Art-Culture-Média

La première édition du Festival organisé en deux jours, les 11 et 12 avril au Centre Wallonie-Bruxelles (CWB) et à l’Institut français (IF), associera du Vivaldi, Haendel, Mozart, Verdi, Gluck et Rossini à des airs de Grand Kallé, Lutumba et Luambo Makiadi joués sur des instruments modernes et traditionnels congolais.
Première à avoir foulé le sol congolais, parmi les hôtes étrangers et nationaux de la diaspora, la soprano française Anaïs Huguet-Balent s’était déjà mise au pas des répétitions en début de semaine dernière. Ce, particulièrement pour la danse, question d'assimiler les pas des chorégraphies congolaises qui vont accompagner le cocktail inédit que concocte depuis un an Afrika Opéra.
Serge Kakudji, Armand Diangenda, Sanja Radisic, Sylvia Pepe, Eva Bronner, Albert Traore et Aly Bernard Ngoy sont les invités de la première édition d’Opéra ... Lire la suite
Neuf lycéens dont sept issus de Saint-Exupéry et deux de l’Ecole militaire général Leclerc ont été récompensés au terme du concours, à l'occasion d'une cérémonie organisée le 6 avril, à l'Institut français du Congo.
La seule condition pour participer au grand concours des lycéens du Festival international du livre et des arts (Filaf) était d’être élève dans un lycée de Brazzaville, en classe de seconde, première ou terminale.
A cet effet, il était demandé à chaque participant de réaliser sa propre production littéraire, du 16 février au 15 mars, en respectant les modalités bien précises au nombre desquelles le choix de la catégorie à laquelle concourir (poésie, fiction, etc.) ; la rédaction d’un texte individuel conforme au concours à imprimer et envoyer au lycée Saint-Exupéry, auprès du secrétariat du proviseur, tout en ... Lire la suite

Quasiment tout le mois d’avril va y passer en dix dates pour quinze représentations dont la toute prochaine est prévue le 12 avril, à Kinshasa, à la suite du week-end que David Minor Ilunga a passé sur les planches de Lubumbashi.
Après avoir gratifié les Lushois de son spectacle sur les scènes de l’Université de Lubumbashi et du Bureau Wallonie-Bruxelles, les 5 et 6 avril, David-Minor revient à Kinshasa pour une quatrième représentation à Kintambo. Mais pour cette fois, il est à l’affiche au Scolasticat des Oblats et non au Tarmac des auteurs qui a servi de point de départ à sa tournée nationale.
Fief du comédien qui est tout à la fois auteur de cette création mise en scène par le défunt Roland Mahauden, l’espace culturel réputé de Kintambo, ce terreau du théâtre où travaille l’auteur de "Délestage", avait déjà donné trois représentations ... Lire la suite
Plusieurs écoles prendront part à l’activité qu'organise, du 24 au 27 avril, à Pointe-Noire, le Cercle des jeunes artistes créateurs, en partenariat avec le CPGOS et Délices Maé, afin de prouver au public que le théâtre scolaire vit et a encore de beaux jours devant lui.
La neuvième édition du théâtre scolaire, universitaire et de la mode africaine se tiendra sur le thème « La culture, un levier de diversification économique ». Il s'agit d’un haut lieu de partage mais aussi un moment de réflexion, de propositions artistiques pour la solidarité, le développement et le progrès de la culture en milieu scolaire.
« Le festival de théâtre scolaire est un projet instructif, éducatif, pédagogique et distractif qui concourt à la formation de vraies élites culturelles de demain et se veut être, par excellence, un cadre international de réflexion et ... Lire la suite
Coédité par Présence Africaine, le Musée d’Orsay et Flammarion, "Le jeune noir à l’épée" est illustré par les photographies de Fabien Coste, tandis que le CD audio est produit en collaboration avec Mattéo Falkone, Gérard Jouannest, Feat Wallen.
C’est un tableau de Pierre Puvis de Chavannes présenté dans le cadre de l’exposition Le Modèle Noir au musée d'Orsay qui a inspiré Abd Al Malik. Dans ce récit, il se raconte à travers l'histoire de ce jeune, ses questionnements sur l'identité. « Je voulais écrire depuis longtemps un long poème sur l'identité. Dès que j'ai vu ce tableau, j'ai voulu en parler, parler de ce questionnement sur l'identité dans l'époque qu'on traverse aujourd'hui. Quand on parle d'identité, il y a aussi le fait d'être noir, et ce que ça signifie », a confié le Congolais à la radio France Info, lors de la promotion ... Lire la suite

