Opinion
- Éditorial - Les Dépêches de Brazzaville
- Réflexion - Jean-Paul Pigasse
- Le fait du jour - Gankama N'Siah
- Humeur - Faustin Akono
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- Brin d’histoire - Mfumu
- Tribune libre - Sergueï Lavrov
- Idées-forces - Les Dépêches de Brazzaville
- Analyse - Xinhua
EntretienMardi 22 Février 2022 - 10:34 Les deux dernières décennies ont vu le Congo se doter d'infrastructures diverses destinées à accélérer son développement socioéconomique. L’on constate malheureusement que la plupart d’entre elles tombent en ruine faute d’entretien. Tel est le cas des gymnases construits à Brazzaville dans le cadre des onzièmes Jeux africains de 2015. Nicole-Oba à Talangaï, Etienne- Monga à Ouenzé, Henri-Elendé et Maxime-Mantsima à Makélékélé ont permis à la jeunesse africaine d’exprimer tous ses talents lors de ces retrouvailles sportives. Ce sont pour nos athlètes des aires d’éclosion de leur génie dans différentes disciplines. Or, l’image actuelle que renvoient ces gymnases laisse à désirer. Ce qui est en cause ce ne sont pas les matériaux de construction mais plutôt leur état de délabrement : toits couverts de toiles d’araignée, peinture en partie décapée, sol couvert de poussière, toilettes bouchées… Si l’on n’y prend garde, ces espaces pourraient devenir des lieux de refuge des bandits de grand chemin qui écument la ville. Selon certaines indiscrétions, il se poserait l’épineux problème de moyens financiers. Vu la conjoncture économique actuelle, les gestionnaires des gymnases gagneraient en dénichant d’autres mécanismes de financement des opérations d’entretien. Cela appelle à un esprit d’imagination, d’engagement et d’initiatives. Car, aucune difficulté n’est insurmontable dit-on. Les Dépêches de Brazzaville Edition:Édition Quotidienne (DB) Notification:Non |