air ", Senbanjo dessinera en tirant son inspiration de son héritage Yoruba, son vécu et ses voyages internationaux. Chez Air Max, il créera de l'art en intégrant son amour pour Air Max, New York et le sport.
Né et élevé à Ilorin, Senbanjo rehaussera son « Afromysterics », terme que l'artiste a inventé en 2007 pour désigner « le mystère du dessin de la pensée africaine ».
Forbes : Michael Jordan, retraité du sport le mieux payé au monde 
La légende des Chicago Bulls Michael Jordan a touché 110 ... Lire la suite
Le photographe malien Malick Sidibé, lauréat de plusieurs prix internationaux et considéré comme un des pionniers africains de son art, est décédé à Bamako à l'âge de 80 ans, a-t-on appris vendredi auprès de sa famille et du ministère malien de la Culture.
Malick Sidibé « luttait contre la maladie » qui l'a emporté jeudi soir, a indiqué à l'AFP son neveu Oumar Sidibé, sans autre précision. « C'est une grande perte pour le Mali. Il faisait partie de notre patrimoine culturel. C'est un deuil qui nous frappe », a déclaré à l'AFP la ministre malienne de la Culture N'Diaye Ramatoulaye Diallo, qualifiant le photographe de "grand homme de talent".« En collaboration avec la famille, nous organiserons les funérailles. Le président de la République, le Premier ministre, le gouvernement, tout le Mali est véritablement en deuil », a-t-elle ajouté.
Malick ... Lire la suite
Dans nos sociétés d’Afrique centrale assujetties à la langue française et à l’anglais, Alpha Mobe a su mettre en place, en cohabitation avec la langue officielle du pays respectif, un support d’apprentissage de langues maternelles du Bassin du Congo pour l’accès à l’éducation de base.
La réduire à son aspect jovial au sourire désarmant serait mal connaître Alpha Mobe. Elle a été une passionnée des langues maternelles bien avant l’instauration de la « Journée internationale de la langue maternelle », célébrée chaque année depuis le 21 février 2000, afin de promouvoir la diversité linguistique et culturelle ainsi que le multilinguisme. C’est depuis la France, où elle réside il y a 30 ans, qu’Alpha Mobe, née en 1965 à Kinshasa en R D Congo, se passionne pour les langues bantus des deux Congo, longtemps considérées comme des patois, des ... Lire la suite
Créé en 1984 par l’artiste, Cox Anaclet Kaloumba, le village artisanal du Plateau est situé en face de la direction départementale de la santé dans le premier arrondissement de Pointe-Noire. Ce marché d’art est devenu, depuis un certain temps, une vitrine qui contribue à l’évolution de la diversité et la richesse culturelle.
À Pointe-Noire, l’artisanat se distingue par la riche potentielle et la diversité de ses produits. On voit grandir une nouvelle génération d’artistes, plein de talent qui donnent une image contemporaine de l’art africain.
Au village artisanal du plateau par exemple, il n’est pas rare de voir des artisans, jeunes, moins jeunes et plus âgés, s’illustrer dans l’art artisanal. C’est dans ce marché qu’on retrouve les plus belles créations de l’artisanat ponténegrin.
En fait, ce village artisanal n’est pas une foire, mais ... Lire la suite
Le batteur Xavier Guerrée, « Xav », s’est éteint, le 12 avril, à Pointe-Noire. Cet amoureux de la musique était bien connu dans le milieu culturel. Toujours disponible, il n’hésitait pas d’accompagner les musiciens à la batterie, son instrument de prédilection.
Le conteur Jorus Mabiala témoigne sur celui qui était pour lui plus qu’un ami et qui est tombé amoureux de la ville océane au point d’en faire sa ville d’adoption en partageant sa passion souvent au bar musical Tapas, à Iguane, à Sanza, etc. bref dans tous les lieux où le groove était présent : «Tout a commencé dans la banlieue d'Aix- en- Provence, en France, en participant à une soirée organisée par des artistes fous de musique du monde. Petite discussion autour du fût qui faisait office de chauffage pour ces adeptes de la musique : Voilà la rencontre avec Xavier Guerrée. ... Lire la suite
Une trentaine de femmes artistes, de toutes disciplines confondues, ont manifesté leur intérêt pour le sujet à la journée de réflexion tenue le 29 mars à l’espace culturel Maïsha Park , en guise de clôture du mois de la femme, à l’initiative de l’association culturelle Enda-Mbele présidée par la comédienne Dada Kahindo.
Plus que jamais résolues à œuvrer personnellement pour le développement de l’entrepreneuriat féminin dans le secteur culturel, objet de leur préoccupation commune, les artistes kinoises ont créé une nouvelle synergie pour ce faire. Réunies dans le but de crever l’abcès quitte à aborder la question sans détours, elles ont au-delà du diagnostic posé sur la condition actuelle tenu à relever leur propre défi. Savoir ici que la résolution d’ensemble de ces dames artistes épouse et réaffirme toute la détermination que renferme ... Lire la suite
Patrick Renaud Tatith, plus connu sous le nom de scène de Yatachi est un artiste congolais basé en suisse. Il vient de mettre sur le marché du disque son troisième album intitulé Tchilumbi tchi keli (Un jour viendra), un concept multiculturel et multicolore avec un mélange musical genre africain latino et jazz.
Originaire de la ville océane, comme l'indique son surnom "Muan ndjidji" qui signifie enfant de Pointe- Noire en vili (langue locale), Patrick Renaud Tatith embrasse la carrière musicale dès l’âge de 9 ans. Il s’est perfectionné en jouant de la trompette au sein de la fanfare salutiste dans des orchestre jazz et variétés de la ville, prenant part aussi à des nombreux ateliers de jazz organisés par le Centre culturel français.
« Je fais une musique métissée jazzy, je mélange les musiques d’Afrique avec le jazz et aussi de l’Amérique du ... Lire la suite