Le tout premier, ouvert à l’Académie des beaux-arts (ABA) depuis le 4 avril, à l’intention des artistes mais aussi des amis et connaissances, reçoit toutes sortes de textes, marques de sympathie et de compassion à l’adresse de la famille, évocation de bons souvenirs partagés avec le défunt, etc.
L’ABA porte le deuil et l’affiche dès son entrée. Surplombant le portail, une banderole noire, couleur de deuil, l’annonce à tous ceux qui portent leur regard juste à cet endroit qu’occupe l’enseigne de la grande institution d’art qui a l’âge du disparu. Flottant quand il se fait du vent, la banderole dont les inscriptions en blanc se lisent au passage par tous les usagers de l’avenue de la Libération, l’ex-24 novembre, signale le malheureux événement. Il faut ensuite parcourir quelques mètres pour atteindre la tente abritant le livre de condoléances ... Lire la suite
Mise en scène par Nicolas Bissi et distribuée en one man show par Fortuné Batéza, la pièce a réjoui le public qui s’est mobilisé pour suivre en live sa représentation, le 8 avril, à l’Institut français du Congo (IFC) de Brazzaville.
Le lundi dernier n'a pas été comme les autres à l’IFC. Habituellement très calme et paisible, le spectacle de théâtre lui a insufflé un vent gai et une atmosphère d’ambiance. Adultes, adolescents et enfants ne se sont pas fait prier pour y assister. Le public, très enchanté, a pu enfin baigner dans une ambiance festive autour du témoignage sur les réalités d’une contrée nommée Katiopa.
Un récit hilarant mais rempli de sagesse
L’histoire a lieu au Katiopa, qui signifie l’Afrique en langue Kongo. Cette Afrique de cinquante-cinq Etats, avec une superficie de trente et un millions de km² et près de 1 500 000 000 ... Lire la suite
La cérémonie de remise de la médaille au musicien congolais par l’ambassadeur de France au Congo, Bertrand Cochery, a eu lieu la soirée du 6 avril, à la Case de Gaulle, en présence du ministre des Postes, des télécommunications et de l’économie numérique, Léon Juste Ibombo.
Dès l’entame, l’ambassadeur de France a, dans son mot de circonstance, indiqué que la musique de Roga-Roga a du cœur. « Cher Roga-Roga, votre musique a du cœur, dans tous les sens du terme. Il y a bientôt un an, à l’occasion du 14 juillet, j’avais fait réaliser un t-shirt pour les chanteurs du Chœur Credo, sur lequel était imprimée la devise « Mon Congo a du Chœur ». La chorale fut le premier battement de cœur de votre carrière musicale, suivie de près par les pincements des cordes de la guitare. Puis vint en 1993, la guerre civile, la division, la fin de toutes les ... Lire la suite
La cérémonie de port d’insignes en qualité de chevaliers et officier a eu lieu, le 6 avril, au Mémorial Pierre-Savorgnan de Brazza.
Les heureux récipiendaires ont été nommés officier et chevaliers dans l’ordre du dévouement congolais par décret numéro 2018-426 du 26 novembre 2018, signé par le chef de l’Etat, Denis Sassou NGuesso, Grand maître des Ordres nationaux, dans le cadre de la célébration du soixantième anniversaire de la proclamation de la République du Congo. Les insignes ont été remis par le colonel Norbert Okiokoutina, Grand chancelier des Ordres nationaux.
Ces décorations témoignent de la reconnaissance de leur travail. Il s’agit de Benoit Narcisse Tchishimbi (officier) ; Gogo Adrienne Koubaka, Homany Akanaty, Hugues Goma Tsonda, Simplice Matourel, Ludovic Abbia, Daniel Amboulou, Bell Aymard Moukengue, Carhol Veran Yanga, Rock Angouelé, ... Lire la suite
Dans une mise en scène de Selma Mayala, la pièece de Jean Anouilh sera jouée, les 9, 10,12 et 13 avril au quartier Tchimbamba, par les comédiens de l'Association Mwez, après une intense période de formation, pour les uns, et d’apprentissage du jeu d'acteur, pour les autres.
"Antigone" est une pièce en un acte de Jean Anouilh, représentée pour la première fois au théâtre de l'atelier à Paris, le 4 février 1944, durant l'occupation allemande, dans une mise en scène, des décors et des costumes d'André Barsacq. Réécriture de la pièce éponyme de Sophocle, elle fait partie de la série des " Nouvelles pièces noires", avec "Jézabel" (1932), "Roméo et Jeannette" (1946) et "Médée" (1953).
La pièce est inspirée du mythe antique d'Antigone, la fille d'Oedipe, mais est écrite en rupture avec les codes de la tragédie grecque.
C'est ... Lire la suite