Art-Culture-Média
Le nouveau single de l’artiste musicien congolais fait déjà parler, en moins d’une semaine seulement sur le marché du disque.
Le titre "To bina" vient compléter les neufs autres que comporte l’album "Multicolor" et apporte une touche universelle dans la musique congolaise. Fruit des expériences de Djoson Philosophe dans les pays ouest africains et hispaniques, "To bina" (Dansons en français) est un générique qui expose les risques que courent les personnes qui se baladent sans pièce d’identité. Dans cette chanson au style presque nouveau, l’artiste transporte les amoureux de la bonne musique dans un univers gai.
Cette animation est disponible sur toutes les plates-formes de téléchargement légales. Djoson Philosophe offre au public les cris éducatifs comme "Ngobila", "Okoboma nga lelo" ainsi que "Vitesse égale à danger". De son vrai nom Maurin Jonathan ... Lire la suite
L'espace culturel de Brazzaville a accueilli l'artiste musicien, le week-end dernier, à l’occasion de la présentation de son album "Symbiose", sorti le 14 février dernier en France. Sa prestation a été riche en couleur avec des interprétations des vieilleries de l’orchestre Zaïko Langa Langa auquel il a rendu hommage dans cet opus.
Le concert livré a comblé les attentes du public qui venait découvrir le talent de Didier Samba, alias Sam Talanis, un artiste musicien du Congo-Brazzaville. Dans un style musical teinté de zook, de rumba, de salsa et de reggae, il a fait danser toutes les générations, de 7 à 77 ans, présentes à ce spectacle. « C’est un album qu’il faut avoir impérativement dans sa discothèque. Il n’y a pas de monotonie ; il y a des retours très positifs. J’ai été accompagné dans cet album par des Cubains. Il est l’opus le plus ... Lire la suite
Le finaliste des scènes Tremplin, organisées par l’Institut français du Congo en fin 2018, vient de mettre sur le marché du disque un nouveau single éducatif.
Le single "Na bomi moto", autrement dit j'éteins le feu, a été lancé le 16 février dernier. Ce titre dénonce le comportement malsain des jeunes qui utilisent la violence comme seule solution à leurs différends; des bagarres qui causent parfois des pertes en vies humaines. Dans un style appelé rap folklorique (mélange du rap et du folklore), Auge Paterne Okanda-Otou, de son vrai nom, invite ses compatriotes à prendre conscience et à contribuer à la construction de la nation.
"Na bomi moto" est disponible sur toutes les plates-formes légales de téléchargement. Dans ce son qui dure environ trois minutes, l’artiste met en pratique son art à travers un texte responsable et éducatif. La bonne combinaison ... Lire la suite
Bourses complètes pour les étudiants à la maîtrise en 2019-2021 à l'Université de technologie de Delft, aux Pays-Bas
Date limite : 1er avril 2019
Université étatique : université de technologie de Delft (TU Delft)
Spécialités : toutes les spécialités
Niveau d'études : troisième cycle
Critères d’éligibilité : citoyens étrangers venant de toutes les régions du monde
1) Votre ou vos diplômes universitaires d'origine : si un diplôme est rédigé dans une langue autre que l'anglais, le français, l'allemand ou le néerlandais, une traduction certifiée conforme est également requise.
Ou si vous n'avez pas encore obtenu votre diplôme. Une attestation certifiée de votre université confirmant le type de diplôme que vous obtiendrez et le moment de l'obtention de votre diplôme.
2) Une copie de votre relevé de notes officiel, recto et verso, dans la langue ... Lire la suite
Le prolifique écrivain congolais publie son premier roman. Edité à Pointe-Noire par Les lettres mouchetées, dans la collection Mbongi, ce roman relate l’histoire émoustillante d’une fille de joie.
Kosia-Iris est presque une nymphomane qui construit sa fortune grâce à une interminable liste d’amants. Chacun, PDG, ministres, officiers, hommes d’affaires ou d’église, etc., victime de son irrésistible beauté, passe dans la vie de la jeune courtisane comme on tourne les pages d’un suave récit.
C’est un personnage futé dans l’art de la séduction. A son passage, elle laisse derrière elle trouble et désolation. Des foyers, des vies et des cœurs brisés. Après moult aventures et déceptions mêlées, elle parvient à attirer l’attention d’une nouvelle victime. Un homme au portefeuille bien garni sous la peau d’un bon père de famille.
Comme une larve ... Lire la suite
L'essai de cent-quarante-quatre pages, édité par Hemar en 2017, est le fruit de la réflexion d’une femme officier des Forces armées congolaises. L'auteure mène une plaidoirie qui valorise et encourage la femme congolaise dans la défense de sa patrie.
En mai 1997, dans "Le manguier, le fleuve et la souris" (Editions Jean Claude Lattès), Denis Sassou N’Guesso faisait déjà la description ontologique des capacités managériales de la femme. « (Les femmes) elles ont, pour elles, le réalisme, un sens concret qui fait souvent défaut aux hommes, une conscience élevée du prix de la vie qui leur permet d’être plus attentives aux malheurs et plus tolérantes aux erreurs, une imagination fertile, mais aussi une rigueur intellectuelle dont elles tirent des solutions souvent pertinentes pour régler des problèmes apparemment insurmontables. Bref elles sont non seulement ... Lire la suite
Après son roman autobiographique « L’écolier d’Abkar Djombong », l’écrivain tchadien compile dans son nouvel ouvrage deux genres différents, la prose romanesque et la poésie.
Voilà encore une œuvre qui rappelle le fameux cri « nous vaincrons (l’apartheid) » de la pièce "L’Etudiant de Soweto" du dramaturge tchadien, Maoundoé Naïndouba. Sauf que dans le roman "Le repentir du roi", Mahamat peint une autre forme de victoire. Celle de l’homme noir sur lui-même.
L’écrivain plonge ses lecteurs dans un espace d’avant la colonisation. Ranid, le roi autoproclamé, impose un règne tyrannique à « Manga, un pays à la fois de forêts et de montagnes, luxuriant, verdoyant, au sol fertile et aux habitants laborieux ».
Sadique à outrance, le roi abuse systématiquement des mineures qu’il arrache aux familles pour en faire de futures épouses. Mais ... Lire la suite
Neuf ans après son opus "Il faut aller à l’école" » qui a remporté le prix Tam-Tam d’or 2010, l'artiste musicien congolais réapparait sur le marché du disque avec "Le principal et la subordonnée", dont le contenu appelle à la protection de la veuve et de l’orphelin.
"Le principal et la subordonnée", "Garçon d’aujourd’hui", "Bonne fête des mères", "Vater Unser" (Notre Père), "Mbongela mwana", et "I will never leave you" (Je ne vous abandonnerai pas) sont les six titres contenus dans le nouvel album de Figaro.
L'artiste a indiqué que tous ses albums comprendront toujours chacun six chansons car c'est le nombre des lettres du nom Figaro, qui commence en plus par la sixième lettre de l’alphabet. L'autre particularité, a-t-il ajouté, c'est qu'il a passé six ans hors du pays, notamment en Allemagne où il réside.
A propos du titre "Le principal et ... Lire la suite
Le Burkinabé Idrissa Ouédraogo, surnommé le maestro du septième art africain, a tiré sa révérence le 18 février, dans une clinique à Ouagadougou, à l’âge de 64 ans.
« L’Afrique vient de perdre l’un des plus valeureux ambassadeurs dans le domaine de la culture, un réalisateur à l’immense talent et profondément attaché à son pays », a déclaré le président Burkinabé, Rock Marc Kabore, dans son message de circonstance.
Figure emblématique du cinéma africain de 1980 à 2000, Idrissa Ouédraogo, surnommé maestro selon le témoignage du cinéaste Rasmané Ouédraogo, a marqué les esprits par ses œuvres. Auteur d’une quarantaine de films, il a été récompensé dans les plus grands festivals nationaux et internationaux, notamment le grand prix du jury au festival de Cannes pour son film "Talaï" en 1990, une transposition tragique grecque dans ... Lire la suite
Vingt-cinq photographes, dont deux Africains, prendront part à la septieme édition qui se tiendra du 30 mars au 5 mai à Angoulême, en France, sur le thème « Le mystère et l’enchantement, de l’obscurité à l’émerveillement ».
Créé par l’association Eponyme, le festival l’Emoi photographique est une exposition photographique qui se déroule à Angoulême depuis quelques années déjà. Durant un mois et demi, les vingt-cinq photographes retenus après appel à candidature exposeront leurs œuvres. L’objectif est de promouvoir la photographie auprès des jeunes publics en vue de créer un lien fondateur pour cette association. L’Emoi photographique offre une vitrine pour une photographie fondée sur la cohérence du travail à long terme, pour une photographie européenne, africaine et aussi des autres continents.
Ce festival a été créé pour défendre une ... Lire la suite